Saturne Hugo

Victor Hugo, Les Contemplations, « Autrefois » 1830-1843 Victor Hugo est un écrivain français (Besançon 1802 – Paris 1885). Fils d’un général de l’Empire, il est d’abord un poète classique et monarchiste. Mais la publication de la Préface de Cromwell (1827) et des Orientales (1829) font de lui la meilleur incarnation du romantisme. Poème extrait des Contemplations, recueil écrit en exil, comportant deux parties : « Autrefois » et « Aujourd’hui ». La mort de Léopoldine, fille de V. Hugo, trace

RICHARD Hugo 1ère STMG Partie 1 : recherches a. biographie détaillée de Paul Verlaine : Sources : http://www.mag4.net/Verlaine/Biographie.html http://verlaineexplique.free.fr/verlindex.htm Paul Verlaine est né à Metz le 30 mars 1844, où son père, officier, se trouve en garnison. Les parents de Verlaine, longtemps restés sans enfants, ont adopté une nièce, Élisa. Elle sera pour leur fils une grande sœur pleine d'indulgence. Verlaine, enfant, est excessivement "gâté". En 1849, le

œuvre du deuil * La Mystique du poète * Place des Contemplations dans l’œuvre d’Hugo INTRODUCTION S’il ya aux XIX siècle un écrivain qui peut être considère comme la plus illustre et prolixe de son époque, c est vraisemblablement VICTOR HUGO. Sa vie remplie et mouvementée témoigne sans doute de sa dimension littéraire exceptionnelle marquée par les empruntes du poète dramaturge, romancier, pamphlétaire, critique littéraire, historien et journaliste. Parmi ces nombreuses œuvres, on a les

le Second Empire, après la publication de la majeure partie de l'œuvre de Victor Hugo et celle des Fleurs du mal de Charles Baudelaire, un jeune poète de vingt-deux ans, Paul Verlaine, publie en 1866, un recueil intitulé Poème Saturniens. Il s’inscrit, dans une dédicace préalable à Eugène Carrière (artiste peintre et lithographe), son recueil dans la tonalité suivante « ceux là sui sont nés sous le signe de Saturne, […]Ont entre tous, d’après les grimoires anciens, Bonne part de malheur et bonne

1869 amoureux de Mathilde Mauté, attirance pour son innocence, âgée de 16 ans Rencontre avec Rimbaud et mésaventures qui en découlent dont emprisonnement et alcoolisme Œuvre : POEMES SATURNIENS Écrite à 22 ans, sous le signe maléfique de Saturne Thèmes essentiellement parnassiens : refus de l’engagement, culte du beau, condamnation du lyrisme personnel (non sans ironie) Influence de Baudelaire : admiration pour sa modernité et l’intensité de sa mélancolie 4 parties Melancholia

l’idée de privation, de l’affirmation d’un manque (“je suis”) c’est à dire que le locuteur est ce qu’il n’est pas. ce “je” triomphal est donc privatif: le locuteur est privé de lumière, d’épouse, de consolation. Cela rappelle Booz endormi de Victor Hugo: “je suis seul, je suis veuf, et sur moi la nuit tombe.” Comme dans ce vers, la perte s’affirme de façon très forte avec la perte centrale de la femme (et la forme très brève de “veuf”). Les accents sont très réguliers; le rapprochement accentuel

Et mes caresses enfantines  Étaient pures et sans aigreurs. Croyais-je, exempt de toute peine  Que, dans notre vaste univers,  Tous les maux sortis des enfers,  Avaient établi leur domaine ?  Nous sommes loin de l'heureux temps Règne de Saturne et de Rhée, Où les vertus, les fléaux des méchants, Sur la terre étaient adorées,  Car dans ces heureuses contrées  Les hommes étaient des enfants Enfance (1898-1913 ) poèmes à la marraine Guillaume Apollinaire (surréaliste) Au

croisées,
 Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
 Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, Les contemplations,1847 N’écris pas N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre.
 Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau.
 J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre,
 Et frapper à mon coeur, c'est frapper au

inutile car nous vivons dans une société où on ne lui accorde pas la place que ces vers virevoltants devraient avoir et où certains ignares ce permettent de parlementer d'elle comme on parlerait du menu de la cantine. Autrefois ,à l'époque de Victor Hugo,elle faisait se soulevé des foules d'intellectuels. Aujourd'hui c'est nos cœur que je voudrais qu'elle soulève afin que nous puissions découvrir un monde nouveau . Dans les moments difficiles comme dans les bons moments c'est en elle que j'ai trouvé

science n’est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu’en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s’y laissent concevoir, Et l’on sait tout chez moi, hors ce qu’il faut savoir ; On y sait comme vont lune, étoile polaire, Vénus, Saturne et Mars, dont je n’ai point affaire ; Et, dans ce vain savoir, qu’on va chercher si loin, On ne sait comme va mon pot, dont j’ai besoin. Mes gens à la science aspirent pour vous plaire, Et tous ne font rien moins que ce qu’ils ont à faire ; Raisonner