Société fiduciaire

développement de l’interbancarité monétique et de distribution automatique de billets. Deux organes sont en charge de la gestion du SMI. L’Office monétique d’Afrique centrale (OMAC) pour les aspects liés à la réglementation et à la supervision. La Société monétique d’Afrique centrale (SMAC) dont le siège est à Libreville, s’occupe de la gestion opérationnelle du système. L’architecture opérationnelle est assurée à l’aide de quatre fichiers régionaux subdivisés en six sous-fichiers nationaux disponibles

instrument de paiement, une unité de compte qui permet de comparer la valeur des biens et une réserve de valeur qui permet l’épargne ou la thésaurisation B) Les formes de la monnaie On distingue deux formes de monnaie : d’une part la monnaie fiduciaire constitué des pièces et de billets émis par la BCE d’autre part la monnaie scripturale constitué par les dépôts a vue par les agents dans les banques (chèques, virements), la monnaie électronique (monétique ou carte bleue) fait partie de la monnaie

de pièces dont la valeur nominale correspond à la valeur du métal.) -Les formes actuelles de la monnaie : -La monnaie divisionnaire (composé de pièce de faible valeur nominale. Les 1ères pièces en euro sont apparues en Janvier 2002. -La monnaie fiduciaire (correspond au billet, émis par les banques centrales, dont la valeur réelle est liée ala confiance de ses détenteurs dans le système économique. A partir de 2002, les billets en euros sont émis à l’initiative de la banque centrale européenne et

religieuse). Dans un premier temps, ces pièces ont une valeur faciale qui reflète leur valeur en métal mais les pièces récentes n'ont plus de référence à un poids de métal précieux. Elles sont devenues de véritables monnaies fiduciaires. b- De la monnaie métallique à la monnaie fiduciaire Vers le 14ème siècle, les seules monnaies métalliques ne suffisent plus pour les besoins du commerce. Certains banquiers commencent à émettre des lettres de change (ancêtres des billets), en contrepartie de dépôts de

L’intermédiation financière Elle se compose du système bancaire, ensuite des établissements des crédits non bancaires, les assurances et les autres organismes financiers. 1. Le système bancaire Une banque est un établissement qui crée la monnaie (fiduciaire (billet), scripturale et divisionnaire (pièces). Le système est composé de la banque centrale et des banques secondaires. 1.3.1.1 - La banque centrale Appelé aussi banque primaire, c’est l’institution d’émission. Ses compétences sont :

l’ensemble des systèmes de transfert mis en place par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), l’organe régulateur des systèmes financiers de l’UEMOA. Ces systèmes de transfert ont connu une évolution remarquable allant des monnaies fiduciaire et scripturale aux moyens de paiement électroniques. La question fondamentale est de se demander comment la globalisation financière a permis le développement des systèmes de transfert d’argent dans la zone UEMOA. Pour répondre à cette question

appelé « relation d’agent » est sujet à conflits, elle ne peut pas s’appliquer pour les petites entreprises puisque les détenteurs de la direction, des actions et de la surveillance sont les mêmes individus. Dans ce contexte les membres de ces petites sociétés ont des intérêts communs plutôt qu’individuel. De ce postulat les conflits et coûts d’agence seraient pratiquement nuls dans ces structures dont les objectifs de développement et de maximisation de profits sont les mêmes. Néanmoins, ce type de structures

d'émission. Dans les pays de l'ONU, les banques nationales fabriquent de la monnaie. Cela appelle une distinction avec la notion d'instruments de paiement. Le code monétaire et financier, un titre premier sur la monnaie, un titre deux la monnaie fiduciaire, titre trois la monnaie scripturale. Il y a les instruments de paiement, définit dans le code monétaire comme un instrument de la monnaie scripturale. Il y a une définition sur les intitulés de code monétaire et financier. Il y a une distinction

Chapitre 1 L’échange sur les marchés 1. L’organisation des échanges 1.1 Pourquoi échange-t-on ? La division du travail constitue la règle dans nos sociétés : aucun individu ne peut prétendre produire tous les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Ainsi, la spécialisation des individus les conduit à échanger le surplus de leur propre production, qui excède leurs besoins, contre le surplus de production d’autres individus. Il est vrai qu’il est toujours possible de s’approprier par

monétaires : - La monnaie divisionnaire : les pièces de monnaie - La monnaie fiduciaire (lat. fiducia : confiance) : les billets de banque - La monnaie scripturale : les chèques L’ensemble des moyens monétaires (monnaie sous chacune de ses formes) constitue le flux monétaire, à opposer au flux réel. Quelle que soit la forme qu’elle a revêtue, la monnaie repose sur la confiance. Toute la monnaie est fiduciaire. Si une monnaie n’inspire plus la confiance, elle est abandonnée. (Loi de Gresham :