Si J Etais Seul Au Monde Je Me Porterais A Merveille Mais Il Y A Les Autres

......................................................... 73 À propos de cette édition électronique .................................. 80 1 1 Toute femme est comme le fiel ; mais elle a deux bonnes heures, une au lit, l’autre à sa mort. PALLADAS –3– I J’avais toujours soupçonné les géographes de ne savoir ce qu’ils disent lorsqu’ils placent le champ de bataille de Munda dans le pays des Bastuli-Pœni, près de la moderne Monda, à quelque deux lieues au nord de Marbella. D’après mes propres

Genèse, 2,17. L’édition originale de cette œuvre a paru sous le titre original de : TWILIGHT, aux éditions Little, Brown and Company (Inc.), New York, New York, USA. Tous droits réservés. -3- Prologue Je n’ai jamais beaucoup réfléchi à la manière dont je mourrais – même si, ces derniers mois, j’aurais eu toutes les raisons de le faire – mais je n’aurais pas imaginé que ça se passerait ainsi. Haletante, je fixai les yeux noirs du prédateur, à l’autre bout de la longue pièce. Il me rendit mon

Je n'ai jamais beaucoup réfléchi à la manière dont je mourrais – même si, ces derniers mois, j'aurais eu toutes les raisons de le faire – mais je n'aurais pas imaginé que ça se passerait ainsi. Haletante, je fixai les yeux noirs du prédateur, à l'autre bout de la longue pièce. Il me rendit mon regard avec affabilité. C'était sûrement une bonne façon d'en terminer. À la place d'un autre, d'un que j'aimais. Noble, pourrait-on dire. Ça devrait compter en ma faveur. Si je n'étais pas partie pour Forks

MEG CABOT BLONDE Tome 1 BLONDE BLONDE L’édition originale de cet ouvrage a paru en langue anglaise chez Point, une division de Scholastic Inc., sous le titre : AIRHEAD Photographie de couverture © 2008 Michael Frost © 2008 by Meg Cabot, LLC. © Hachette Livre 2009 pour la traduction française. Hachette Livre, 43 quai de Grenelle, 75015 Paris. ISBN : 978-2-012-02478-6 Traduit de l’anglais (États-Unis) par Josette Chicheportiche BLONDE Pour Benjamin Je remercie Beth Ader

.................................................................. 134 SCÈNE VII ................................................................................ 135 À propos de cette édition électronique..................................141 –3– NOTICE SUR MACBETH En l'année 1034, Duncan succéda sur le trône d'Écosse à son grand-père Malcolm. Il tenait son droit de sa mère Béatrix, fille aînée de Malcolm : la cadette, Doada, était mère de Macbeth, qui se trouvait ainsi cousin-germain de

succéda sur le trône d’Écosse à son grand-père Malcolm. Il tenait son droit de sa mère Béatrix, fille aînée de Malcolm : la cadette, Doada, était mère de Macbeth, qui se trouvait ainsi cousin-germain de Duncan. Le père de Macbeth était Finleg, thane de Glamis, désigné sous le nom de Sinell dans la tragédie et dans la chronique de Hollinshed, d’après l’autorité d’Hector Boèce, à qui a été emprunté le récit des événements concernant Duncan et Macbeth. Comme Shakespeare a suivi de point en point la chronique

succéda sur le trône d'Écosse à son grand-père Malcolm. Il tenait son droit de sa mère Béatrix, fille aînée de Malcolm : la cadette, Doada, était mère de Macbeth, qui se trouvait ainsi cousin-germain de Duncan. Le père de Macbeth était Finleg, thane de Glamis, désigné sous le nom de Sinell dans la tragédie et dans la chronique de Hollinshed, d'après l'autorité d'Hector Boèce, à qui a été emprunté le récit des événements concernant Duncan et Macbeth. Comme Shakspeare a suivi de point en point la chronique

117 XVIII. TRISTAN FOU ...........................................................125 XIX. LA MORT......................................................................138 À propos de cette édition électronique .................................148 Préface Le Mythe de Tristan et Iseut est l'un des plus fascinants du monde occidental. Valérie Lackovic nous indique que cette mythologie était très vivante dans toute la Grande-Bretagne bien avant l'invasion normande. Essentiellement orale, elle

TOME I Avant-propos VOICI que pour la première fois — si je ne compte pas quelques modestes essais — j'écris en prose. Il me semble en effet qu'il y a trois genres littéraires bien différents : la poésie, qui est chantée, le théâtre, qui est parlé, et la prose, qui est écrite. Ce qui m'effraie, ce n'est point tant le choix des mots ou des tournures, ni les subtilités grammaticales — qui sont, finalement, à la portée de tout le monde : mais c'est la position du romancier, et celle, plus dangereuse

Les Liaisons dangereuses OU Lettres recueillies dans une société et publiées pour l'instruction de quelques autres. " J'ai vu les mœurs de mon temps et j'ai publié ces lettres. " J. J. ROUSSEAU. Préface de La Nouvelle Héloïse TABLE DES MATIERES AVERTISSEMENT DE L'EDITEUR 5 PREFACE DU REDACTEUR. 5 PREMIERE PARTIE 6 LETTRE PREMIERE 6 LETTRE II 7 LETTRE III 8 LETTRE IV 8 LETTRE V 9 LETTRE VI 10 LETTRE VII 11 LETTRE VIII 11 LETTRE IX 12 LETTRE X 13 LETTRE XI 14 LETTRE