Société fiduciaire

et vecteur de croissance et de prospérité économique. David Ricardo a écrit "l'échange " lie entre elles toutes les nations du monde onde civilisé par les nœuds communs de l'intérêt, par des relations amicales, et en fait une seule et grande société". société Dans les faits, la définition et la gestion de ce "Bien commun" ou "Bien public" que constitue le recours à une monnaie internationale pour our effectuer le règlement des échanges entre les pays, a été souvent un enjeu de luttes et de conflits

flux de monnaie. En France, il y a l’apparition d’une institution monétaire en 1800, que l’on a appelé « la Banque de France », et qui va, dès 1803 être capable de maîtriser la monnaie. Il existe trois formes de monnaie : • Fiduciaire (créée par la Banque Centrale) • Scripturale (créée par les banques commerciales) • Divisionnaire (créée par le Trésor Public) La monnaie représente un facilitateur des échanges, notamment avec la théorie d’Irving

promotion et de représentation à l’étranger pour les sociétés exportatrices). La réglementation des changes autorise l’ouverture de trois catégories de comptes : • Ceux au nom de personnes physiques ou morales étrangères résidentes ou non résidentes • Ceux au nom de personnes exportatrices de biens ou services ou au nom des ressortissants marocains établis à l’étranger • Et ceux établis en faveur de sociétés de pêche Caractéristiques : les devises qui entrent

et les formes de la monnaie Les agrégats monétaires et la masse monétaire : intro : la forme principale utilisé carte bancaire I fonctions et formes de la monnaie : société moderne, plusieurs formes : billets et pièces chèques de plus en plus carte bancaire a fortiori dvlpt éléctronique. Sociétés anciennes : troc impossibilité divisibilité de la monnaie 1.1: les fonctions de la monnaie : 3 fonctions essentiels : 111: la fonction d' unité de compte ou (étalon

instrument de politique économique  I-2 Définition institutionnelle Plan Détaillé chapitre 1 –suite-  II- Conception et formes de la monnaie  II-1 Du troc à la monnaie marchandise  II-2 De la monnaie métallique à la monnaie fiduciaire  II-3 La monnaie scripturale  II-4 La monnaie électronique Plan Détaillé chapitre 1 –fin III- La masse monétaire et ses contreparties  III-1 Mesure du stock monétaire  III-2 Les contreparties de la masse monétaire  III-2-1 Contrepartie

peut revêtir plusieurs formes, lesquelles ont évolué au cours de l’Histoire : Autrefois, la monnaie (pièces d’or et d’argent) avait une valeur intrinsèque Aujourd’hui, les agents non-financiers disposent de 2 instruments de payement : La monnaie fiduciaire : Le billet4, qui repose sur la confiance (fiducia) car sa valeur intrinsèque est bien inférieure à sa valeur faciale Les pièces (monnaie divisionnaire), dont la valeur intrinsèque est également très inférieure à sa valeur faciale La monnaie scripturale5 :

Définition : La monnaie est constituée de l’ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques pour régler leurs transactions. Elle permet d’effectuer un paiement immédiat. 2) Formes de monnaie : Monnaie scripturale | Monnaie fiduciaire | Monnaie divisionnaire | C’est l’ensemble des comptes a vue ouverts qu’après des banques et du CCP | C’est l’ensemble des billets de banque et des pièces monétaires | Les pièces monétaires et jetons métalliques | *cheque bancaire*carte magnétique

créer par le biais du crédit, la monnaie scripturale ou électronique qui représente environ 93% de la masse monétaire. Les banques centrales sont appelées « Institut d’émission » uniquement parce qu’elles ont le monopole de l’émission de la monnaie fiduciaire (pièces et billets) seulement. La monnaie est bien créée ex-nihilo par les banques commerciales, même si cette création a lieu « sous garantie ». C’est cela qui faisait dire à Maurice Allais, prix Nobel 1988 des Sciences économiques « Dans son

Réserve de valeur : permet de séparer l’acte de vente de l’acte d’achat 11. Formes et fonctions de la monnaie Quelles formes peut prendre la monnaie ? • Approche historique – – – monnaie marchandise Ensuite, monnaie métallique Puis, monnaie fiduciaire (billets ; pièces = « monnaie divisionnaire ») Monnaie scripturale: chèques, virements, cartes de paiement – • Aujourd’hui: pièces = 0.8%, billets = 12.7%, reste= monnaie scripturale (en % des moyens de paiement en circulation) 11.

coquillages. Sur cela, Aristote disait: "Il est donc indispensable que tous les biens soient mesurés au moyen d'un unique étalon". Par la suite, le troc a été succédé par la monnaie métallique avec les pièces en argent ou en or, puis par la monnaie fiduciaire, soit une monnaie dont la valeur repose sur la confiance du public en sa valeur comme le billet, et enfin par la monnaie scripturale qui est largement dominante de nos jours, étant à l'origine de la plupart des échanges. Aujourd'hui, nous sommes