Socialisme Libéralisme Conservatisme

titre de réparation[10]. C’est pour cela que la situation jusqu’en 1948 ne s’améliore pas. Puis l’URSS reconstruit la RDA sur le modèle économique soviétique. Dès la fin de la guerre, le gouvernement soviétique met fin à l’économie de marché et au libéralisme. La première réforme industrielle de 1945 supprime le patronat. Les grandes industries privées sont saisies par le gouvernement et transformées en entreprises d’État ou sociétés anonymes publiques. Seuls l’artisanat et les métiers de la gastronomie

existe à cette époque un petit groupe partisan de l’égalité sociale : les diggers (branche dissidente des levellers), qui revendiquent une égalité complète, à l’époque, leur audience reste limitée, mais ils constituent une sorte d’antécédent du socialisme. Pour les levellers, il n’est pas question d’égalité sociale, et pourtant, ils développent certains thèmes, essentiels d’un point de vue démocratique : la première est celle du Gouvernement par consentement -l’origine du pouvoir réside dans le

l’État pour un temps limité. La redistribution des richesses selon les besoins (par la mise en commun des moyens de production contrôlés par l’État). Exemple : L’URSS, la Chine et le régime castriste à Cuba prônaient cette idéologie. 3. Le socialisme : Abolition des inégalités sociales. Intérêts de la collectivité. Favorisation de l’intervention de l’État. Exemple : Le Parti socialiste français et le Parti social-démocrate suédois prônent cette idéologie. 4. L’écologisme : Respect de

règles de l’ordre social spontané, garant de la liberté ! Le « néo-libéralisme » est une catégorie vague, commode surtout pour regrouper des auteurs d’horizons théoriques et idéologiques très divers. Friedrich Hayek, dont les ouvrages ont été loués par Margaret Thatcher et Ronald Reagan, préfère se présenter comme un « vrai libéral ». Il revendique l’héritage de David Hume et Adam Smith, fondateurs au xviiie siècle d’un libéralisme reposant sur le respect de « l’ordre spontané » du marché. Cette généalogie

différence notoire dans le débat actuel sur ces inégalités est le consensus établit sur leur vocation à disparaitre, l'auteur en veut pour preuve la tendance à l'égalitarisme d'au moins 2 des 3 courants idéologiques du monde moderne, le libéralisme et le marxisme, le conservatisme étant, lui, une idéologie défensive dissimulée. Cet intérêt pour l'égalité s'est d'ailleurs retranscrit dans l'âge du progrès des Lumières à partir du XVIIIe mais Immanuel Wallerstein semble soulever un glissement sémantique explicite

Principales idéologies Anarchisme : abolition de l’État (slogan: ni dieu, ni maître) Communisme : abolition de la propriété privée, tout appartient à l’État Socialisme : Privilégie la collectivité et favorise l’intervention de l’État Écologisme : vise le respect de l’environnement Libéralisme : Libertés individuelles et démocratie politique Conservatisme : Attachement aux valeurs traditionnelles. Contre les idées progressistes Fascisme : Rejette la démocratie. État qui contrôle la société Exemple Aucun

c'est le siècle du libéralisme et économique qui va donner lieu à des doctrines. Les deux domaines politiques et économiques se soutiennent. III- Le libéralisme Le libéralisme fait partie des idées politiques, des doctrines politiques. Le terme est ambigu. Par définition, le suffixe « -isme » donne une connotation doctrinale. En présence d'une construction intellectuelle, spirituelle, toutes les religions finissent par le même suffixe. Le libéralisme sous tend un projet

été interdit sous le Troisième Reich. Il prône un socialisme démocratique et exige la socialisation de l’industrie allemande. La CDU (Christlich Demokratische Union), l’Union chrétienne-démocrate, est fondée en 1945. Si elle est largement l’héritière du Zentrum, le grand parti catholique d’avant 1933, il s’agit désormais d’une union chrétienne qui transcende les confessions. On peut la qualifier de parti emprunt de libéralisme et de conservatisme. La politique que prône la CDU est celle d’une économie

c'est le siècle du libéralisme et économique qui va donner lieu à des doctrines. Les deux domaines politiques et économiques se soutiennent. II- Le libéralisme Le libéralisme fait partie des idées politiques, des doctrines politiques. Le terme est ambigu. Par définition, le suffixe « -isme » donne une connotation doctrinale. En présence d'une construction intellectuelle, spirituelle, toutes les religions finissent par le même suffixe. Le libéralisme sous tend un projet

émanée directement de la volonté populaire ) Pour certains groupes antisémites, est envisagée une réforme plus profonde des structures économiques et sociales (désignée sous le terme de socialisme) La coupure avec la gauche révolutionnaire s'accentue avec l'internationalisme de plus en plus marqué du socialisme français, la diffusion du pacifisme humanitaire et la propagande antimilitariste. Le nationalisme se rapproche donc des milieux conservateurs et devient exclusivement défensif dans ses positions