Semi-voyelle

frigidaire Mon armoire à cuillers Mon évier en fer Et mon poêle à mazout. (Vian) ALLITERATION Répétition d’un son consonantique (consonne). Tout en faisant trotter ses petites bottines. (Rimbaud) ASSONANCE Répétition d’un son vocalique (voyelle). Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. (Racine) GRADATION Enumération de plusieurs termes d’intensité croissante. Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière) HYPERBOLE Exagération de l’expression (d’une idée, d’un

 sonreír sourir, seguir suivre-continuer, vertirse s'habiller, corregir corriger, repetir répéter.   Attention : pour les verbes qui comportent plusieurs syllabe, la voyelle qui s'affaiblit est celle qui se trouve la plus proche  de la terminaison. Les verbes à diphtongue : Un verbe à diphtongue est un verbe dont la dernière voyelle du radical se modifie lorsqu'elle est accentuée. Le O se change en UE. Le E se change en IE. Cette modification intervient à toutes les personnes du singulier et

La versification I. Le mètre C’est le nombre de syllabe contenues dans un vers. Un vers est une ligne de poésie. Pour compter les syllabes, il faut se méfier du e muet : il compte à l’intérieur d’un vers s’il est suivi d’une consonne. Nombre de syllabes Nom du vers 12 Alexandrin 10 Décasyllabe 8 Octosyllabe 7 Heptasyllabe 6 Hexasyllabe II. Les rimes On les classe par leur richesse, leur disposition et leur genre. Critère Terminologie Définition Richesse • rime riche

vaux bien. La Tunisie, mon papa et plouf ! Zeugma Rapprochement d’un mot concret et d’un mot abstrait dans un même énoncé. Ex : Il prit du ventre et de l’importance. Les figures qui jouent sur les sons : Assonance Répétition d’un même son de voyelle dans une même phrase ou dans un ensemble de vers. Ex: Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone (Verlaine ) Allitération Répétition du même son de consonne, écho vocalique de consonnes. Ex : Pour

première partie : pour cela, placez les césures et analysez les sons que vous y trouvez. e) Analysez la valeur phonétique et l’organisation des rimes du poème dans sa première partie. Quelles règles particulièrement rigoureuses s’impose Rimbaud ? f) Les voyelles contenues dans le mot « Ophélia » produisent-elles dans le poème des échos sonores comparables à ce que nous avons observé pour les consonnes ? g) Analysez le jeu des coupes dans le vers 10, le vers 14 ; comparez le rythme du vers 16 à celui du

maîtrise articulatoire satisfaisante des voyelles, diphtongues et triphtongues, mais aussi des consonnes. Il est impératif d’articuler chaque phonème vocalique en fonction de la position, avancée ou rétractée du dos de la langue (voyelle antérieure / i: /, centrale / ə / ou postérieure / u: / sur une ligne horizontale du trapèze de D. Jones représentant les organes vocaux que sont le palais dur et le voile du palais), plus ou moins haute ou basse de ce même dos (voyelle fermée / i: /, mifermée / I /, mi-ouverte

sonores : Def. Rime interne : reprise d’un ou plusieurs sons au même endroit dans le vers (sinon c’est une rime externe) Def. Rime féminine : elle se termine par un [ ] et par un son consonne (sinon c’est une rime masculine et se finit par un son voyelle). Dans le cas classique, on alterne rime féminine et masculine. Def. Rime pauvre : 1 seul son commun Def. Rime suffisante : 2 sons communs Def. Rime riche : 3 sons communs Def. La rime léonine : 3 sons communs (presque un jeu de mots) ex. un

connaître quelques règles: a) Il faut, par exemple, savoir déterminer les moments où le e est muet et ceux où il est vocalique, c’est-à-dire les moments où il se prononce : Les syllabes terminées par un e muet s’élident devant un mot commençant par une voyelle ou un [h] muet. Cela signifie qu’il ne faut pas prononcer le e. ex : « Jamais mensong(e) heureux n’eut un effet si prompt » Racine, Athalie. Les syllabes terminées par un e sont vocaliques devant un mot qui commence par une consonne ou par un [h]

connaître quelques règles: a) Il faut, par exemple, savoir déterminer les moments où le e est muet et ceux où il est vocalique, c’est-à-dire les moments où il se prononce : Les syllabes terminées par un e muet s’élident devant un mot commençant par une voyelle ou un [h] muet. Cela signifie qu’il ne faut pas prononcer le e. ex : « Jamais mensong(e) heureux n’eut un effet si prompt » Racine, Athalie. Les syllabes terminées par un e sont vocaliques devant un mot qui commence par une consonne ou par un [h]

syllabe doit être prononcée, à moins qu’ils ne soient à la fin du vers, à la rime). Par exemple, « Du côté du pourceau, la balance pencha » (Victor Hugo, Le Sultan Mourad) compte douze syllabes, puisqu’on prononce le e de balance. Le e muet devant une voyelle ne se prononce pas (par exemple, « oncle Achmet » égale trois syllabes, et non quatre). Pour produire un effet, le poète peut choisir de prononcer comme deux syllabes deux sons qui, normalement, se prononcent comme un seul. C’est ce qu’a fait Victor