Scapin Hyacinthe

George Dandin ou le Mari confondu - 1668 * L'Avare ou l'École du mensonge - 1668 * Monsieur de Pourceaugnac - 1669 * Les Amants magnifiques - 1670 * Le Bourgeois gentilhomme - 1670 * Psyché - 1671 * Les Fourberies de Scapin - 1671 * La Comtesse d'Escarbagnas - 1671 * Les Femmes savantes - 1672 * Le Malade imaginaire - 1673

même si Louis le grand, le Roi Soleil le soutient toujours, Molière, rongé par la maladie et critiqué par de trop nombreux ennemis, abandonne " les grandes comédies ". Il revient au théâtre de ses débuts avec des farces comme dans Les Fourberies de Scapin, Le Bourgeois gentilhomme (pièce à grand spectacle) ou des peintures de caractères telles l'Avare, Le Malade imaginaire. C'est au cours de la quatrième représentation de cette pièce qu'il s'effondre et meurt quelques heures plus tard, chez lui, rue

avec laquelle il hisse le genre mineur de la comédie au niveau du grand genre, l'Impromptu de Versailles, le Misanthrope, Amphitryon, l'Avare, George Dandin, Monsieur de Pourceaugnac, le Bourgeois gentilhomme, Tartuffe, Dom Juan, les Fourberies de Scapin, les Femmes savantes, le Malade imaginaire... En 1662, à l'âge de quarante ans, Molière épouse Armande Béjart, la fille de Madeleine, de vingt ans sa cadette, mariage pas toujours heureux. Ayant gagné la faveur de Louis XIV, Molière devient le fournisseur

(6 octobre 1669) Les Amants magnifiques (4 février 1670) Le Bourgeois Gentilhomme (14 octobre 1670) Psyché (17 janvier 1671) Les Fourberies de Scapin (24 mai 1671) La Comtesse d’Escarbagnas (2 décembre 1661) Les Femmes savantes (11 mars 1672) Le Malade imaginaire (10 février 1673)

L'École des maris 1662 L'École des femmes 1664 Tartuffe ou l'Imposteur 1665 Dom Juan ou le Festin de pierre 1666 Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux 1668 L'Avare ou l'École du mensonge 1670 Le Bourgeois gentilhomme 1671 Les Fourberies de Scapin 1672 Les Femmes savantes 1673 Le Malade imaginaire

rebondissements inattendus, les rencontres imprévues, toutes ces intrigues exagérées font rire ainsi que le comique de geste (des conduites incohérentes), les grimaces et les chutes grotesques. En effet, dans Les Fourberies de Scapin, les coups de bâtons donnés par Scapin à son maître caché dans un sac, durant la scène 2 de l’acte III, provoquent le rire général. Ici les rôles sont inversés ; au lieu que le maître bat son valet, c’est le valet qui roue son maître de coups par traîtrise et ceci déclenche

Dans une seconde approche, la lecture laisse place à une libre imagination du lecteur sans imposer une vision déjà faite de la scène, ce qui permet au lecteur de n’avoir aucune contrainte et d’imaginer ce qui lui plaît (Scapin donnant des coups dans le sac « Les fourberies de Scapin » de Molière ») avec les didascalies qui permettent d’imaginer les actions des personnages. En étant libre d’imaginer, la mise en scène peut avoir des impressions différentes sur le lecteur et peut décevoir sur l’attente

du fait de la familiarité qui existe entre eux, et malgré celle-ci. Cette relation n'est pas ressentie comme un problème de classes sociales au XVIIe siècle. Elle le sera à partir du XVIIIe siècle. Exemples de valets [modifier] Scapin (Les Fourberies de Scapin, Molière) [modifier] Conflit entre deux maîtres (le jeune et le vieux) Le valet et le jeune maître s'entendent contre le vieux maître qui demande au valet de surveiller le jeune maître. Occasion pour le valet de se venger, en amusant

d’argent viendra bouleverser les plans de l'avide vieillard. 1669  Tartuffe enfin autorisé connaît un triomphe. 1670 écriture du bourgeois gentilhomme, une comédie ballet. 1671  Les Fourberies de Scapin, une comédie qui s'inscrit dans la tradition italienne et dans laquelle Molière jouera le rôle de Scapin. 1672  Les Femmes savantes. Le roi autorise Molière à intégrer des scènes musicales dans ces œuvres. 1673 Création du Malade imaginaire. Dans lequel Molière tient le rôle d'Argan,

Français Dissertation : Qui ne se souvient pas des coups de bâtons donnés par Scapin à Géronte dans Les Fourberies de Scapin de Molière ? Le rire et l’amusement étaient alors à leur comble. Il est de la nature humaine d’aimer le conflit or « Le théâtre est un art du conflit, du polémique », affirmait André Steiger. Si bien que sans conflit, le théâtre n’existerait pas et ne ferait pas un tel effet sur nos personnes. Mais on peut se demander par quels moyens arrive-t-il ainsi à mettre particulièrement