Service public administratif

d’organisations : * Les entreprises : qui peuvent être publiques, privées ou artisanales, de service et industrielles. * Les organisations publiques : Elles appartiennent à l’état et interviennent pour répondre aux besoins des citoyens et sont des administrations qui font fonctionner le pays : elles peuvent êtres des collectivités territoriales, des organismes paritaires ou encore des établissements public d’état (ex : mairies, préfectures, conseils régionaux). * Les organismes à but non lucratif :

assurait une mission de service public. Il faut donc savoir si cette association menait une activité servant l'intérêt général en ne disposant pas des prérogatives de puissance publique. Sur la requête de la ville de Melun, le Conseil d'Etat décide que la commune n'est pas autorisée à donner accès aux tiers aux documents administratifs, la commune doit rejeter la demande des demandeurs. La notion juridique de service public apparait fin 19, la réalité du service public existait bien avant que

de la "vie intérieure des services". Pendent longtemps le juge refusait de contrôler la légalité de la catégorie « des mesures d’ordre intérieur » de l’administration car ces mesures étant d’importance minime, le juge en vertu du vieil adage de minimis non curat praetor ne devait pas être saisi. Cette catégorie déterminant le fonctionnement et la gestion de l’administration elle-même influence également les relations de celle-ci avec les usagers. Ces actes administratif ont un caractère décisoire

ETABLISSEMENTS PUBLICS ADMINISTRATIFS ET LES ETABLISSEMENTS PUBLICS INDUSTRIELS ET COMMERCIAUX Un établissement public est une organisation de nature administrative ou industrielle et commerciale qui a en charge la gestion d'un service public spécialisé, que n’assurent ni l’Etat ni les collectivités territoriales. Cependant, la notion de service public reste floue : si celui-ci se définit comme « une activité d’intérêt général qui a pour but de satisfaire aux besoins collectifs du public », les notions

dénomination des décisions de justice établie par la doctrine. En effet, les différents degrés de juridictions rendent des décisions de justice portant un nom précis. Ainsi, en droit administratif, les « arrêts » sont rendus par le Conseil d'État et les cours administratives d'appel ; les « jugements » par les tribunaux administratifs et les « décisions » par le Tribunal des conflits. Mais, l'importance de la décision Blanco - perçue comme étant l'acte fondateur de la reconnaissance de la responsabilité administrative

jurisprudences fondamentales du droit administratif ------------------------------------------------- 1. Tribunal des Conflits 8 février 1873 Blanco : responsabilité, naissance du droit administratif 5 2. Conseil d’Etat 13 décembre 1889 Cadot : compétence administrative 5 3. Conseil d’Etat 21 juin 1895 Cames : responsabilité fondée sur le risque 6 4. Conseil d’Etat 10 janvier 1902 Compagnie nouvelle du gaz de Déville-Lès-Rouen : mutabilité du contrat administratif 6 5. Conseil d’Etat 4 août

sa responsabilité engagée sur les fondements des articles 1382 à 1384 du Code Civil ? En effet au regard des lois du 16 et 24 août 1790 interdisant aux tribunaux judiciaire de « troubler de quelque manière que ce soit, les opérations des corps administratifs », l’Etat peut-il se voir appliquer le droit civil et être jugé devant une cours judiciaire ? • La réponse négative s’est affirmée disant que la responsabilité qui peut incomber à l’Etat ne peut être régi par les principes établis du droit

général. A cause de cette finalité spécifique, l’action publique dispose des moyens spéciaux d’agir(AAU, contrat administratif) qui se distinguent des actes du droit commun, ce qui justifie qu’elle soit soumise à des modes du contrôle spéciaux. Souvent l’action publique est justiciable d’un juge spécifique – un juge administratif, et répond à des règles spéciales, propres au droit public, pour engager la responsabilité du fait de l’action publique. C’est précisément autour de cette notion de spécialité

Droit Administratif Le service Public Commentaire d'arrêt, CE arrêt de section 22 février 2007, A.P.R.E.I. L'arrêt du Conseil d'État du 22 février 2007, Association du personnel relevant des établissements pour inadaptés (A.P.R.E.I.) apporte des précisions concernant la gestion des services publics par des organismes privés. En l'espèce, l'association du personnel relevant des établissements pour inadaptés (APREI) demande à l'association familiale départementale d'aide aux infirmes

Paragraphe 2 : La déconcentration : Section 2 : La décentralisation § Paragraphe 1 : les formes de la décentralisation : a/ la décentralisation territoriale  b/ la décentralisation par le service  § Paragraphe 2 : les conditions de la décentralisation  § Paragraphe 3 : les limites de la centralisation : a/ La tutelle sur les agents ou les organes  b/ La tutelle sur les actes