Société Propétrol

facile de distinguer une norme d’une valeur, car la norme donne lieu à une sanction (positive ou négative). • Le rôle est le comportement que l’on attend de nous en fonction de notre statut social. Le statut est la place que l’on occupe dans une société (ex : dans une famille -> enfant, nièce, sœur, filleule etc.) A ces statuts on attend un rôle : [obéissance, respect] [travail, apprentissage des leçons]

attachée à un peuple on parlera de civilisation, car un peuple civilisé a une culture riche et développé. Par une nouvelle extension de sens, l'adjectif ''cultivé'' est né désignant l'étendue des connaissances que peut designer un homme. 2. Entrer en société, est-ce acquérir une culture ? Dans les espèces animales il n'y a pas d'éducation, l'animal acquiert selon les lois biologiques de l'hérédité, un ''bagage'' figé une fois pour toute et identique pour tous les individus de la même espèce. On parle

similitude entre l’organisme biologique et l’organisme social. La fonction répond à des besoins vivants et non-biologiques. Un organisme sociale se compose de constituantes aux fonctions particulières qui prennent en charge des besoins spécifiques. La société est étudiée comme une organisme biologique qui, tout comme lui, se compose d’éléments formant entre eux une structure. La structure est le système de relations qui constitue l’organisme social. Il faut comprendre que l’organisme possède une structure

droit :On catalogue le droit comme une science sociale, se faisant on opère un étroite liaison entre la notion de société et la notion de droit, et de fait, ces 2 notions droit et société sont tout a fait inséparables, les formes de société sont multiples tout comme les formes d’organisations (exemples :la commune, un syndicat, un parti politique, un club sportif),toutes ces sociétés ont des points commun, en effet ,quelle quelle soit elle présentent toutes un double caractère, elles ont toutes

une aide afin de les satisfaire devra d’abord chercher la manière dont son intérêt concourrait à la satisfaction de celui de l’autre personne. La thèse qui est donc défendu à travers ce passage est qu’il n’existe pas de bienveillance au sein de la société mais que les hommes s’entraident non pas pour la simple satisfaction d’avoir accomplit une bonne action, mais parce qu’ils savent d’avance que leur aide va leur permettre de satisfaire leurs propres intêrets. Ainsi on pourrait dire que le malheur

préparer à la vie en société. Cependant l’école n’est pas la seule à avoir la dure tâche de le transformer en futur adulte responsable. Les parents eux-aussi ce devoir. En effet, l’enfant dès leur plus jeune âge imite et répète les faits et gestes de leurs parents (Si les parents ont tendance à être violent, l’enfant sera à son tour violent envers ses camarades de classe). Les parents permettent aussi a leur fils ou fille de s’intégrer plus ou moins bien dans la vie en société (Si les parents sont

comme il a parfois été dit (à cause du "jugement de cour" du vers 64), mais une décision politique : trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. Deux aspects nous intéressent ici : • une peinture de la société animale au travers de laquelle on discerne une satire de la Cour (et de la société humaine) • une allusion aux rapports entre les hommes et les animaux. 1ère partie, v. 1-14 : la peinture de la peste. Cette première partie décrit

êtres humains ; ceux-ci sont pris dans des conditions culturelles, économiques, démographiques, politiques, qui les dépassent et dont ils ne maitrisent pas nécessairement les effets. » L’homme ne peut pas vivre sans autres hommes, donc dans la société il va forcément être influencé. On est influencé par notre histoire familiale, celle de notre pays… Les sciences sociales reposent sur le fait que les hommes interagissent entre eux –mais quelle est la nature de ces relations ? Les phénomènes sociaux

par analogie du cuisinier : certes, « Chaque homme, dans le fond de son coeur, a droit de se croire entièrement égal aux autres hommes » ; certes le discours du cuisinier est « raisonnable et juste » mais chacun doit faire son devoir, « ou toute société humaine est pervertie. »

physique, psychique ou morale, on peut dire que la société moderne, sous des allures les plus démocratique ou les plus libérales, est une société violente. » (J. Ominus) La violence fait partie de notre quotidien, de notre société ! Il se pourrait que notre régime démocratique porte atteinte à l’intégrité physique, psychique ou morale des personnes, ce système pourrait donc être violent. Premièrement, nous présenterons la démocratie comme une société engendrant la violence, ensuite démontrerons