Scene De L Hypocrisie

Le Tartuffe ou l’Imposteur) de Molière (1669) Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est un auteur illustre du XVIIème siècle engagé dans son art et dans la société de son temps. Dans Le Tartuffe ou l’Imposteur, il met en scène un faux dévot, un faux ami, un homme qui s’immisce au sein d’une famille pour en tirer profit, un fourbe par excellence, un hypocrite, Tartuffe. C’est par le biais de ce personnage manipulateur que l’auteur va dénoncer la fausse dévotion. Je vais montrer

Il est mort sur scène en 1673 lors d'une représentation du malade imaginaire. Molière a fixé le modèle de la comédie classiqueet est un auteur classique très reconnu. Tartuffe fut représenté pour la première fois en 1664 devant le roi Louis XIV mais fut ensuite interdite car selon certains, elle porterait atteinte aux dévots.Elle fut interdite par la mère elle-même de Louis XIV. En 1669 l'interdiction fut levée et la pièce eu beaucoup de succès. La pièce de Tartuffe met en scène une famille déchirée

  ACTE IV : Scène 1 : DJ tente de se convaincre que la statue n'a pas bougé. Sganarelle lui dit que Dieu a accompli ce miracle pour qu'il comprenne que la vie qu'il mène est scandaleuse. Scène 2 : Un créancier attend devant la porte de DJ. Scène 3 : Mr Dimanche, le créancier, n'arrive pas à formuler sa demande tant DJ fait de civilités et lui coupe la parole. Il fait pareil avec Sganarelle, à qui il doit aussi de l'argent. Scène 4 : Don Louis, père de DJ, s'indigne de la vie de son fils : « 

siècle est un peu plus dur que celui de la Bruyère, Boileau…, mais il lui reproche, comme eux, son hypocrisie. Le Misanthrope (= celui qui hait les hommes, différent du philanthrope) est l’expression de cette période. C’est une comédie spéciale, qui ne respecte pas les règles de la comédie habituelle mais qui se rapproche plutôt de la tragédie. I/ UNE SCÈNE D'EXPOSITION IN MEDIAS RES A/ UNE SCÈNE DE DISPUTE Nous entrons dans une dispute entre Alceste et Philinte : le premier cherche le conflit

méprise le Second Empire, Zola par la description de la fin de repas des bourgeois satire cette société.  Nous sommes ici dans le chapitre I qui marque une rupture temporelle avec les chapitre suivants : le repas se passe en octobre 1862 et c’est une scène brève.  Chapitre d’exposition travaillé pour être séduisant, présentation des personnages.  Dès le premier chapitre, on est dans le second empire avec un lieu qui le symbolise : le bois de Boulogne.  Plan : linéaire  I. « Cependant les convives

également le champ lexical de la foule, « défilé des assistants », « la foule », « foule noire, bruissante » … Celle-ci est comparée à un fleuve, à une masse. C’est une foule anonyme qui n’est là que pour acclamer Bel-Ami. On peut presque parler ici d’une scène théâtrale, car lui et son épouse représentent les acteurs d’un spectacle offert à la foule. Dans ce passage, avec « Il ne voyait personne », on remarque que George ne pense qu’à lui-même et à ses réussites sans se soucier le moins du monde de la foule

irrégulières), accélération • Alternance récit / discours : discours direct aux personnages importants, indirects aux autres • Différentes tonalités (ironie, tragédie) c. Des animaux qui font allusion aux Hommes et à leur relation : - Cadre scène : procès tribunal (champ lexical justice), intervention : plaidoyer, réquisitoire (Prise de parole par ordre hiérarchique (du + puissant au + faible)) - Pers avec caractères personnels identifiables : • Lion : roi, pouvoir, puissant, féroce, habile

simule la folie auprès de son entourage. Dès lors, devant l'étrangeté de son comportement, la cours s'interroge sur les causes de cette folie mais également jusqu'à quel point le jeune homme a-t-il perdu la raison. Aussi, dans cet extrait de l'acte II scène 2, Polonius, lord chambellan et conseiller du roi Claudius, s'entretient avec Hamlet, cherchant ainsi à confirmer la folie du jeune homme. S'étant précédemment entretenu avec le roi et la reine, Polonius pense que cette déraison découle de la tristesse

IV 3. De même le langage déclanche le rire de façon grossière par le jargon des paysans et plus finement dans les éloges paradoxaux (tabac vin hypocrisie infidélité..) où Molière fait utilise toutes les ressources de la rhétorique pour vanter ce qui n a pas de valeur ou ce qui est une contre-valeur. Enfin le comique du geste, comme dans l’acte IV et la scène 7 où Sganarelle « prend un morceau d’un des plats qu on apporte et me met dans sa bouche ». Mais certaines règles de la comédie ne sont pas respectées:

apparence ne peux servir a rien. La remarque 18 et 56 du livre VIII toujours, montrent que ce sont des personnages de farces à cause de leur hypocrisie.On peut dire que dans le livre VIII, la Bruyère montre que la cour n’est que faux semblants, hypocrisie et manigances. Il dénonce le règne des apparences, les courtisans sont dépassés par leur orgueil et leur ambition démesuré. Il se moque de leurs comportements, des règles ridicules, de leur besoin incessant de plaire qui font d’eux le pantin du