Sauvages Et Civilisés

et une vision pessimiste de la société de consommation; métaphore de la société actuelle. L'histoire: Elle se déroule à Londres en « l'an 632 de Notre Ford ». Les êtres humains vivent en grande majorité dans un Etat Mondial, et seuls quelques sauvages vivent dans des réserves (les sociétés anciennes ont été détruites par un conflit nommé « Guerre de Neuf Ans » → La reproduction sexuée a disparu, les humains sont crées dans des laboratoires (dans des flacons) et sont conditionnés. Les traitements

qu'apparaît le mal, identifiable à l'inégalité. Homme sauvage : L’homme sauvage est « sans domicile », entendant par là qu'il n'a pas de domicile fixé à l'avance ou qui lui appartienne : c'est la nature (la forêt) tout entière qui lui appartient. L'homme à l'état naturel n'a aucun contact avec ses semblables : il vit de manière individuelle et indépendamment des autres, et il n'a pas besoin des autres. Du coup, chez les hommes sauvages, il n'y a pas de guerre et de notion de propriété : ils

aussi que la société tahitienne est meilleure que la société européenne. Même si les européens ne peuvent pas changer leur société car ils y sont ancrés, Diderot montre une société à valeur plus utopique. Les colons auraient donc tort de vouloir « civiliser » Tahiti. Même l'aumônier souhaite rester avec les Otaïtiens car la misère des européens est d'avoir introduit dans l'homme naturel un homme moral et artificiel (page 91-92). Les européens seraient comme les tahitiens mais ils ont une pudeur et

l'époque et la culture, qu'on appelle les différentes sociétés. La civilisation en un premier sens peut tout simplement être un synonyme de culture ou de société - on parle ainsi de la civilisation chinoise ou de la civilisation maya. Mais être civilisé peut aussi prendre un sens différent, par opposition au barbare ou à l'inculte: dans ce cas, cela veut dire qui appartient à une culture plus avancée, plus complexe ou mieux organisée que les autres. Serait-il alors possible de juger les différents

fond de ton cœur le vol de toute une contrée » l.15 /16 gradation le sauvage rappelle à l’homme civilisé le rôle qu’il doit tenir, dénonce la démesure de sa violence • « Chef des brigands qui t’obéissent » l.1 périphrase, dénonce les intentions de Bougainville • Raisonnement par analogie « qu’en penserait tu ? »l.14, et l.15/16/17/ le tahitien dénonce l’absence de logique de Bougainville incapable de comprendre qu‘un “sauvage“ puisse raisonner et réagir comme lui. •b) Une dénonciation de

peuple autochtone considéré comme « sauvage » et choisit de dénoncer la brutalité des conquêtes européennes. Pb : En quoi ce texte est-il caractéristique de l’Humanisme ? En quoi ce texte est-il caractéristique d’un Essai ? Que dénonce ce texte ? Pour répondre à la problématique, il conviendra tout d’abord d’aborder l’engagement du narrateur pour s’attacher ensuite à la supériorité argumentative des Indiens pour étudier enfin la supériorité éthique des sauvages I/ L’engagement du narrateur L’auteur

forêt-univers du conte, du merveilleux, épique égalementPROBLÉMATIQUE POSSIBLE : en quoi la présentation des personnages relève-t-elle du merveilleux ?PLAN EN 2 PARTIES -I- Des personnages ancrés dans la nature1-coupés du monde civilisé des hommes, ils sont sans éducation2-ce sont des êtres mystérieux, en fusion avec la forêt3-et qui partagent avec elles des caractéristiques (bruits, sentiments, ressources) -II- Devenus des personnages légendaires1-des connaissances

Supplément au voyage de Bougainville 3-A et B sont aussi tous deux des hommes des Lumières: - ils lisent et aiment à discuter de leurs lectures ; - ils s’intéressent aux grandes questions qui animent les débats des salons :le rapport entre le sauvage et le civilisé, la propagation des espèces d’un continent à l’autre (p. 29). Ils sont capables d’un recul philosophique et quasiment ethnologique par rapport à la « cruauté » de certaines coutumes, ainsi que d’une vision synthétique de l’évolution des coutumes

de textes humanistes( XVIème siècles ) débattent sur la question du sauvage. Le premier perçoit l'Indien d’Amérique comme un dangereux barbares tandis que le second le voit positivement. Imaginez leurs dialogues. Un soir, deux camarades discutait de leurs lectures habituelles puis en viennent a discuter de la question du sauvage. Les deux camarades Achille et Albert n'était pas d'accord sur comment il percevait le sauvage : l'Indien d’Amérique. Achille lui le voyait plus comme une dangereuse

: http://www.etudes-litteraires.com/rousseau-discours-inegalite.php#ixzz1eboJvS5H ROUSSEAU “ Ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain ”. (p.101). Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755) http://www.webphilo.com/reponses/voir.php?numero=453058845&reponses=23&keyword=pascal&categorie=sujets Il n'y a rien qu'on ne rende naturel, il n'y a naturel qu'on ne fasse perde. " (Pascal) Thème : Nature et culture