Scarmentado Seville

équipés Victoria (qui a été le seul navire à rentrer) Trinidad, Santiago, Concepción et San Antonio. pour 2 ans avec 234 marins à bord, et celui accepta le projet. Le déroulement du voyage Ils partirent Un seul des 5 navires est revenu à Séville en 1522, il s'agissait de La Victoria. Les découvertes réalisées au cours du voyage et les consequences de celui-ci à plus long terme Conclusion Bibliographie http://www.lehman.cuny.edu/ile.en.ile/pacifique/baert_magellan.html http://www

1) Au XVI ème siècle, Séville connaît son « âge d’or » et devient une grande métropole européenne. Toute la vie de la cité s’organise autour de son port fluvial qui est situé sur la darse du Guadalquivir. Le fleuve se jetant dans l’Atlantique à 180 km du détroit de Gibraltar, le port s’ouvre autant sur la Mer Méditerranée que sur l’Atlantique. La richesse des terres permettait autrefois l’exportation facile de vin et d’huile d’olive. Peu à peu se développa autour du port une activité artisanale en

Il est, avec les peintres Diego Velázquez, Francisco Zurbaran et José de Ribera, l'un des principaux représentants du siècle d'Or espagnol (période de rayonnement culturel de l'Espagne au XVIIème siècle en Europe) et le chef de fil de l'école de Séville, second centre artistique de l'Espagne après Madrid. Bien que l'essentiel de ses œuvres soient religieuses comme La vierge du Rosaire, il est très reconnu pour ses peintures de genre, particulièrement ses portraits de femmes et d'enfants pauvres.

d’imiter de mémoire la démarche et le sourire de la mystérieuse jeune femme, sous le regard satisfait et comblé de son amoureux mari. Ce prince et cette princesse ont bel et bien existé. Il s’agit d’Al Mouâtamid Ibn Abbad (1040-1095), prince de Séville au XI e siècle, poète et Iâtimad Romaïkia son épouse. Pour mémoire, la présence arabo musulmane en Espagne (Al Andalous) avait duré environ 8 siècles, étalée entre la conquête arabe en 711 et la reconquista chrétienne en 1492. Cette présence était

vers 1630 que Fray Luis Gabriel Tellez, plus connu sous le nom de TIRSO de MOLINA (1583-1648), un religieux auteur de trois ou quatre cents pièces, lui donne son nom et fixe la trame de la légende dans El Burlador de Sevilla ( Le Trompeur de Séville ) : Don Juan, un séducteur libertin, tue un Commandeur, père d’une fille qu’il a séduite; il est ensuite entraîné en Enfer par la statue de ce Commandeur. Tirso invente également le couple maître-serviteur (Don Juan et Cata- lin ó n, qui deviendra

mystique, ses figures sont très réalistes. Murillo (1618-1682) Son œuvre est religieuse et principalement la vie de la vierge. Il introduit quelque chose de neuf : La Séville populaire. La veille femme épouillant son enfant C’est un geste populaire (~ gens du peuple (que personne n’a jamais avant lui)) et quotidien à Séville.

été réaliser entre 1645 et 1650, actuellement il se trouve au musée du Louvre à Paris. Cette peinture mesure 137 cm(H) x 155 cm (L) et c'est une peinture sur huile de toile. Cette œuvre a probablement été une commande de marchands étrangers à Séville, car les Flamands avaient du goût pour les scènes de genre qui reflètent la vie quotidienne. Il est par ailleurs probable que cette œuvre ait été peinte sous l'influence des franciscains (l'ordre des frères mineurs est un ordre religieux catholique

donc pas être accusé de diffamation. Mais cette technique présente un inconvénients. Un lecteur non averti ne comprendra pas la profondeur du récit, et ne verra là qu’un conte pour enfant. Le récit perd alors tout son intérêt. Dans Les voyages de Scarmentado de Voltaire : « Ils avaient lu les mémoires du fameux évêque de Chiapa, par lesquels il paraît qu'on avait égorgé, ou brûlé, ou noyé dix millions d'infidèles en Amérique pour les convertir. Je crus que cet évêque exagérait; mais quand on réduirait

Barbier de Séville, acte I, scène 1, et scène 2 (extrait), (1775). Texte B : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte I, scène 1 (extrait), (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent (incipit), © Actes Sud-Papiers, (1996), 11FRTEME1 2/8 TEXTE A – Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville. ACTE PREMIER Le théâtre représente une rue de Séville, où toutes

lui-même considéré comme une figure emblématique du siècle des lumières a entre autre écrit l’œuvre du Barbier de Séville. Ce siècle c’est imprégnée dans sa création littéraire dans ces années-là c’est donc pour cela que Le barbier de Séville à tant de ressemblance avec le siècle des lumières. -------------------------------------------- [ 1 ]. Beaumarchais, Le barbier de Séville, G. Bonneville, 1970, p. 61 [ 2 ]. Ibid. p. 76