Sherlock

dépourvus de toute psychologie, aux noms banalement significatifs, M. et Mme Smith, M. et Mme Martin. Ces derniers sont à ce point vides d’intérêt, qu’ils en ont même oublié qu’ils se connaissent évidemment. La bonne s’appelle Mary, se prend pour Sherlock Holmes, et récite le poème le plus nul que l’Angleterre ait jamais ouï à ce jour. Le capitaine des pompiers qui « a, bien entendu, un énorme casque qui brille et un uniforme », est à la recherche de quelque petit feu à éteindre. VII Comique Le

s’endorment. Mais, Mary, la bonne, de retour sur scène , remet en cause ces retrouvailles et révèle au public qu’en réalité les époux Martin ne sont pas les époux Martin. Elle même confesse d’ailleurs sa véritable identité : « Mon vrai nom est Sherlock Holmes.». Les Martin préfèrent ignorer l’affreuse vérité. Ils sont trop heureux de s’être retrouvés et se promettent de ne plus se perdre. Les Smith viennent accueillir leurs invités. La pendule continue de sonner en toute incohérence. Les

et s’endorment. Mais, Mary, la bonne, de retour sur scène , remet en cause ces retrouvailles et révèle au public qu’en réalité les époux Martin ne sont pas les époux Martin. Elle même confesse d’ailleurs sa véritable identité : « Mon vrai nom est Sherlock Holmes.». Les Martin préfèrent ignorer l’affreuse vérité. Ils sont trop heureux de s’être retrouvés et se promettent de ne plus se perdre. Les Smith viennent accueillir leurs invités. La pendule continue de sonner en toute incohérence. Les Smith

est une touche très soignée par les auteurs; leurs romans se doivent d'être vraisemblables. Conan Doyle, à la fin XIX°, avait compris cela; ses romans se basent sur des lieux bien connus de tous, Londres et ses environs. Son personnage principal Sherlock Holmes, qui lui est fictif, évolue dans des rues, dans des quartiers conformes à l'époque : Baker Street existe bel et bien. Dans un autre exemple, le cycle romanesque Millenium, de l'auteur suédois Stieg Larsson, captive ses lecteurs par des descriptions

touffe de cheveux tout en buvant une gorgée de bière. Il manqua de s'étouffer, ce qui lui valut une tape l'inconnu qui l'aida à respirer convenablement.-Merde alors t'es le mec de What The Cut?!... lâcha le jeune homme au chapeau.-Quelle perspicacité Sherlock Holmes ! Mais dis-donc, c'est moi qui te fait cet effet là ? Ria son interlocuteur.-Bah... C'est qu'on te retient facilement: Une serpière sur la tronche et un pseudo qui commence par Mr...Les portes du bar s'ouvrirent mais ça ne perturba pas tout

eux. Un autre exemple de cette supériorité se prend lieu quand Mary s’adresse à l’audience en scène cinq en nous disant le secret que Mr et Mrs Smith ne sont réellement pas mariés. En plus elle dit à la fin de cette scène que « [son] vraie nom est Sherlock Holmes ». Tous ces cas là sont le moyen pour Ionesco de faire voir aux auditoires que même si elle vient d’une classe « inferieur » cela ne lui rende pas stupide. Au contraire, il dit en fait qu’elle est plus intelligente que ses patrons. Les absurdités

créée un univers cohérant dans ses personnages : il y a des personnages récurrents comme Jean-Baptiste Adamsberg qui est un enquêteur original avec une absence de méthode d’investigation contrairement aux grands enquêteurs de la littérature comme Sherlock Holmes de Doyle ou Hercule Poirot d’Agatha Christie. Au contraire des enquêteurs traditionnel, Adamsberg se laisse guider par son intuition. IL montre une indifférence totale aux obligations et aux contraintes. Je pense que c’est un personnage irréaliste

l'œuvre même qui domine sur son auteur, qui fini par être guidé et influencé par l' histoire qu'il est en train d' écrire ou par les personnages qu' il a inventé. C' est le cas par exemple de Conan Doyle, qui en créant l' incroyable histoire de Sherlock Holmes, est dépassé par son personnage et il ne se sent plus libre d' écrire ce qu' il veut. conclusion En résumé, nous avons vu que même si l' auteur contrôle entièrement son œuvre, il lui est cependant impossible de disparaître totalement

tirez pas sur l’oiseau moqueur J D Salinger L’Attrape coeur John Syeinbeck Des Souris et des hommes ; Les Raisins de la colère Ryu Murukami 1969 Kazuo Ishiguro Auprès de moi toujours John Irving Le Monde selon Garp IV. ROMANS POLICIERS: Les séries de Sherlock Holmes de Conan Doyle dont Le Chien des Baskerville Les Romans d'Agatha Christie dont Mort sur le Nil; La Mystérieuse affaire de Style Maurice Leblanc L'Aiguille creuse; Le Bouchon de cristal; Arsène Lupin Gaston Leroux Le Mystère de la chambre jaune;

exploits doivent être rendus public. Les héros sont souvent accompagné d'un acolyte, il est rarement solitaire, c'est le fameux « double du héros ». De même dans le roman policier ou le western le héros est fréquemment assisté d'un ami fidèle (ex: Sherlock Holmes assisté du docteur Watson.) Pourquoi l'auteur a fait ce choix ? Cela permet au protagoniste de parle de lui-même par le biais de son compagnon ou d’accomplir de nouveaux exploits qui sont irréalisables tout seul. De plus on est plus facilement