Saturne Brassens

allitérations en [b] en [z] et l’assonance en [a] le montrent bien. Ici, l’ajustement des mots peut confirmer la citation d’Alphonse Karr : « La musique commence où la poésie finit. ». Ainsi certains musiciens se sont essayés à chanter des poèmes. Georges Brassens et Barbara ont réalisé de belles interprétations du poème « Il n’y a pas d’amour heureux » de Aragon. Yves Montand, lui, a repris « Les feuilles mortes », poème de Jacques Prévert. De plus, certains auteurs, tout comme Henri Michaux, parsèment leurs

Brel - Identifier la forme d’un poème. - Comprendre les thèmes et relever les champs lexicaux. 2 1H Production écrite (compte rendu des lectures cursives des textes poétiques) - « La montagne » Jean Ferrat - «  heureux qui comme Ulysse » Georges Brassens - Reconnaître la poésie contemporaine chantée. - Dégager les spécificités de ce genre de poésie. 3 1H Langue Le registre lyrique - Reconnaître le registre lyrique. - Identifier ses caractéristiques. 4 1H Oral (chanson) « La vie en rose » d’Edit

Brel - Identifier la forme d’un poème. - Comprendre les thèmes et relever les champs lexicaux. 2 1H Production écrite (compte rendu des lectures cursives des textes poétiques) - « La montagne » Jean Ferrat - «  heureux qui comme Ulysse » Georges Brassens - Reconnaître la poésie contemporaine chantée. - Dégager les spécificités de ce genre de poésie. 3 1H Langue Le registre lyrique - Reconnaître le registre lyrique. - Identifier ses caractéristiques. 4 1H Oral (chanson) « La vie en rose » d’Edit

petits boulots pendant dix-huit mois. C'est notamment en travaillant dans un pub qu'il développe son goût pour la chanson. Surnommé le Frenchman, certaines de ses rencontres lui donnent l'occasion de faire découvrir la chanson française (Georges Brassens, Guy Béart...) et lui permettent d'écouter du répertoire anglo-saxon. Il évoque ce passage de sa vie dans Londres sur Tamise sur l'album J'ai dix ans et dans la chanson Jamais content. Il rate son baccalauréat par correspondance trois fois. Rentré

Mourir pour des idées - Georges Brassens - 1972 1 Mourir pour des idées, l'idée est excellente. Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue, Car tous ceux qui l'avaient, multitude accablante1, En hurlant à la mort me sont tombés dessus. Ils ont su me convaincre et ma muse insolente, Abjurant2 ses erreurs, se rallie à leur foi Avec un soupçon de réserve toutefois : Mourons pour des idées, d'accord, mais de mort lente, D'accord, mais de mort lente. Des idées réclamant le fameux sacrifice, Les sectes

♦ Tout d’abord, les trois textes sont des poèmes lyriques. Les poètes expriment des sentiments amoureux intenses de façon imagée et rythmée, pour rendre cette émotion communicative. Ainsi, Victor Hugo nous exhorte à aimer dans un poème très expressif (« Aimez-vous ! », « Vivez ! », « Ô couples »). Louis Aragon et Claude Roy expriment des sentiments amoureux de façon plus intimiste puisque ces derniers sont adressés directement à la femme aimée (« c’était hier que je t’ai dit », « je n’ai plus

doivent disparaitre dans le secret absolu. Jean Ferrat n’est pas le seul artiste à avoir exprimé ce besoin de mémoire de la Shoah. En effet, il existe des oeuvres telles que « La petite juive » de Maurice Fanon (1965), « Les deux oncles » de Georges Brassens (1964) ou encore « Comme toi » de Jean-Jacques Goldman (1982). De plus, nous constatons que des œuvres de d’autre nature sont publiés sur le génocide juif : Le livre « Si c’est un homme » de Primo Levi (1947), le film documentaire « Nuit et brouillard

THEURÉ Julien 1S5 ! Les textes proposés par le corpus, à savoir « Épitaphe Villon » (vers 1460) de François Villon, « Courage » (1943) de Paul Eluard sous le pseudonyme de M. Hervent et un poème du recueil Destinée arbitraire (1975) de Robert Desnos sont trois oeuvres engagés. Nous allons étudier dans un premier temps l’engagement et sous quelles formes il est exprimé dans ces trois poèmes et dans un second temps les différences de contexte. ! L’engagement dans ces trois poèmes s’exprime à travers

1. « le Lac » de Lamartine 2. « L’horloge » de Baudelaire 3. « Automne malade » d’Apollinaire 4. « Les Antiquités de Rome » de du Bellay 5. « Un homme passe sous la fenêtreet chante » d’Aragon 6. « Marquise, si mon visage… » de Corneille 7. « Je disais l’autre jour… » de Marbeuf 8. « la ballade des dames du temps jadis » de Villon 9. « Quand jesuis vingt ou trente mois... » de Ronsard 10. « Le Pont Mirabeau » d’Apollinaire 11. « Soleils Couchants » de Hugo

qui a eu lieu au Sud-États au milieu du 20e siècle. Pierre Perret Pierre Perret est née le 9 juillet 1934 à Castelsarrasin en France, est un auteur-compositeur-interprète français. Ses débuts d’écritures commencent par la rencontre de Georges Brassens, qui l’incite à écrire et à composer. En 1958, il sillonne les routes de la France et de l’Afrique en recherche d’inspiration. Les chansons de Perret ont un ton plutôt enjoué, même typique du music-hall. Il écrit plusieurs chansons sociales telles