Scene De L Hypocrisie

Molière, Tartuffe, Acte 1 scène 5 (v.318 à 345) Introduction : La tirade de Cléante précède celle d’Orgon, où ce dernier nous raconte sa rencontre avec Tartuffe, la rencontre de la dupe et de son parasite. L’aveuglement d’Orgon face à cette hypocrisie dont il est sujet en devient comique. Dans ce passage, nous verrons l’opposition récurrente entre vrais et faux dévots, puis nous nous intéresserons au personnage de Cléante représentatif de la pensée classique. Lecture CLÉANTE Voilà de vos pareils

unemétaphore.« J'ai dévoré force moutons. 3) Une scène critique de la justice et du pouvoir : Si La Fontaine ne s'apitoie guère sur le sort de l'âne, il ironise sur la Cour et les puissants : a. La justice est évoquée mais c'est davantage une satyre des 'jugements de cour' : • Lexique de la justice et religieux (« expier, péché ») • Scène représentant le tribunal (défilé à la barre des animaux) • Solennité de la scène : vocabulaire hyperbolique, scène grandiose • Rôle du loup : sorte d'avocat général

Filip VučevićCommentaire composéAprès des débuts difficiles, Molière est protégé par le roi. Sa satire violente de la société dans laquelle il vivait en dérange certains, surtout les pieux, et il dénonce leur hypocrisie : c'est sur cette toile de fond qu'il écrit Tartuffe. Mais la pièce fit scandale et fut interdite. Par la suite, Molière n'a plus de productions à monter dans son théâtre du Palais Royal. Il décide alors d'étudier le théâtre espagnol de Tirso de Molina. Il l'a écrit en trois semaines

comédie fut représentée pour la première fois en 1666 et nous allons étudier la scène d’exposition de cette pièce, la scène une de l’acte I. Cet extrait est un dialogue au cours duquel Alceste va accuser l’indulgence de son ami Philinte envers les mondains et les hypocrites de salon, que lui condamne fermement. Tout au long de ce commentaire nous allons essayer de répondre à la question suivante : comment l’auteur, met en scène une querelle, à la fois comique et polémique, qui oppose Alceste et Philinte

fois le 5 février 1669 Edition choisie : Les classiques Hachette 2) Ecrite par Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, au XVIIeme siècle 3) Pièce de théâtre écrite en vers, alexandrins. 4) La mère d'Orgon, Madame Pernelle, dès la scène d'exposotion annonce son départ révoltée par le train de vie que mène ses petits-enfant, son beau-fils et sa belle-fille. Orgon raconte alors à Cléante sa première rencontre avec Tartuffe, déjà ce dernier trouble l'odre familiale. Dès lors, Orgon entreprend

Dans cet extrait, Diderot évoque un parfait talent du neveu de Rameau. Ainsi, comme au théâtre, Rameau utilise une sorte de monologue pour se mettre en scène au cours duquel il explique à Diderot comment il se comporte en société. Pour lui, l'intégration dans cette société ce fait dans le paraître, et qu'il se plait à imiter les personnes auxquels il est confrontés. Dans ce passage, tel un parfait acteur, il imite à la perfection les différents codes sociaux indispensable à une bonne intégration

plus importantes de la société. Grâce à sa sympathie, il réussit à toucher à son but en vivant quelques semaines avec un statut important. Mais au bout d’un certain temps, nous dit Starobinski, cette réussite va créer sa chute. C’est en fait son hypocrisie, sa fausseté qui va lui devenir insoutenable. Il se sent mal et incompris et, à cause de ce mal-être, il va pendant un petit moment devenir fou. Ce moment lui suffit pour commettre un crime, une tentative de meurtre sur Mme de Renâl. Il se fait

maltraite. Enfermé dans un sac, le maitre est roué de coups de bâton par Scapin qui laisse croire à une agression de laquelle il serait également victime. Au cours de cette scène on constate à quel point il fait preuve d’inventivité : il joue plusieurs personnages, travestit sa voix jouant alors un double jeu. Son hypocrisie va jusqu’à prendre la défense de son maitre face à un interlocuteur imaginaire : « Le Seigneur Géronte, Monsieur, n’est ni fat, ni maraud, ni bélître ». Enfin, sa lâcheté s’illustre

Vers l’oral du Bac p. 106-108 Analyse de la scène 2 de l’acte V, l. 31-71, p. 96-98. ☛ Montrer comment l’hypocrisie de Dom Juan donne un nouveau tournant à la pièce. I. La défense de l’hypocrisie a. La tirade de Dom Juan se développe en deux temps. Mettez en évidence cette structure. La tirade de Dom Juan est construite en deux temps : il décrit dans un premier temps les avantages de l’hypocrisie (l. 31-54), puis il annonce de quelle façon il entend se comporter à l’avenir (l. 54-71).

peu charmant dissimulation de sa véritable personne, hypocrisie : "faux-cheveux mal mis", "l'expression passe du sourire prescrit aux danseuses à l'amer renfrognement de l'escompteur" vêtements pauvres alors qu'elle est bien nourrie, négligeance : "jupon de laine tricoté", "vieille robe" 3) Une personne peu attrayante champ lexiacal de l'embonpoint : "embonpoint blafard" ; oxymore entre embonpoint et blafard => elle est fausse, hypocrisie vêtements en lambeaux, apparence négligée, lien avec