Scarmentado Inquisition

Marie s’efforce de financer les guerres entreprises par son frère l’empereur spécialement contre la France mais aussi d'assurer la défense du territoire, de rendre des décisions de justice, de faire appliquer les lois sur la religion avec une inquisition d’État. Elle a aussi pour tâche de s’occuper de l’éducation de ses neveux et nièces. Passionnée par la chasse qu’elle pratique régulièrement, Marie de Hongrie est également férue d’art : musique, peinture, sculpture, littérature et architecture

Chapitre 1 : Candide était un jeune homme qui vécut son enfance et sa jeunesse au château du baron. « Vivre dans le meilleur des mondes » était sa philosophie. Son château hébergeait la baronne Cunégonde -la fille du baron-, son fils et Pangloss, l'homme savant. Candide était attiré par Cunégonde. Un jour, elle espionna Pangloss qui faisait la cour à une femme de chambre. Émue et excitée par ceci, elle voulut mettre cela en pratique avec Candide. Mais le baron les pris en flagrant délit et il expulsa

III Les réactions de l'Eglise de Rome Missionnaires, Croisade et Inquisition Les cathares étaient donc des chrétiens qui s'opposaient à l'Eglise officielle, celle de Rome. Ils vont payer cher leur défi à cette puissance. L'Eglise réagit d'abord pacifiquement en envoyant des missions d'observation et de discussion. 1) Le temps des missionnaires pacifiques Moines de Clairvaux Depuis longtemps, l'Eglise s'était émue des progrès du Catharisme. Envoyé par le pape, Bernard de Clairvaux (le

 KHOULALI DM d'histoire SARRA 2ND 10 Le catharisme, touche tout l'occident à partir du XI siècle et se développe dans le Sud Ouest de la France. L' Église voit dans le catharisme un grand danger et prend des moyens forts pour supprimer cette hérésie. L’église réprime les Cathares ils ne respectent pas certaines croyances tel que la croyance d'un seul Dieu, les cathares croient en deux dieux «un dieu bon et un dieu mauvais» , ils

- Elément perturbateur de la fin du chapitre 1 - Autodafé du chapitre 6 / Inquisition - « Couru l’Amérique a pied » du chapitre 13 à 19

Résumé de CANDIDE Chapitre 1 | Portrait de Candide, de Pangloss, et de tous les habitants du châteaude Thunder-ten-tronckh. Cunégonde assiste par hasard à une expérience de Pangloss qui ne lui était pas destinée. Elle rencontre Candide, et rougit. Candide rougit aussi. Enchaînement des causes et des effets, Candide est chassé du château à grands coups de pied dans le derrière, tout est consterné dans le plus beau des châteaux possibles. | Chapitre 2 | Le recrutement forcé, le militarisme, les

l'inquisition. III) Organisation politique : Le pouvoir central Pas de ministres mais des conseils, on parle de conciliarisme. Ex : Conseil d'Italie, du Portugal, ou encore par thème. Hacienda, conseil des finances, conseil de la sainte inquisition (sans frontières) Le gouvernement des provinces En Aragon on retrouve notamment le pactisme un accord entre le peuple et le roi. Le siècle est le siècle d'or de l'Espagne avec la très forte personnalité de deux rois. Cette représentation du

Guillaume de Baskerville est un moine franciscain, chargé d'une mission diplomatique mais dont le rôle dans l'intrigue sera d'enquêter sur les crimes commis au sein de l'abbaye. Ancien inquisiteur, il est finalement forcé de reprendre sa charge temporairement, ce qui mettra à nu sa faiblesse lorsqu'il ne peut plus agir par la seule logique rationnelle. De l'aveu même d'Eco, il s'agit d'un clin d'œil à Guillaume d'Ockham et son principe, dit du rasoir d'Ockham (Premier jour, Vêpres : « il ne faut

Candide (ainsi que Cunégonde) qui raisonne à la manière de Pangloss. Pangloss fait de Candide un esprit naïf, étroit et crédule condamne surtout le dogmatisme (fanatisme philosophique) tout comme il condamne le fanatisme religieux (dans Candide ; Inquisition, Jésuites?). 3/ Parodie de certains genres littéraires : Rabelais :- titre : clin d'œil à Gargantua que l'on pense que VOLTAIRE a lu peu avant de commencer à écrire Candide. - RABELAIS utilisait des précisions chiffrées ("le moine de

penseurs du 18e siècle, tous les monothéismes sont pour eux générateurs de fanatisme et d’intolérance. Pourquoi ? D’abord parce qu’ils opposent un vrai dieu à des faux dieux. Ces religions opposent les vrais croyant aux non croyants. La sainte inquisition : tribunal itinérant pour traquer les mauvais chrétiens en utilisant la torture. Le vrai problème pour le sociologue n’est pas là, mais plutôt celui d’essayer d’expliquer de cette ferveur religieuse qui avait plus ou moins disparu. Certain sociologue