Socialisation Et Déviance

Mobilisation collective, identités, valeurs, groupes de pression. 5) Thème : Intégratoin et solidarité Chapitre 10 : La cohésion sociale et les instances d’intégration Notions essentielles : Lien socialn socialisation, intégration, exclusion. Notions complémentaires : Pauvreté, anomie, déviance, individualisme, solidarité mécanique, solidarité organique. Chapitre 11 : Protection sociale et solidarité collective Notions essentielles : Etat – providence, assurance, assistance, redistribution

Cette distance peut être soit quantitative et mesurable, soit qualitative et décrétable par rapport à un pôle ou un espace structurant ; elle intègre bien souvent les deux aspects. Mais la marginalité s'inscrit également dans le couple normalité-déviance puisqu'elle est aussi chargée de sens social. Ainsi, margrave et marquis sont situés au bas de l'échelle de titulature féodale, tout comme marge et margelle sont à la fois le bord et le rebord (d'un puits) évoquant une idée de chute voire de déchéance

: les handi- caps physiques, les troubles de la vision, les défauts du visage ou du corps. - les stigmates tenant à la personnalité ou au passé de l’individu : troubles du caractère, séjour passé dans un hôpital psychiatrique, alcoolisme, déviance... –les stigmates « tribaux » qui correspondent à la race, à la religion ou à la nationalité et peuvent être transmis de génération en génération (le cas des Noirs aux USA en est le meilleur exemple). Ici nous nous intéresserons à la seconde

les deux « composantes » des classes sociales selon Marx ? 15. Quelle dimension Weber a-t-il ajouté à la conception marxiste des classes sociales ? 16. Citez quatre agents (instances) de socialisation : …………………….. 17. Par quels mécanismes s’opère la socialisation ? 18. Qu’est-ce que les normes ? 19. Déviance et délinquance sont deux termes synonymes : oui 1 / non 1 20. Une sous-culture est-ce une culture inférieure : oui 1 / non 1 21. Être acculturé est-ce être privé de culture ? oui 1 / non

innovations. Elles peuvent également être ignorées, ou encore être maintenues de force. Elles représentent alors des inventions dogmatiques, qui détruisent les formes de socialisation antérieures sans y substituer de nouvelles. Le processus d'appropriation critique et de création de sens qui caractérise l'innovation repose sur la déviance. Il résulte d'une multitude d'actions quotidiennes, banales, qui supposent un investissement en temps, travail et identité de la part des acteurs. Cet investissement

punitives pour les contrevenants. Loin d’apporter des réponses définitives, l’évolution des société des humaines n’a eu de cesse de générer en son sein une perpétuation plus ou moins marquée, selon les époques, les types de société ou les situations des déviances portant atteintes à ce que n’appelle communément la sécurité des biens et des personnes. Face aux limites structurelles d’une gestion exclusivement coercitives des actes de délinquance, le traitement de cette problématique s’est sensiblement déplacé

un grand ensemble de banlieue. Par son livre "Coeur de banlieue", il va nous exposer une nouvelle vision des jeunes de banlieue. David Lepoutre critique les démarches sociologiques qui montrent souvent plus les causes de la violence des rues et la déviance qui en découle que la logique spécifique des adolescents des cités. Il va donc dans le cadre de sa démarche éthnographique allé vivre au coeur de la cité des quatre mille à la Courneuve pour nous démontrer que la cité ne se définit pas que par la

sociale 5) Le structural-fonctionnalisme 5.1 Talcott Parsons : une théorie générale de la société a) Le système social b) La socialisation et l’intégration sociale c) Les pattern variables 5.2 Robert K. Merton : des théories de moyenne portée a) Les fonctions manifestes et latentes b) L’écart entre la culture et la structure sociale : anomie et déviance 6) L’Interactionnisme symbolique 6.1 G.H. Mead : L’esprit, le Soi et la société 6.2 Les travaux fondateurs de l’Ecole de Chicago :

L’auteur de cet ouvrage est Christine Mennesson, maître de conférences à l’Université Paul Sabatier de Toulouse, membre du laboratoire de recherche « Sports, Organisations, Identités ». Il est intitulé « Etre une femme dans le monde des hommes » socialisation sportive et construction du genre. Cet ouvrage nous montre que l’auteur a effectué une enquête, menée de 1995 à 2000, au sujet de l’engagement des femmes dans trois sports considérés comme « masculin » tels que la boxe, le football et également

des interactionnistes américains (en particulier Lemert, Becker et Goffman) doit être ici mobilisé pour analyser la façon dont les institutions de contrôle social participent à la construction de la délinquance en stigmatisant certains types de déviances, dans certains quartiers, en accentuant l’exclusion du jeu social de certains individus et en les enfermant 3 4 Farrington, 1986 ; LeBlanc, 1995 Aux Etats-Unis, le même constat a même incité Gottfredson et Hirschi (1990) à considérer cette