Sensible

A travers le blocage de la bonne évolution d’une activité Comment peut – on être sensible au problème ? Avoir la capacité de reconnaître le problème Le suivi, la vérification, la comparaison Que se passe-t-il quand on est sensible au problème ? Recherche de solutions pour surmonter le problème Prise de décisions Progrès Les problèmes sont des opportunités pour progresser et réussir Nécessité d’être sensible au problème Sinon : Aggravation de la situation Echec, faillite de l’activité /de

chez Platon, le supra-sensible ou ce qui est appelé aussi Dialectique, peut-être interprétée comme la Métaphysique. Les différentes idées comme le Beau, la Vertu, le Bien sont des analogies projetées sur le monde, qui viennent d’Idées existantes en elle-même dans un au-delà qui serait un monde de causalité des formes sensibles. . Les choses sensibles dans le monde s’articulent avec les réalités en soi Ces dernières engendrent des formes qui deviennent des choses sensibles, auquel elles participent

notre seul et unique rapport au monde, il permet alors de partager avec le monde sans rien changer à celui-ci. L’expérience sensible permet alors grâce aux sens, de visualiser des faits, des choses qui à force de répétitions ou de différences nous permettra de les distinguer, de les définir. On pourra avoir en effet des idées, des pensées sur le monde, qui par l’expérience sensible, se transformeront en connaissances objectives, c’est là le processus originel d’apprentissage. Aussi, une connaissance

l'état adulte" Tous les enfants vivent les mêmes périodes sensibles mais selon l'environnement et leur personnalité propre, ils deviendront des adultes différents : c'est ce qui fait leur individualité. MM insiste sur le fait que la période sensible permet à l'enfant une conquête naturelle de certaines caractéristiques propres à l'homme ; caractéristiques qu'il ne pourra acquérir par la suite qu'au prix de gros efforts car la période sensible est passagère. Pendant la PS c'est une acquisition inconsciente

« la démarche consistant à examiner une chose au moyen de la vue est toute remplie d’illusion » dans le Phédon (83a). Notre savoir est donc fondé, non pas sur l’expérience sensible, mais sur la raison (qui est la faculté de connaître) . Mais comment pourrait-on connaître quelque chose autrement que par le témoignage des sens qui nous relient à la réalité ? PLATON estime que ce que nous appelons communément

La vérité se situe-t-elle au-delà du monde sensible, comme le soutient Platon dans l’allégorie de la caverne ? Découvrir le monde intelligible par le détachement du monde sensible et de ses limitations permet d’accéder aux idées universelles. Il est vrai que nos sens nous offrent des outils pour émettre des bases dans nos connaissances du monde et nous permettent d’observer des phénomènes afin de mieux les comprendre. Mais comment établir un consensus d’une vérité absolue si tout le monde interprète

VÉRITÉ DES PRÉMISSES Prémisse unique Prémisses indépendantes Prémisses liées Prémisses à enchainement Connaitre la théorie de la connaissance de Platon (sensible intelligible) et être en mesure de l’appliquer dans une mise en situation. Platon fait la distinction entre la réalité sensible, celle qu’on peut toucher, faire, sentir à l’aide d’expériences concrètes et la réalité intelligible qui est déterminé par la raison. Selon Platon, la source (nature) de la connaissance

peut pas affirmer que ce monde que nous percevons en rouge est rouge. Cette perception est due à une condition que l’on impose à nos sens. Ce que Kant voulait dire c’est que notre raison disposait de sfacultés qui détermine toutes nos expériences sensibles. Celles-ci s’inscrivent dans l’espace et le temps. Nous sommes conditionnés dans la manière de percevoir les choses. L’espace et le temps font partie de l’homme. Kant affirmait que si la conscience était formée à partir des choses, les choses

vision sont les suivantes : -Les cônes : responsable de la vision maculaire, il en existe trois types (sensible au rouge, au bleu et au vert) -Les bâtonnets : responsables de la vision périphérique. c-Cette déficience de la vision peut s’expliquer par un problème au niveau des cônes qui ne peuvent plus capter la lumière. Question 2 : a-Chez les dichromates de type P, le cône sensible à la lumière rouge est totalement absent, et ils ne perçoivent pas du tout le rouge. Les trichromates

les réalités véritables, les êtres, les véritables vivants. L’être intelligible n’est pas dépourvu de la vie dont on pourrait croire qu’elle n’est qu’une propriété du sensible et des choses corporelles, ou qu’elle ne fait son apparition qu’avec la matière. C’est au contraire l’intelligible qui est la vie même, quand la vie sensible n’en est qu’une image imparfaite, provisoire et indéterminée. La réalité (ousia) est incorporelle» . L’Intellect engendre à son tour l’Ame. «Parce qu’elle est engendrée