Sensualité

jeune soleil » et les « Lys », « Roses », « Iris » et « Lotus » déploient la même association d’idée. Le désir est un bouquet de printemps. Cependant bien des choix distinguent ces poètes. Krysinska opte pour des vers d’une grande sensualité : « Autour d’elle le silence de midi Exalte la pâmoison odorante des calices Et le jeune soleil baise les feuillées neuves » Le jeu des sons semble très sensuel (on remarque ici des assonances en [a] et [eu] alliées aux allitérations en [z])

l'inconscience de Suzanne qui parle car elle oblige Suzanne à quitter la salle pour se retrouver en tête-à-tête avec Chérubin. On peut déjà dire que la scène a un caractère équivoque et libertin. II) LES SYMBOLES DE L'AMBIGUITE SEXUELLE ET DE LA SENSUALITE 1°) Le lieu : la chambre Il y trône un grand lit. Au 18ème siècle, la chambre devient un lieu clos. C'est un lieu totalement féminin : la Comtesse, Suzanne s'y trouvent. Le Comte pour y pénétrer doit défoncer 2 portes. C'est donc un lieu

l’enterrement de sa mère. Il s’agit de la deuxième rencontre avec Marie Cardona, une « ancienne dactylo » de son bureau qui l’attirait déjà à l’époque mais qu’il avait perdu de vue. Cette scène illustre un motif obsédant dans l’oeuvre de Camus : la sensualité qui constitue une source de bonheur et un antidote contre l’absurde 1) L’érotisme de la scène a- Un décor érogène : Au niveau du cadre spatio-temporel, tout est réuni pour favoriser la naissance du désir. D’abord, la scène

lyrisme II- Une profusion d'images 1) Le portrait un portrait qui ressemble à un blason un portrait physique qui évoque la sensualité (caresse, frémir, hurle, beauté, nue) 2) Richesse des images à la fois concrète/physique et spirituelle vers 4 → ''la Terre promise'' vers 5 → ''l'écclaire d'un aigle'' → comparaison vers 7 → ''le fruit mûr'' → sensualité ''le vin noir'' l'extase sensuel et spirituel => Senghor associe, dans le réseau d'image, la nature et le spirituel

métonymique il fait l'éloge de la femme, qui n'est d'autre que Jeanne Duval, créole rencontrée à Paris et morte de la syphilis tout comme lui. Comment Baudelaire mystifie-t-il la femme et pourquoi? Ce poème appartient à la section idéal, idéal lié à la sensualité puisque la chevelure semble être un tremplin vers le rêve. Est-ce pour aboutir à un idéal? Est-ce un hymne amoureux? LECTURE I. 1. L'invocation lyrique Le poème commence par un ton oratoire propre à la prière, O est répété 3 fois en 2vers

; sensuel, mais finalement prompt à se laisser guider par les conventions. La jeune fille est mûre, mais légalement trop jeune pour être libre. Hostile à sa mère et attirée par la bonté de l'homme, elle oscille entre deux attitudes, celle de la sensualité désintéressée et l'appât du gain qu'elle pourrait soutirer à son amant. Le texte laisse apparaître quelques indices : l'assurance de la jeune fille, sa perspicacité à déceler la richesse de l'homme, son habitude à recevoir des hommages masculins

des représentations chastes, pures et classique. Pour autant on distingue tout de même cette auréole rouge au dessus de sa tête. On a donc cette femme qui évolue dans un monde particulier, à l’atmosphère étrange, presque onirique entre sexualité, sensualité et religion. On peut alors dire que les sollicitations mystiques et érotiques du peintre se retrouvent sous forme de synthèse dans cette Madone. B- Le lien entre la vie et la mort Comme on a pu le dire précédemment la madone semble endolori

c’est celui d’un Antigone mère d’une enfance à protéger, à faire réussir puisque sa propre enfance n’est que malheur (cf.scène, 3 ième réplique : « Quand j’étais petite, j’étais si malheureuse ». Si Ismène est décrite dans le prologue du trait de sensualité, Antigone dans cette scène veut être l’image de sa sœur : la 21ième réplique le montre clairement. Une fois l’amour devient sensuel, il peut être dépassé. Il devient alors possession, force, le degré suprême du sentimentalisme et identité de se

donc l’importance de l’entrée du personnage. Ensuite, le personnage entre et le poète le décrit très brièvement au vers 8 « Fichu moitié défait, malinement coiffée ». On peut remarquer que le poète va intégrer la servante dans une atmosphère de sensualité autant que par ses geste et que par son physique. « Et, tout en promenant son petit doigt tremblant sur sa joue, un velours de pêche rose et blanc » (v.9-10). Ces vers montrent l’action sensuelle qu’exerce la servante en se caressant la joue et

jeune soleil » et les « Lys », « Roses », « Iris » et « Lotus » déploient la même association d’idée. Le désir est un bouquet de printemps.               Cependant bien des choix distinguent ces poètes. Krysinska opte pour des vers d’une grande sensualité : « Autour d’elle le silence de midi Exalte la pâmoison odorante des calices Et le jeune soleil baise les feuillées neuves » Le jeu des sons semble très sensuel (on remarque ici des assonances en [a] et [eu] alliées aux allitérations en [z])