Societe D Ordre Adalberon De Laon

l’origine du terme « féodal » qui vient de « fief », institution juridique et politique née au Moyen-Âge, mais aussi ensemble de terres et de droits qui étaient propriétés de seigneurs, qui étaient à l’origine des guerriers récompensés par et sur ordre du roi. Ces seigneurs avaient donc certains droits de puissance publique et politique qu’ils exerçaient au nom du roi : rendre la justice, prélever l’impôt, organiser l’armée, faire la guerre, diriger des terres agricoles. Mais, par suite d’un affaiblissement

juridique qui vont organisées, ou permettre le déroulement de la vie en société. Le droit est une règle du jeu. Le droit n’est jamais fiché, qui bouge énormément, c’est un produit, le résultat d’une époque. Expression de la volonté humaine pour permettre que la vie en société se déroule au mieux. Plusieurs institutions : _institution Pc, notion d’Etat _institution social, des Hommes qui vivent à l’intérieur de cette société, dans leur dimension juridique, des citoyens Depuis 476, l’Empire Romain

dans le temps. L’histoire des institutions et le principe le plus général de l’histoire du droit. Les institutions sont les éléments relativement stables d’une société. Ici, nous voyons les institutions juridiques, c’est-à-dire, qui sont en relation et organise le droit car c’est l’ensemble des règles de loi qui organisent notre vie en société. Seuls les romains ont une pensée spéciale en droit. Attention à ne pas confondre le terme « juridique » (relatif au droit) avec le terme « judiciaire » (relatif

Révolution, PUF, « Droit fondamental », 11e éd., 2006. Antoine LECA, Les métamorphoses du droit français. Histoire d’un système juridique des origines au XXIe siècle, LexisNexis, 2011. Jean-François LEMARIGNIER, La France médiévale. Institutions et société, Armand Colin, « U », 2010 (réimpr. éd. 1970). Claire LOVISI, Introduction historique au droit, Dalloz, 4e éd. 2014. Martial MATHIEU, Histoire des institutions, l’ancienne France (Ve siècle-1789), Lexis-Nexis, 2013. Roland MOUSNIER, Les institutions

avec l'invasion des barbares ? le mélange entre les Barbares et les Gallos Romains ? Section 1 : Le legs romano-chrétien L’autorité romaine a apporté à la société gallo-romaine un fond de tradition politique, juridique et religieuse. Paragraphe 1 : La Gaulle Romaine On peut dégager un legs au cours du IVème siècle qui a apporté à la société gallo-romaine un fond de traditions politiques, juridiques et religieuses. Ce legs politique comporte une définition des éléments constitutifs du pouvoir politique

intérieur. Un découpage qui suppose que sont nommés des magistrats qu’on qualifie des gouverneurs qui sont chargé d’administré des provinces romaines. Avec des magistrats nommé par l’empereur et révoqué par lui mais aussi rémunéré. Ils prennent alors leur ordre de lui. On trouve ensuite des cités (subdivision des provinces soit de nos jour on les qualifierait de département). Modèle administratif qui dispose d’un sénat de magistrat. Il administre au quotidiens et peuvent régler les troubles à l’ordre publique

qu'ils sont ceux qui consacrent leur ministère religieux au culte divin. Les clercs sont donc titulaires d'un ministère, c'est-à-dire d'une mission. Pour l'accomplir, ils reçoivent l'ordre. Ils sont titulaires de l'ordo clericorum. Ils reçoivent cet ordre par la cérémonie de l'ordination, qui est toujours donné par un évêque. C'est un acte indélébile. Pour pouvoir prétendre à l'ordination, il y a des conditions : * être un homme, * remplir des conditions d'âge, * être sain de corps et d'esprit

notamment auprès des barbares. S'il se développe auprès des barbares, c'est que l'Arianisme est moins compliqué à comprendre que le christianisme. Cela va freiner le rapprochement des barbares et des Gallo-romains. Les barbares ont développé une société extrêmement guerrière ce qui n'était pas le cas de la Rome Antique. Les romains avaient développé une armée de professionnelle et ils payaient une taxe pour ne pas appartenir à cette armée. Pour les barbares la guerre c'est l'activité principale

obligatoire Citoyenneté et empire à Rome (ier- iiie siècles) Mise en œuvre – L’extension de la citoyenneté à la Gaule romaine : les tables claudiennes. – L’extension de la citoyenneté à l’ensemble de l’empire : l’édit de Caracalla. Thème 3 – Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du xie au xiiie siècles (8–9 h) Question obligatoire La chrétienté médiévale Mise en œuvre La question traite de la place fondamentale de la chrétienté dans l’Europe médiévale en prenant appui sur deux études

l'exercice de la justice. Le pouvoir de juger appartenait aux hommes libres et le peuple jugeait souverainement. Mais l'autre différence est que c'est d'avantage la justice privée qui est privilégiée. Quand Clovis et ses successeurs veulent développer un ordre judiciaire, la chose est peu évidente: les Francs utilisent plus spontanément la justice privée et n'ont pas forcément tendance à s'adresser à un tribunal. Dans les lois barbares, on retrouve des rudiments de la justice privée car elle est encore admise