Siècles obscurs

comme l’ombre et les regards des personnages tournés vers lui. La lumière est très diffuse, tamisée. Provenant de la droite, elle éclaire les visages des protagonistes qui ressortent ainsi de l’obscurité. Courbet utilise donc la technique du clair-obscur pour mettre en valeur les visages. Le personnage de Marlet baigne dans la lumière tout comme la table. Cette façon de traiter la lumière est une référence à la peinture hollandaise, à la peinture du Nord à laquelle Courbet s’est énormément intéressé

gauche du tableau, derrière les frères. Elle éclaire les personnages afin de créer un contraste de clair obscur avec le fond très sombre sous les arcades. Le regard du père se trouve dans l’axe de la lumière, on peut même remarquer que son regard est parallèle à la ligne délimitant l’ombre et la lumière sur les arcades. Les couleurs : On constate différents contrastes de couleurs, le clair-obscur dont on a déjà parlé, qui est clairement marqué par le fond très sombre et les couleurs claires du premier

l'approche typique de la Renaissance, qui a un éclairage de la toile uniforme, l’éclairage de la toile baroque se fait par taches. Cette technique attire l'attention sur certaines zones et en laisse d’autres dans la pénombre (utilisation du clair-obscur). Toujours dans un esprit de contradiction avec la Renaissance, la toile baroque donne des expressions faciales aux personnages présents sur la toile pour faire passer des sentiments. Elle représente aussi principalement une asymétrie (l’action principale

Leyde (Pays-Bas) le 15/07/1606 ; Mort à Amsterdam (Pays-Bas) le 04/10/1669 Considéré comme l’un des plus grands peintres hollandais de son temps, Rembrandt Harmenszoon van Rijn a marqué l’histoire de la peinture par une technique remarquable du clair-obscur. À la fois peintre, dessinateur et graveur, il est notamment l’auteur de Ronde de nuit (1642).  Né à Leyde, d’un père meunier, Rembrandt semble tout d’abord se destiner à une carrière plus intellectuelle. Parlant déjà le latin, il entre à l’université

son coté, le petit garçon semble regarder la bougie mais ses yeux sont complètement de coté et cella donne l’impression que ne regarde absolument rien. L’Artiste est très fortement inspirer de Caravage. Cella ce démontre par les grand jeux de clair obscur qui dans ce cas est la bougie qui éclair les visages des personnages. L’œuvre est chargé car il n’y a pas d’espace où un objet ou un personnage y prend place. Les expressions faciales de l’homme nous montre que l’homme essaye d’enseigner l’art de

brumeux, pénétration du clair dans le sombre mis au point par le célèbre Léonard De Vinci) Jan Van Eyck sans l'inventer, améliore la peinture à l'huile les techniques à fresque sur murs, plafonds et voûtes les effets de lumières et d'ombres (clair-obscur, grisaille) la perspective monofocale à point de fuite central (qui exprime la position du peintre, du spectateur, placé en dehors du tableau) la reprise des techniques et scènes de l'Antiquité (due à la migration des savants et artistes grecs en

(durée) + "quelquefois" o imaginaire : "Je croyais" (vers 20) C'est la beauté du tableau qui provoque la naissance de la rêverie. B. Un tableau en clair obscur • tableau : souvenir présenté comme une vision : "je l'ai vue" • vision statique, pas de fin au récit : C'est seulement l'arrivée de Junie ; majorité d'imparfaits • tableau en clair obscur : o obscurité/lumière vers 7 (tétramètre : beauté)  les ombres/les flambeaux vers 11 • dualité accordée à la dualité de la scène o opposition des

interné dans un asile. La composition est reprise d'un dessin de Millet pour les Quatre heures de la journée. Vincent justifie sa démarche à son frère Théo : "C'est plutôt traduire dans une autre langue, celle des couleurs, les impressions de clair-obscur en blanc et noir". Van Gogh a copié à de nombreuses reprises des oeuvres de Millet qu'il considérait comme "un peintre plus moderne que Manet". Fidèle à la composition originale jusque dans les détails de la nature morte du premier plan, Van Gogh

bleu et ocre rouge) .le jaune citron contraste avec le bleu foncé se qui fait ressortir la laitière qui se détache comme l’élément principale du tableau . la lumière : la lumièrese diffuse dans la pièce progressivement se qui produit un léger clair-obscur et fait ressortir les deux premier plans . matériaux et techniques : 4. composition du tableau 1)composition globale Composition triangulaire ou pyramidale . 2)lignes de forces Les différentes lignes de forces forment un quadrillage

le reste, « toutes les teintes avaient tourné au gris sale. » (l.23/24) Et la description comporte aussi quelques indications d'ombres et de lumière : « Pendant le jour, le regard ne pouvait distinguez que l'étalage dans un clair-obscur adouci. » (l.7/8) Le clair-obscur est un procédé pictural consistant dans le fait de mettre un sujet éclairé sur un fond sombre ; mais dans cette boutique « l'obscurité » domine, la lumière est insuffisante. La référence à la peinture apparaît aussi dans l'expression