Société française d'anesthésie et de réanimation

l’enfant PARTICIPANTS Promoteur : Société Française d’Oto-Rhino-Laryngologie et de Chirurgie de la Face et du Cou Avec : Association Française de Chirurgie Ambulatoire Société Française d’Anesthésie et de Réanimation COMITE D’ORGANISATION Pr Emmanuel LESCANNE, ORL & CCF, Tours Pr Vincent COULOIGNER, ORL & CCF pédiatrique, Paris 15e Pr Gilles ORLIAGUET, Anesthésiste Réanimation, Paris 15e Dr Anne GUIDAT, Anesthésiste Réanimation, Lille GROUPE DE TRAVAIL Président

Lycée Paul Bert Paris 14ème Année scolaire 2010-2011 T P E Quelles sont les différentes sortes d’anesthésie ? Comment agissent-elles sur l’organisme ? Dans quels cas les utilise-t-on ? Classe de 1ère S2 Isik DARENDE Wahil KOUACHI Gabriel VILATO Madame BRAUN Professeur de SVT Monsieur DUHAMEL Professeur de Physique-Chimie SOMMAIRE Introduction 4 Historique 5 Le circuit nerveux de la douleur 7 I - Présentation du système nerveux 7 II - Mecanismes de la douleur 8

Réanimation (2012) 21:S519-S522 DOI 10.1007/s13546-011-0335-y ACTUALITÉS PROFESSIONNELLES EN SOINS INFIRMIERS INFIRMIER Sources et gestion des conflits au sein de l’équipe soignante* Sources and management of conflict within the healthcare team A. Soury-Lavergne Reçu le 8 octobre 2011 ; accepté le 24 octobre 2011 © SRLF et Springer-Verlag France 2011 Résumé Les conflits font partie de la vie d’une équipe soignante. Ils sont en partie liés aux caractéristiques de celle-ci. Ils sont

Réanimation (2010) 19, 146—153 MISE AU POINT Sevrage de la noradrénaline dans le choc septique Norepinephrine weaning in septic shock E. Kipnis ∗, B. Tavernier , B. Vallet Fédération d’anesthésie-réanimation, service de réanimation chirurgicale, hôpital Claude-Huriez, CHRU de Lille, 1, rue Michel-Polonovski, 59037 Lille cedex, France Recu le 15 novembre 2009 ; accepté le 5 janvier 2010 ¸ Disponible sur Internet le 20 janvier 2010 MOTS CLÉS Noradrénaline ; Sevrage ; Préchargedépendance

avec le patient. Cela me permettra de l’accompagner au mieux dans la réalisation de ses soins, le rassurer et de diminuer/supprimer la douleur ressentieµ. Sites internet has.fr, infirmier.com, medecinephysique.net, sfar.net (société française d’anesthésie et réanimation) + Protocole douleur du service

un temps fort de la construction de l’identité professionnelle de l’apprenant pour l’intégration des valeurs, des savoir-faire et de la culture professionnelle. L’application du décret ainsi que les recommandations de la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) attribuent à l’infirmier anesthésiste sa fonction de tuteur ; pour autant celui-ci n’a jamais été formé à cette mission lors de ses études. L’infirmier anesthésiste est-il alors en capacité d’improviser ce rôle ? Lors

spécialité dans la prise en charge spécifique des oedèmes. Cette spécialité n’a pas de place dans la stratégie thérapeutique. 1 Prise en charge de la douleur postopératoire chez l’adulte et de l’enfant. Conférence de consensus. Société Française d’Anesthésie et de Réanimation / ANAES 1997. 2 Rééducation de l’entorse externe de la cheville. Texte des recommandations. ANAES janvier 2000. 4 3.2.4 Intérêt en termes de santé publique Compte tenu : - de l’absence de caractère majeur de gravité dans ces

du décubitus qui en découle. - Le besoin d’être propre : ne peut être maintenu par le patient de par sa perte d’autonomie. - Le besoin de dormir et se reposer est altéré par la perturbation du rythme nycthémérale lié à la vie du service de réanimation. - Le besoin d’éviter les dangers : le malade présente une baisse des défenses immunitaires accentuée par la présence de matériels invasifs (Sonde d’intubation, cathéters, sonde à demeure…) - Le besoin de maintenir une température : qui peut

tradition française de la qualité de la médecine et du respect des valeurs humaines, l’Académie Nationale de Médecine se préoccupe de ce problème. RAPPEL HISTORIQUE Longtemps un certain paternalisme médical a prévalu, le médecin imposant au malade, parfois sans explications, la décision qu’il jugeait la meilleure. Les termes de « prescription », d’ » ordonnance » reflètent bien cet état d’esprit. La notion de « consentement aux soins « apparaît dans la jurisprudence française dès 1936. Reprise

est placé sous la responsabilité médicale d’un médecin anesthésiste qui doit pouvoir intervenir sans délai… » Ceci implique donc que le médecin anesthésiste extube mais qu’il n’est pas le seul à pouvoir réaliser ce geste. La société française d’anesthésie réanimation ( SFAR ) dans unes de ses recommandations apporte déjà quelques précisions concernant les soins post anesthésiques : « 3.1 En salle de réveil le patient est surveillé par un personnel infirmier qualifié sous la direction d’un médecin