Sans parler du chien

Texte 1 : La Fontaine, Le loup et le chien (1668) 1 Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. 5 L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait

L’éloquence du chien est une argumentation qui vise à convertir le loup en chien. Pour le chien c’est une résolution de la crise car le loup n’aura plus faim. Il y a une conciliation des contraires car le loup presque éclipsé est visiblement subjugué par le chien (attesté par le récit allant de la ligne 30 à 31). Péripéties 3 (ligne 32 à 40) Dans cette partie le discours domine aussi. Il y a un revirement de la situation avec un retour à l’antagonisme initial (chien ≠ loup). Le récit

Le loup et le chien : Introduction : -Les Fables de La Fontaine sont composées de 3 recueils et de 12 livres. Leur publication s'étend sur un quart de siècle (1668-1694) et leur composition sur plus de trente ans. Ce sont des recueils de poèmes en vers libre (sans structure régulière « rimes », « strophes ») comportant une morale, ici il s'agit d'un récit fictif (imaginaire) où La Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains. Dans chacun de ses récit il y a une morale. «

fables |Le Loup et le Chien | | |Un Loup n'avait que les os et la peau, |Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ? | |Tant les chiens faisaient bonne garde. |- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens | |Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,

pour corriger les défauts humains. Chaque récit inspire une morale. Le loup et le chien présente deux modes de vies opposées, celui du loup qui est libre et celui du chien qui est lui au service de son maître, reprenant ainsi une thématique identique à celle des Anciens (l’opposition entre l'esclavage et la liberté). Lecture du texte Le loup et le chien Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras

que d'un regard interrogateur. Pourtant cette fois-ci, ses lèvres se mirent à bouger et des mots de notre langue s'échappaient de sa bouche afin de former des phrases. Cela peut paraître fou, moi-même je n’y croyais pas… Mais Sherlocat se mit à me parler... Mon chat me dit : « J’ai vécu une folle histoire aujourd’hui ! Il devait être 14 heures environ. Watscat m’avait invité à venir boire le thé chez lui. Et quand mon fidèle acolyte m’invite à boire une tasse de thé, cela ne présage jamais rien

eunuque, n’avez-vous point vu le chien de la reine ? Zadig répondit modestement, C’est une chienne, et non pas un chien. Vous avez raison, reprit le premier eunuque. C’est une épagneule très petite, ajouta Zadig ; elle a fait depuis peu des chiens ; elle boite du pied gauche de devant, et elle a les oreilles très longues. Vous l’avez donc vue ? dit le premier eunuque tout essoufflé. Non, répondit Zadig, je ne l’ai jamais vue, et je n’ai jamais su si la reine avait une chienne. Précisément dans le même

perdre ses moyens lorsqu'il la voit. Il tente à plusieurs reprises d'entrer en contact avec Sophie. Il entend alors parler le chien de Sophie, Medji, avec un autre chien. Il se souvient que cela est déjà arrivé en Angleterre mais se pense alors ivre. Ce chien a écrit une lettre ce qui l'étonne fortement. Il décide de voler les lettres que Medji a écrit à Fidèle, l'autre chien, car il idolâtre sa bien-aimée Sophie. Suite à la lecture de ces lettres, Sophie en aime un autre, un gentilhomme, et cela

s'échappe. Ch3 Fédorine a élevé Brodeck comme son fils, elle était comme sa mère. Il est orphelin;et fuis s on pays, on apprend qu'il a été dans un camp, à manger et se faire traiter comme un chien. Ch4 Son voisin; Göbbler se méfie de Brodeck, il l'avise qu'il y a déjà eu assez de malheur. Il veut parler au maire,Orschwir; aussi on apprend que les enfants du maire sont morts, tués par une grenade, alors qu'ils jouaient avec...et c'est peut-être pour ca que c'est lui le maire... On rencontre

Un Loup n'avait que les os et la peau,  Tant les chiens faisaient bonne garde.  Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,  Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.  L'attaquer, le mettre en quartiers,  Sire Loup l'eût fait volontiers ;  Mais il fallait livrer bataille,  Et le Mâtin était de taille  A se défendre hardiment.  Le Loup donc l'aborde humblement,  Entre en propos, et lui fait compliment  Sur son embonpoint, qu'il admire.  "Il ne tiendra qu'à vous beau sire,