Schéma Narratif De Film

Lecture méthodique Textes variés sur la vie quotidienne, dont un sur l’EVF/EMP/VIH ET SIDA2. Lecture suivie Se référer à la liste officielle des manuels et autres livres recommandés Expression écrite - La narration : Indicateurs chronologiques, schéma narratif (récit, conte, histoire, fable, légende, bande Savoir être - Sens de l’observation - Sens de l’anticipation - Sens de l’organisation - Sens de l’improvisation - Sens de l’écoute - Curiosité - Sobriété - Application - Discernement - Esprit critique

complétées par la classe. Séance 6 : lire l’image, illustrer des « j’aime, je n’aime pas » Dominante : étude filmique Supports : Foutaises de Jean-Pierre Jeunet (court-métrage + script) Prologue du Fabuleux destin d’Amélie Poulain (extrait du film + script) Objectif : découvrir les relations entre le visuel et le verbal, rappeler la différence entre auteur, narrateur et personnage Démarche : Après avoir lu le texte du script du court-métrage de Jean-Pierre Jeunet, qui est un « J’aime

6)Revoir les registres de langue 7)Revoir le schéma narratif 8)Revoir les temps du récit : imparfait de l’indicatif et passé simple 9)Révisions générales de la nature grammaticale d’un mot. 10)Vocabulaire du corps humain. 11)B2I : au choix recherche documentaire sur le registre choisi (réaliste ou fantastique) ou écriture et numérisation d’une nouvelle et mise en service d’un blog de classe. 12)Lecture de l’image fixe ou filmique à partir d’extraits du film Sleepy holow et de l’étude d’une BD fantastique :

travailler sur des groupements de textes en vue de dégager des thématiques ou des problématiques communes. Le livre offre, parallèlement, à l’élève l’occasion d’interpréter des messages non verbalisés pour retirer l’information qui y est contenue (image, schémas, graphiques…), information redondante ou non par rapport au texte support. Les pages «point de langue» sont constituées autour d’un minimum : il appartient au professeur de les développer en fonction de la demande des élèves. Le guide du professeur

tant il est rare qu’un journaliste expose des faits sans la moindre explication. En revanche, on s’en tient au(x) type(s) dominant(s), c’està-dire à celui (ou à ceux) qui correspond(ent) au but poursuivi par l’auteur. Ici on trouve des passages narratifs, des témoignages directs, mais l’objectif principal d’Hopquin reste d’informer le lecteur du Monde. • Idée directrice C’est en général ce que vous ratez massivement, en vous contentant de propos trop vagues, tel celui-ci : « L’auteur parle des clandestins

de la narration. On peut discerner 2 types : 1) LA NARRATOLOGIE DU CONTENU = étude de l’organisation du contenu cfr. A. GREIMAS, Sémiotique narrative → ‘schéma actantiel’ o part de l’idée que les personnages définissent l’action o il faut donc trouver un schéma de base auquel on peut ramener tout récit o 3 axes : du désir (sujet- objet) de l’opposition (adjuvants – opposants) de la transmission/ motivation

j’étais un livre, je serais ______________________________________________ Si j’étais une légende, je serais celle de ____________________________________ Si j’étais un personnage de fiction, je serais ________________________________ Si j’étais un film, je serais ______________________________________________ Si j’étais un pays (ou une ville) , je serais _________________________________ Si j’étais une arme, je serais ____________________________________________ Si j’étais un endroit, je serais

tant il est rare qu’un journaliste expose des faits sans la moindre explication. En revanche, on s’en tient au(x) type(s) dominant(s), c’està-dire à celui (ou à ceux) qui correspond(ent) au but poursuivi par l’auteur. Ici on trouve des passages narratifs, des témoignages directs, mais l’objectif principal d’Hopquin reste d’informer le lecteur du Monde. • Idée directrice C’est en général ce que vous ratez massivement, en vous contentant de propos trop vagues, tel celui-ci : «L ’auteur parle des clandestins

constater que la toute première image diégétique d’un film, qui ne peut pas être sans importance, soit rarement une | |image dont se souvienne le public. Il suffit d’entendre parler d’un film pour remarquer que bien souvent on évoque une scène d’action | |– c’est le cas le plus courant –, ou un bon mot, ou encore une longueur déplaisante, ou bien même un silence. Il est vrai que dans une| |majorité de cas, l’entrée dans un contexte filmique et narratif exige une mise en place de circonstances – les présentations

: Lecture de textes descriptifs courants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Activité 1.2 : Rédaction de textes descriptifs courants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aperçu global de l’unité 2 : Les textes narratifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Activité 2.1 : Lecture de contes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Activité 2.2 : Rédaction d’un conte . . . . . . . . . . . . . . .