Sherlock

l’absurde cherche plutôt à créer une histoire incohérente et c’est ce qui mène au brouillage des identités. Le brouillage des identités est très présent tout au long de la pièce, comme dans cet extrait où Mary, la bonne, déclare : Mon vrai nom est Sherlock Holmes. (1) Elle révèle même au grand public qu’en réalité les époux Martin ne sont pas les époux Martin. En plus de ne pas avoir d’identités propre à eux, les personnages de la pièce ont des comportements irréalistes. Les personnages sont difficiles

leur est associée (ex : on associe Star Wars à Darth Vader ou The Dark Knight au Joker). ! Mais rien n'est vraiment noir ou blanc et dans de nombreuses oeuvres un antagoniste est associé au protagoniste et une sorte d'inter-dépendance les lie. Tels Sherlock Holmes et Moriarty. On dit alors que les deux sont némésis. 

géographiques. Ils sont devenus des figures emblématiques que d’autres auteurs se sont appropriées en les déclinant en de multiples avatars littéraires ou cinématographiques (Romeo and Juliet, Hamlet, Arthur, Robin Hood, Sherlock Holmes, Dracula, Dr Jekyll and Mr Hyde, Sherlock Holmes, Scarlett O’Hara, Huckleberry Finn, Jane Eyre, …). Les personnages de J. Austen en particulier ont inspiré de nombreux auteurs qui ont écrit des « préquelles », des suites, des adaptations romanesques ou cinématographiques

noms inconnus, de coutumes étranges, réelles ou inventées. Cependant ce qui pousse le lecteur à continuer sa lecture, c’est son attachement au personnage principal, héros ou antihéros. En tant que lecteur on s’identifiera avec la même passion à Sherlock Holmes le détective où à Arsène Lupin le cambrioleur. Lire c’est aussi voyager en rêve, dans le temps, les époques et les pays. Avec les « Trois mousquetaires’’ d’Alexandre Dumas, on s’évade dans le siècle de Louis XIV et non seulement on vit des

bonnes personnes. De plus, il réussit à vaincre le mal, Vol de Mort, et donc à sauver le monde des sorciers, dans le dernier tome. De ce fait, sa vie est une réussite, il a par la suite une jolie famille, et vie heureux. On peut considérer aussi Sherlock Homes comme tel, créé dans le roman Une étude en rouge, de Sir Arthur Conan Doyle. En effet, il arrive à résoudre des énigmes auxquelles personne n’arrive à trouver la solution, II. Le héros de roman peut avoir des failles a. Il est

dépourvus de toute psychologie, aux noms banalement significatifs, M. et Mme Smith, M. et Mme Martin. Ces derniers sont à ce point vides d’intérêt, qu’ils en ont même oublié qu’ils se connaissent évidemment. La bonne s’appelle Mary, se prend pour Sherlock Holmes, et récite le poème le plus nul que l’Angleterre ait jamais ouï à ce jour. Le capitaine des pompiers qui «a, bien entendu, un énorme casque qui brille et un uniforme », est à la recherche de quelque petit feu à éteindre. Le langage dramatique

qui est sans cesse accompagnée de son meilleur amis Manu. Peut importe la difficulté des épreuves il est là pour épauler le personnage centrale. Dans le domaine de la complicité or la BD on peut aussi s’intéresser au coté littéraire avec la saga Sherlock homes qui est toujours accompagnée de son amis Watson. III) Dans le domaine de la rivalité. Et oui dans notre duo Dom Juan-Sganarelle, il ya une certaine rivalité entre les deux personnages. En effet Sganarelle tente de se montrer de cesser

connus... De ce fait, nombre d'anciens romans ont été remis au goût du jour. Il en est ainsi pour certaines histoires de vampires, «Dracula» étant désormais remplacé par des vampires plus modernes comme dans «Twilight», et pour des policiers tel «Sherlock Holmes». Par ailleurs, l'adaptation littéraire n'est pas chose facile, les exemples sont nombreux. Pourtant, il existe une multitude de chefs-d'œuvres cinématographiques tirées d'œuvres littéraires passables démontrant que le scénariste-réalisateur

Rousseau, Jacques dans Jacques le fataliste de Diderot. Mais le personnage peut ne pas pouvoir être identifié ou n’est pas privilégié par l’auteur, comme les personnages du corpus ou les romans favorisant l’émotion, le style ou l’histoire comme Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle. Si les personnages peuvent ne pas rendre intéressant le roman, existerait-il un moyen de faire un roman sans personnages ?

fortes personnalités. Ce sont des personnages complexes •Personnalités hors du commun : Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses de Laclos ; ou Valmont dont le cynisme cache parfois une vraie tendresse. + une intelligence hors du commun (comme Sherlock Holmes ou Hercule Poirot, comme Cyrano de Bergerac…) •Le personnage est aussi doté un physique particulier => Cf. la beauté sans pareil de la Princesse de Clèves. Jeunesse, beauté, aura des héros traditionnels.   • Passions absolues : ex : passion