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entretient-il avec la nature ?L'énonciation de la thèse de l'auteur ouvre le texte (ligne 1 à 2) elle est posée comme un « fait peu contestable » donc comme un fait concret,puis est suivie (ligne 2 à 4) del'explication de la négation du donné naturel du à la société humaine qui impose par la technique et le travail,mais également (ligne 4 à 6) de la négation de l'animalité et du rejet de l'instinct del'homme par l'éducation puis par le lien nécessaire entre les deux négations pour donner un être unique : l'homme

Intro De nos jours, la société possède plusieurs enjeux. Un de ces enjeux, est la démocratie elle-même. Démocratie veulent dire : pouvoir au peuple, par le peuple, ceci m’amène à poser la question : Le peuple mérite-t-il la démocratie? Je défendrai ma thèse en définissant les trois concepts de cette question, ceux-ci étant la société elle-même, le fait de mériter et la démocratie. Conceptualisation Premièrement, le peuple d’aujourd’hui fait partie d’une société démocratique. Grace à celle-ci

humain est un animal social. La solitude est une question difficile à cerner. Elle est diverse dans ses manifestations. Pour certains, elle se traduit par un sentiment d’ennui ; pour d’autres, par un état anxieux. De plus en plus des gens dans notre société se sentent seuls, coupés des autres, coupés du monde et qui souffrent d’isolement. De solitude, comme on dit mais combien sont ils ? C’est difficile à dire. Parce que la solitude est une souffrance muette. On garde sa souffrance pour soit comme si

Thème général : Tristes Tropiques raconte le récit de voyages de Lévi-Strauss à travers le Brésil et ses rencontres avec les différents peuples. Le but pour l’auteur étant d’établir une étude ethnographique en comparant les tribus d’Amazonie avec nos sociétés occidentales. Il veut également donner une autre vision des voyages en s’intéressant davantage aux êtres humains d’Amérique du Sud, souvent peu connus des explorateurs. Introduction Tristes Tropiques est constitué en neuf parties et quarante

universalise la maxime de ton action. Ainsi, si je me demande si je dois mentir ; j'universalise la maxime de mon action : que se passerait-il si tout le monde mentait ? Alors il n'y aurait plus ni vérité, ni mensonge, mais un doute perpétuel et la société humaine se désagrègerait, car il n'y aurait plus de confiance possible. Je ne dois donc pas mentir, puisque cela débouche sur la fin de l'humanité. Voilà une pensée libre, car autonome : elle se donne à elle-même sa propre loi. Mais même cette conception

Séquence 2nde Victor Hugo et le romantisme engagé. (séquence réalisée durant l'année scolaire 2005-2006) L’engagement de l’écrivain dans la société. Objets d’étude : a- démontrer, convaincre, persuader b- un mouvement littéraire et culturel du XIXe. Objectifs : 1) revoir les techniques de l’argumentation. 2) aborder l’étude d’un mouvement littéraire et culturel majeur : le romantisme. 3) connaître un auteur romantique essentiel : Victor Hugo. |Séance, objectif |Supports

effet généralisant Victor Hugo donne à son roman une grande vraisemblance. Il dépeint aux lecteurs la société anglaise au début du XVIIe siècle. Mais cette société particulière qui est décrite peut être assimilée à toute société humaine : sa peinture est assez générale pour que le lecteur de son époque mette en parallèle les inégalités, l’exploitation et la perversion de cette société avec la société française du second Empire. Cette technique lui permet de critiquer sans risque les inégalités françaises

Chapitre 3 : La culture et la socialisation. Toute société humaine se caractérise par l’existence de pratiques, un symbolisme, et un language , qui rendent spécifique la société humaine. Ce constat revele l’existence d’un processus culturel qui donne sens au monde. Mais la culture n’es pas une donnée figée. Elle évolue au contact d’échanges culturels. Comment l’identité est elle concue ? Ne doit on pas différencier identité et citoyenneté ? La culture comme manifestation deu social dans l’homme

remarié avec une femme divorcée, mère de deux enfants…  « A l’échelle de la société humaine, il se pourrait même que la famille recomposée soient la règle non l’exception. » Emile Durkheim a affirmé que le modèle familial dit « nucléaire » celui du couple vivent avec ses enfants correspond parfaitement aux sociétés modernes. Si la famille change aujourd’hui, c’est parce qu’elle reflète les transformations de la société d’après Durkheim. La famille ne doit plus être productive, elle doit, selon Parsons

idéal ne pouvant être atteint par la société ? Alors à quoi bon servirait-elle ?! Nous tenterons de répondre à cette problématique en s’appuyant sur les œuvres au programme, notamment Les Choéphores et les Euménides d’Eschyle, les Pensées de Pascal et Les Raisins de la colère de Steinbeck . Cela revient à comprendre dans un premier temps l’aspect transcendant de la justice absolue pour ensuite déduire qu’elle ne pourrait être parfaitement appliquée dans une société telle que la nôtre. Finalement, nous