Si Je Mourais Là Bas Champs Lexical

extrait du recueil Poèmes à Lou de Guillaume Apollinaire, contrairement au premier texte on connaît le destinataire dès le vers 2 : « Ô Lou ma bien-aimée ». A travers l’écriture de ces vers il veut lui faire part de sa peur qu’elle l’oublie trop vite si jamais il venait à mourir, mort qu’il craint tant, au combat ; il est quasi certain que celle-ci est proche. On remarque aussi sa peur de mourir et de rester quelqu’un d’inconnu à travers la métaphore au vers 16 : « Le fatal giclement de mon sang sur

rréel présent dans le texte. Tout d'abord, on peut constater que le poète a peur de mourir de la guerre comme l'exprime le tout premier vers « Si je mourais là-bas sur le front de l'armée », ainsi que le champ lexical de la guerre « front », « armée », »obus », « éclaté » présent dans la 1ère strophe, qui nous ancrent directement dans une dimension tragique, en montrant la violence dans laquelle il peut mourir. On peut également observer de nombreux termes faisant référence à la mort avec « meurt

LECTURE ANALYTIQUE 1 Introduction : Les trois poèmes que nous étudions sont « Demain dès l'aube... » de Victor HUGO tiré de 'Les Contemplations' (XIXe siècle), « Si je mourais là-bas... » de 'Poèmes à Lou' (XXe siècle) dont l'auteur est Guillaume Apollinaire et « Je n'ai plus que les os... » de Pierre de Ronsard du recueil 'Derniers vers' (XVIe siècle). Hugo, Apollinaire et Ronsard traitent tous trois le thème de la mort. Victor.H met en évidence la disparition tragique de sa fille morte noyée

corrige%CC%81 re%CC%81dige%CC%81.pdfDST n°1 : G. Apollinaire, « Si je mourais là-bas… » Proposition de corrigé (rédigé) À partir d’une copie d’élève, retravaillée. « Mon sang c’est la fontaine ardente du bonheur » écrit Guillaume Apollinaire pour adoucir l’image de sa mort prochaine dans « Si je mourais là-bas… », un poème en alexandrins composé de cinq quintils suivis d’un vers isolé qui constitue à lui seul la dernière strophe. Apollinaire ayant écrit ce poème avant son départ pour

surréalisme dont il a forgé le nom. Apollinaire a été influencé par la poésie symboliste dans sa jeunesse. Il se caractérisait entre la modernité et la tradition, il s'agissait pour lui de suivre le mouvement du temps et non du passé ou du futur. Si je mourais là-bas est un poème tiré du recueil Poèmes à Lou écrit en 1915. Il est le fruit d'une relation brève et ardente avec Louise de Coligny-Châtillon, une belle aristocrate rencontrée à Nice en 1914. Le poète imagine sa mort sur le front et en fait part

ce poème intitulé "Si je mourais là-bas" extrait du recueil Poèmes à Lou écrit en 1915 écrit par Apollinaire, le poète imagine sa mort sur le front et en fait part à sa bien aimée. D'abord, nous étudierons les craintes de l'auteur, ensuite nous examinerons la place de l'amour dans le poème et enfin nous analyserons le lien qui unit le poème et la réalité. Apollinaire imagine sa mort sur le front. En effet, le premier vers commence par la conjonction de subordination "si" (v 1) qui indique que

surréalisme dont il a forgé le nom. Apollinaire a été influencé par la poésie symboliste dans sa jeunesse. Il se caractérisait entre la modernité et la tradition, il s'agissait pour lui de suivre le mouvement du temps et non du passé ou du futur. Si je mourais là-bas est un poème tiré du recueil Poèmes à Lou écrit en 1915. Ce recueil parle d'une relation brève et ardente avec Louise de Coligny-Châtillon, une aristocrate rencontrée à Nice en 1914. Le poète imagine sa mort sur le front et en fait part à sa

des pointes qui représentent des flammes. Une seconde femme dessinée de profil, avec la tête et le bras visible, tenant un chandelier, semble sortir d’une fenêtre.Elle a les cheveux étirés vers l’arrière. Un troisième personnage, vers le bas du tableau est dans une position baissée, la jambe droite en avant, la jambe gauche tendue vers l’arrière. Ce personnage est dénudé sur la poitrine et c’est une femme. Elle lève la tête vers le haut. La tête est représentée de profil avec la bouche

amoureux juste avant de partir au front. Dans ce poème il lui déclare en quelques sorte sa flamme, lui explique que si il meurt au combat, il sera considéré comme un héros. Dans ce texte il parle d'un obus, qui, malheureusement ne lui portera pas chances par la suite. Dès le premier vers, le poète envisage sa mort prochaine sous forme d’une proposition conditionnelle « Si je mourais là-bas… » Le poète fait fleurir d’étonnantes comparaisons qui donnent de la mort et de la guerre une vision positive et

(= s’ouvrir en s’éclatant) qui n’est pas du tout de guerre : il s’applique d’ailleurs aux animaux. Lexique : « Brest » (port militaire), l’arsenal, pluie (tristesse), « s’abritait (évocation d’un danger).  L’expression de l’horreur. Champ lexicalde la pluie ( ) + champ lexical de la guerre et de la mort ( ) + allitération en (d) (v. 40-41) + La pluie de la première partie est en réalité un bombardement. A partir du vers 46, plus aucun être humain n’est cité.déshumanisation Dans le poème Barbara, l'amour