Scythes

= comptoir dans un pays étranger ) du Moyen Orient jusque en 1453. C’était le principal entrepôt des produits orientaux qui, dés le 11e siècle, au détrônement d’Alexandrie et d’Antioche recevait de nombreux produits par la mer noire, comme du blé scythe ou bulgare, des esclaves slaves, des fourrures nordiques, ou de l’ambre Baltique ou de l’aise mineure, et aussi de l’occident, comme les blés et vins d’Italie, le sel de l’adriatique, les esclaves des Balkans ou les bois de Dalmatie. L’implantation

les raisons de ton choix 3 tu peux ajouter une 3e partie qui exposerait les limites, les inconvénients de ce choix mais en assumant ces risques au nom du plaisir de lire par ex. 1/stratégie implicite A/l'apologue(avec LAFONTAINE"le philosophe de scythe") B/l'utopie(avec Thomas More"utopia" et Rabelais"l'abbaye de theleme") C/le comte philosophique(je n' est pas encore trouvé des exemples de comte...) 2/stratégie explicite A/l'essai(Pascal"Pensée" et Rousseau "reverie du promeneur solitaire""5eme

qui arrivent par fortune, par exemple, la découverte d’un trésor . Bien plus : la délibération ne porte même pas sur toutes les affaires humaines sans exception : ainsi, aucun Lacédémonien ne délibère sur la meilleure forme de gouvernement pour les Scythes. C’est qu’en effet, rien de tout ce que nous venons d’énumérer ne pourrait etre produit par nous. Mais nous délibérons sur les choses qui dépendent de nous et que nos pouvons réaliser : et ces choses-là sont, en fait, tout ce qui reste, car on met

HENNY Emilie 12-12-111 ère S1 Question sur le Corpus Le corpus est constitué de quatre textes, un extrait des Pensées de Pascal (1670), unefable le philosophe scythe de La Fontaine(1693), un poème de Voltaire le Mondain (1736), etun extrait des Rêveries du promeneur solitaire : la cinquième promenade de Rousseau(1776-1778). Chacun de ces textes à une visée argumentative : les auteurs défendent leurspropres conceptions du bonheur. Nous allons voir comment chaque auteur définit lebonheur et

que les différences constatées entre nous et les autres reflètent des ressemblances en profondeur : Par la présentation du cannibalisme des Tupinambas (une tribus Amazonienne) Montaigne laisse à penser que les Cannibales sont plus évolués que les Scythes (Peuple nomade) puisque leur anthropophagie n'est point destiné à les nourrir de chair humaine mais à figurer comme le dit Montaigne « d'une extrême vengeance » et qu'il ont conscience (je cite) «  de l'horreur … » Mais par un autre tour de pensée

mort en 322 avant J.C à Calaurie, Démosthène était un Homme d'Etat grec (responsable politique d'un pays) et un grand orateur. ● L'homme et son oeuvre Démosthène est né dans une famille athénienne riche et commerçante. Sa mère était d'origine scythe (peuple nomade d'origine indo-européenne) et son père, Démosthène de Péanie, un riche armurier. Mais lorsque celui ci mourut, sa fortune fut entièrement dilapidée par les tuteurs de son fils, alors âgé de sept ans. À dix-huit ans, il entreprit

Dans un extrait des Pensées (1670) de Pascal, dans Le Philosophe scythe de La Fontaine, dans Le Mondain (1736) de Voltaire et dans les Rêveries du Promeneur solitaire (1776-1778) de Rousseau, le bonheur de ces auteurs est évoqué. Nous allons voir à quoi se rattache-t-il. Tout d’abord, certaines personnes trouveront le bonheur dans les choses simple de la vie comme la nature. La Fontaine oppose dans son poème un homme qui aime son jardin : > L. 7 à un vieillard austère : > l. 25.

Entre les vers 6 et 7 : « […] ainsi de cette vie nous prendrons les plaisirs, [...] » Entre les vers 10 et 11 : « […] malheureux se propose Une vie d'un Scythe, [...] » Mais il se compose aussi de trois contre-rejets : Entre les vers 7 et 8 : « […] et jamais autre envie Ne me pourra l'esprit d'une autre emprisonner[...] » Entre les vers 11 et 12 : « […] et ses

toute l'assemblée, l'assomment à coups d'épée. Cela fait, ils le rôtissent et en mangent en commun et en envoient des lopins à ceux de leurs amis qui sont absents. Ce n'est pas, comme on pense, pour s'en nourrir, ainsi que faisaient anciennement les Scythes ; c'est pour représenter une extrême vengeance. Et qu'il soit ainsi, ayant aperçu que les Portugais, qui s'étaient ralliés à leurs adversaires, usaient d'une autre sorte de mort contre eux, quand ils les prenaient, qui était de les enterrer jusques

ou les Américains (1736), Mahomet ou le Fanatisme (1741), La Mérope française (1743), Sémiramis (1748), Nanine, ou le préjugé vaincu (1749), Le Duc de Foix (1752), L’Orphelin de la Chine (1755), Le Café ou l’Écossaise (1760), Tancrède (1760), Les Scythes (1767), ou encore Les Lois de Minos (1774).