Sédiment

dans la vallée de la Moselle qui est traversée par une rivière de taille modeste. Cette vallée est délimitée par deux massifs ronds et aplatis. Elle a été traversée par un glacier qui a formée un dénivelé en forme de U. Le glacier a déposé tous les sédiments qui ont été arrachés au terrain. Ceci forme une moraine frontale. On note aussi la présence de verrous, barre rocheuse transversale obstruant la vallée glaciaire, ces verrous sont constitué de migmatite, une roche métamorphique de composition proche

stocké dans les sédiments calcaire d’une plaque océanique finit par passer sous une plaque continentale (phénomène de la « subduction »). Se réchauffant à mesure de leur descente dans le manteau terrestre, les sédiments atteignent leur point de fusion. Devenus magma, ils peuvent demeurer une centaine de millions d’années dans le manteau ou bien, dans un délai beaucoup plus court, remonter à la surface. Expulsé par les volcans, le magma redonne à l’atmosphère du carbone qui les sédiments avaient stocké

générations successives mouraient, leurs restes se déposaient au fond des océans. Pendant des millions d'années, ils s'accumulèrent et se mélangèrent à la boue et au limon, pour former des couches de sédiments riches en matières organiques, le kérogène.         L'accumulation continue de sédiments enfouit ces couches organiques à de grandes profondeurs ; sous l'effet de la compression, celles-ci se transformèrent en roches qui devinrent des réservoirs de pétrole. Les roches contenant la matière

transport des sédiments à l'échelle d'un bassin versant demande d'investir dans des études de simulation qui tiennent davantage compte de la dimension spatiale et temporelle Pour effectuer ces études, on se doit de quantifier le mouvement de l'eau et des sédiments à travers le bassin versant. Une telle investigation nécessite le développement d'une approche analytique multidisciplinaire qui vise à simuler la production et le cheminement de I'eau (débit et ruissellement) et des sédiments (érosion et

non aviaires se sont éteints juste avant, ou pendant l'évènement[3]. Les quelques fossiles de dinosaures découvert au-dessus de la limite K-T étaient supposés être là du fait du remaniement des sédiments, c'est-à-dire que l'érosion les a ramenés à la surface puis ils ont été recouvert par un dépôt de sédiments plus récents[4],[5],[6]. Cependant, cette théorie n'est pas certaine, les systèmes de datation utilisés jusqu'au début des années 2010 ne permettant pas de dater directement les ossements[7].

ou après transport . Ces bassins sont soit des zones marécageuses (tourbières actuelles), soit des lacs, soit des zones deltaïques, qui se sont enfoncés régulièrement, permettant à la forêt de continuer à prospérer sur de longues périodes. Les sédiments ont été enfouis jusqu ’à des profondeurs variables de quelques 100 m pour les lignites, jusqu ’à plusieurs kilomètres pour les anthracites. Durant cet enfouissement le carbone organique s ’est transformé en carbone minéral par action des micro-organismes

18O des tests de foraminifères augmente (attention, cette variation de delta 18O est inverse de celle observée dans les glaces polaires) · Doc 2 : Indices géologiques isotopiques (rapports isotopiques du carbone dans les sédiments carbonatés ) : baisse de CO2 atmosphérique depuis -65 Ma · Doc 3 =Indices sédimentologiques : augmentation de l’étendue des glaciers  formation des calottes polaires dès la fin de l’Éocène

et déboisent les forêts des plaines inondables, mais aussi des lourdes machines pour mettre à jour les dépôts de gravier qui pourraient contenir de l’or. Ce dernier est généralement extrait de ces graviers avec une boite à écluse pour séparer les sédiments les plus lourds et le mercure pour amalgamer le précieux métal. Même si la plupart du mercure est récupérée et réutilisée ou brûlée, une partie termine dans les rivières. Certaines études ont pu prouver que les « petits » mineurs utilisent le mercure

forte concentration en carbone ( photosynthèse) fermentent et sont enfouis sous une couche de sédiments. Au bout de plusieurs centaines de millions d'années, se forme des couches de charbons dont la teneur en carbone augmente avec le temps. 2) Les gisements de charbons se présentent toujours sous forme de veines car quand une couche de charbon se forme, elle est recouverte d'argile et d'autres sédiments qui permettent à une nouvelle forêt de pousser, et ainsi de suite. Cela se forme sous forme

nutriments (azote et phosphore) dans l’eau et favorisent la croissance des algues. Des éléments nutritifs peuvent aussi être présents dans le cours d’eau qui approvisionne la pisciculture quand il draine des terres agricoles fertilisées par exemple. Les sédiments accumulés et en décomposition au fond des étangs libèrent des éléments nutritifs favorisant le développement des algues. La prolifération incontrôlée de ces plantes est à éviter le plus possible en production de salmonidés parce qu’elle présente