Scène

un théâtre moderne de l'après guerre qui fait éclater les règles traditionnelles et qui s'interroge sur l'Homme. Dès la scène d'exposition, le lecteur peut être frappé par l'abondance et la pression des didascalies ainsi que par la longue situation initiale de la pièce. Lecture ! Nous nous demanderons si cette scène d'exposition remplie les fonctions traditionnelles d'une scène d'ouverture. I – Le cadre spatio-temporel Traditionnellement, une exposition théâtrale fournit au lecteur, comme au

I. Le théâtre un art libre laissant place à l’imagination 1. Des mises en scène différentes 2. Des interprétation de personnages différentes 3. Des didascalies inexistantes II. Un espace théâtre restrictive 1. Espace théâtrale et un espace clos 2. Un temps limité 3. Les conventions liées au genre III. Ses restrictions dépassés 1. Les contraintes techniques 2. Les contraintes informatiques et techniques 3. Un monde imaginaire Introduction Le nom théâtre tire son origine

On remarque dans une pièce de théâtre la présence de didascalies. Néanmoins ces didascalies sont rares, l’auteur laisse donc la possibilité au lecteur d’imaginer la scène et l’expression des personnages. Et donc de se faire sa propre idée du message que l’auteur tente de faire passer à travers la pièce. Une pièce de théâtre peut être perçue différemment selon les caractères ou encore des prises de positions du lecteur. Certaines répliques peuvent avoir un effet différents par exemple dans la pièce

« Une fête pour Boris » Pièce de théâtre de Thomas Bernhard. Traduction de Claude Porcell et mise en scène de Denis Marleau. Le livre éponyme date de 1997. Représentation du vendredi 9 octobre 2009, 20h30, à la Maison de la Culture d’Amiens. Durée 1h45. Informations sur l’équipe: Avec Christiane Pasquier, Guy Pion et Sébastien Dodge. Equipe de création: Conception, vidéo et scénographie: Stéphanie Jasmin et Denis Marleau Diffusion et montage vidéo: Pierre Laniel Musiques: Nicolas

des protagonistes mais aussi par leurs gestes. Toutes les pièces étudiées ici font l’objet d’une dispute ou d’un débat. Marivaux met en scène Iphicrate et son esclave Arlequin dans L’ile des esclaves, où Arlequin cherche à montrer ce qu’Iphicrate lui fait subir au quotidien. Ironiquement les rôles d’Iphicrate et Arlequin permutent dans cette scène. Iphicrate demande de l’aide à Arlequin tandis que se dernier se moque complètement de celui-ci : il siffle, rie et l’ignore. Le registre comique

personnage sur scène appelé le prologue (ce qui est dit avant). Ce personnage fait une longue introduction à la pièce qui sert de scène d'exposition. Le rideau est levé, les acteurs sont sur scène et ils n'ont pas commencé à jouer. L'action n'a pas démarré. Les spectateurs au fil de son discours obtiennent les informations qui correspondent à une scène d'exposition. Axe1: Une scène d'exposition surprenante Axe2: Un discours informatif Axe3: Une tragédie moderne Axe1: Une scène d'exposition

 Metteur en scène Texte Décors Costumes Lorenzo Gaston Baty 9/10/1945 près de 200 représentations jusqu'en mai 1946 Texte charcuté "Réduit à un squelette" 22 tableaux Décor abstrait Tentures noires 4 lieux autour d'un immense escalier Costumes riches et brillants Renaissance Travesti Marguerite Jamois (44 ans)

persuadé qu’elle est sincère, pour lui ouvrir les yeux ils imaginent un stratagème : ils vont le faire passer pour mort et voir la réaction de Béline.   On va voir comment cette scène de comédie va faire surgir la vérité.     I/ Une scène de comédie   1 Les personnages joue un rôle   ·Toinette : -         elle fait le metteur en scène, -         elle est ensuite actrice, ces réplique son pathétiques, (émouvoir) on le voit à la didascalie, aux interjections, à la ponctuation, -         elle joue un double

bousculades et des coups à l’acte I, scène 2. On note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace à la scène 4 de l’acte IV. Il faut aussi imaginer les gestes et les mouvements nés du texte, et que l’acteur, guidé par son metteur en scène, va créer librement. C’est notamment le cas pour les deux protagonistes par exemple pour la gestuelle dans le récit d’Agnès à l'acte 2, scène 5 avec les révérences répétées pour

Une flûte enchantée Peter Brook Le fameux Peter Brook met en scène «une flûte enchantée» qui est une reprise de «La flûte enchantée» de Mozart. Un véritable challenge pour ce metteur en scène de remanier un tel opéra, un tel chef d’œuvre. Dans ce spectacle Peter Brook entremêle chant d'opéra et comédie qui fait chavirer le cœur des personnes ayant un faible pour la musique d'opéra et conquit les autres qui ne sont pas des adeptes de ces chants et tout cela dans une grande simplicité, netteté