Soft Power Americain

hauteur de 100% de leur PNB. L’innovation technologique permanente est cependant un énorme attrait pour les USA bien que les emplois soient majoritairement détruits plutôt que crées ( 1,5% de croissance économique américaine et 11% au Japon). On assiste donc à une remise en cause du modèle américain : Remise en cause externe par la montée en puissance de nombreux états et par le désordre du nouvel ordre mondial, mais aussi interne puisque les USA sont le pays le plus riche mais aussi le plus contrasté,

crise iranienne ou nord-coréenne). -Enfin, le lobby américain ne veut pas voir émerger une puissance militaire en Europe où elle est installée avec l’OTAN d’ailleurs les pays de l’UE préfèrent soit rester neutres soit se placer sous l’autorité militaire des Etats-Unis. On a donc une partie des Etats membres de l’Union qui sont sous l’influence américaine pour bon nombre de domaines clés (par ex. la communication et le satellite, les Américains ont tout fait pour empêcher la création de Galileo

Internationales Stephen M. Walt, extrait de la conclusion de son ouvrage Taming American Power, Norton 2005 (p 245-247). Dans l’ouvrage intitulé Taming American Power, Stephen M. Walt examine la position des Etats-Unis en tant que superpuissance mondiale singulière ainsi que les stratégies que les autres Etats ont développées pour lui faire face. Au sein de la communauté scientifique américaine, le livre de Walt est une référence, tant par sa lucidité que par la pertinence de son analyse

désignés sous le nom de hard power. À cela s’ajoute le soft power, capacité d’influence et de séduction par le jeu de la diplomatie, de la langue et de la culture, qui permet de diffuser une image positive d’un État. Cela peut passer par le cinéma, la littérature, la gastronomie, le sport… On entend donc par puissance, selon Raymond Aron « la capacité d’une unité politique à imposer sa volonté aux autres unités ». À ces deux définitions de hard et de soft power posées par Joseph Nye au début

montantes ces dernières années, possède un certain nombre de ses magasins. On peut donc penser que c’est ici une stratégie non seulement économique, choisissant les pays en développement, mais aussi d’expansion culturel par les vêtements, ou un certain soft power qu’essaie d’exercer la firme suédoise. On peut aussi voir sur le second document que la marque IKEA s’est implantée en Arabie saoudite. Mais finalement celle-ci n’est pas forcément accessible à tout le monde, et reste dans les pays orientaux plutôt

contribue à une évolution de la puissance: Elle s’exerce de manière moins coercitive et brutale. Pour être puissant, un Etat doit chercher à: Convaincre Contrôler les règles du jeu international Le politologue américain Joseph Nye considère que le “soft power” a pris le dessus sur le “hard power” ( le discrédit des Etats-Unis qui a suivi la guerre en Irak), bien qu’il reste présent (Libye). Aucun Etat ne dispose d’une puissance absolue lui permettant d’imposer sa volonté en toutes circonstances.

coeur des enjeux de puissances. Joseph Nye, un analyste et théoricien des relations internationales américain, construit la puissance selon trois notions: le hard (manière forte qui se traduit par la force économique et militaire principalement), le soft (manière douce, qui se traduit par l’influence culturelle, la diplomatie…) et le smart power (l’habilité à combiner le hard et le soft power comme les nouvelles technologies) . A ceci s’ajoute un facteur important que Raymond Aron, historien

des Etats-Unis. Introduction : Puissance = « Capacité d’imposer sa volonté aux autres » Raymond Aron. Puissance mondiale = Poids territoriale, démographique et économique (militaire). Les contraintes sont appelées le « hard power ». La séduction est appelée le « soft power ». Les Etats-Unis sont une superpuissance : En effet, ils utilisent à la fois la contrainte et la séduction pour s’imposer dans le monde. De plus, ils sont de plus en plus compétitifs depuis 1991 avec la chute de l’URSS.

l’ensemble de la planète. Dans un contexte de consolidation des relations internationales et de globalisation, les États-Unis apparaissent de plus en plus marginaux face à la montée d’un monde multipolaire. Peut-on parler d’un déclin de la puissance américaine ?Nous verrons tout d’abord les indicateurs d’une puissance mondiale affirmée, puis nous montrerons les faiblesses de son pouvoir que les évènements récents remettent en question.Tout d’abord, la puissance des États-Unis puise dans sa potentialité

Johnathan Nye distingue 2 types de puissances : -La puissance «DURE» ou HARD POWER, soit le fait d’imposer sa volonté par la contrainte, les types de puissances faisant partie du Hard Power sont : *La puissance militaire *La puissance économique (contraindre économiquement/commercialement) *Les sanctions (Les russes n’ont pas décidé de se priver de microprocesseurs et les Européens de gaz.)-La puissance «Douce» ou Soft Power, c’est à dire imposer sa volonté par adhésion, s’imposer comme modèle à suivre