Scandale Parmalat

Conclusion INTRODUCTION : Les inquiétudes en matière de gouvernance d’entreprise ont véritablement surgi ces dernières décennies suite à une série de scandales qui ont touché plusieurs grandes entreprises mondiales (Enron aux Etats Unis, Crédit Lyonnais en France, Parmalat en Italie…). A l’origine de cet engouement croissant : l’opportunisme des dirigeants, l’inefficacité des conseils d’administration, des doutes sur l’intégrité des audits… Si on regarde

d’intérêt, les délits d’initiés, la corruption, les rentes de situation, les sur-rémunérations des dirigeants ou encore les détournements de biens publics. Les scandales à répétition de ces derrières années, aux États-Unis en particulier avec les affaires Enron, Tyco ou encore WorldCom, mais aussi en France avec Total, Vivendi, en Italie avec Parmalat, montrent bien la nécessité d’avoir des règles rigoureuses, mais aussi à quel point le laxisme des autorités de surveillance peut conduire rapidement à ce

« Il se trouve que chacun va au bien commun, croyant aller à ses intérêts » Montesquieu, De l’esprit des lois Introduction Ces dernières années, sous l’effet de scandales financiers et économiques fortement médiatisés tels qu’Enron, Parmalat ou encore plus récemment ceux d’EADS ou de la Société Générale et de l’affaire dite Kerviel, les débats et réflexions s’articulant autour de la notion de gouvernance n’ont eu de cesse de se multiplier. Les observateurs ont alors pu noter une montée de méfiance

processus ayant fait son apparition pendant les années 60[2] en France : Le CONTROLE EXTERNE ou plus précisément Le COMMISSARIAT AUX COMPTES. Cela a permis de détecter un grand nombre d’infidélités comptables dans plusieurs entreprises (ENRON ; PARMALAT ; KHALIFA BANK …). De ce fait, une prise de conscience des « Top Managers » a conduit à l’établissement d’un contrôle interne, et cela dans un double but : ❖ « Better Safe Than Sorry » : Une sorte de commissariat aux comptes interne permettant

sont peu nombreux. Les informations, j'ai dû les grappiller à gauche à droite. Des discours, de droite comme de gauche, signalent les dégâts des paradis fiscaux, et pourtant leur utilisation ne fait que croître, malgré les scandales qui défraient la chronique : Enron, Parmalat, Metaleurop…. Rien n'y fait. Les affaires sont les affaires . Business as usual. Toutes les banques, toutes les sociétés multinationales ont des filiales dans les paradis fiscaux . La société Total qui négociait l'achat de

drastique ses exigences en matière de certification et d'indépendance des cabinets. Le scandale le plus connu concerne les affaires Enron et Worldcom, qui aboutirent à la disparition du cabinet en cause, Arthur Andersen, pourtant numéro 5 mondial à l'époque. Cependant, aucun grand cabinet ne peut prétendre avoir pu rester à l'écart de la tourmente. Deloitte (ainsi que Grant Thornton) est mis en cause dans l'affaire Parmalat, Ernst & Young sur la sellette dans l'affaire de l'université de Genève, et KPMG est

acteur qui a un intérêt au bon fonctionnement de l'entr. Partie prenante interne = dirigeants, salariés... Partie prenante extérieur = clients, banque, état... La gouv des entr présente de nbreux disfonctionnement qui sont apparus lors de scandales => scandale Enron (2001) = entr de fournitues d'éléctricité, les dirigeants avaient crée plus de 1000 filiales, ils ont camouflés la réalité fin de l'entr en présentant des info sans cesse positives, les actionnaires découvrent l'escroquerie, on comprend

avis sur le fonctionnement de l’entreprise.   La fonction Comptabilité et Finance : débats et perspectives   * La nécessaire transparence de l’information financière Le début des années 2000 a été marqué par de nombreux scandales financiers (Enron, Worldcom, Parmalat,…). Tous avaient un point commun : les dirigeants ont essayé de cacher à leurs actionnaires et investisseurs que leur entreprise allait mal. En effet, dans toutes les entreprises, les investisseurs n’acceptent de continuer de

mécanismes institutionnels de contrôle, - - Tout cela a conduit à des abus, des scandales et une crise de confiance dommageables pour le bon fonctionnement des marchés boursiers et des entreprises. Suite donc aux affaires Enron (2001), Andersen (2002) et WorldCom ou Parmalat (2003), il est apparu nécessaire de redonner confiance aux actionnaires, créanciers et employés, lésés par les nombreux scandales financiers qui défrayent la chronique des entreprises américaines et autres. Cette reconquête

perte d’indépendance de l’auditeur fait craindre aux actionnaires une trop excessive familiarité avec les dirigeants. Ces soupçons sont le résultat de différents facteurs, le premier d’entre eux étant l’implication des auditeurs dans les scandales tels qu’Enron, Parmalat ou encore Worldcom, qui ont touché les différentes places financières au cours de ces dernières années. toutefois, il serait restrictif de considérer que la relation entre l’auditeur et l’audité se résume en de la complicité et de la