Salaire Minimum Et Inflation

clarification des fonctions économiques de l’État. Selon R. Musgrave, il y a tout d'abord la fonction d'affectation des ressources. A partir de la collecte d'impôts, l’État effectue des dépenses pour le fonctionnement de son administration (paiement des salaires des fonctionnaires) et finance les biens collectifs, comme l'éducation, la défense, la justice, les infrastructures. Il y a ensuite la fonction de redistribution de l’État qui aide financièrement les catégories sociales les plus défavorisées en leur

que les assignats sont associés à quelque chose (biens de l’Eglise). Cela rappelle les supprimes: crédits financiers adossés sur des biens immobiliers. 2 sur 24 Le gouvernement semble avoir trouvé le moyen de créer de l’or, mais cela a engendré inflation et faillite. Épisode archétypale: l’Etat émet de l’argent pour régler ses factures. Guerre couteuse à financer, on imprime donc des billets. Plus il y a de billets de banques en circulation, le billet de banque à l’unité permet d’acheter moins de

L’ENTRPRISE I) Impératifs Financier TRESORERIE : Compte en banque de l’entreprise, lorsqu’elle à 0, dépôt de bilan (pour sauver l’entreprise). Appel au tribunal de commerce 3x. Administrateur judiciaire a le pouvoir financier de geler les dettes. Les salaires sont alors payés par l’A.G.S. Le trou de la sécu est de 12 Milliards d’euros car les entreprises payent 89 Milliards de moins, retraites, fraudes. CNE : CDI pour les entreprises de 2 à 20 personnes, si problème de carnet de commande licenciement

qu’il faut une intervention plus ou moins forte de l’état. Par exemple Keynes et Friedman sont tous les deux libéraux. Mais Keynes et Friedman sont opposés l’un à l’autre  : Friedman veut réduire le rôle de l’état au minimum (monnaie+défense+sécurité  : pas de salaire minimum, l’état n’aurait aucune entreprises comme une école, un hôpital…) A l’inverse, Keynes est partisan pour une intervention de l’état forte en temps de crise. L’état n’a pour lui néanmoins pas vocation à intervenir tout le

le service rendu est plus ou moins équivalent ; les dépenses et recettes publiques reflètent mal le poids de la réglementation, c’est-àdire l’ensemble des contraintes légales que l’Etat impose aux agents privés (lois antitrust, quota de pollution, minimum de scolarité obligatoire…) ; L’intervention de l’Etat affecte le niveau d’activité de l’économie. Les dépenses nécessitent des prélèvements ; les prélèvements découragent l’activité et la base de taxation. Quoiqu’il en soit, les statistiques internationales

de Say » Cette loi est essentielle pour les économistes libéraux et peut se résumer ainsi : toute offre crée sa propre demande. En pratique une entreprise qui met un bien sur le marché donne l’équivalent de sa valeur à ses salariés sous forme de salaires et à ses propriétaires sous forme de dividendes. D’autre part, pour Jean-Baptiste Say la gestion de quantité de monnaie en circulation dans l’économie d’un pays n’a aucun impact sur le niveau de production. Il insiste sur le fait que la production

CHOMAGE ET INFLATION Chapitre 01 : LE CHOMAGE A. Définition et mesure du chômage 1. Les mesures du stock de chômeurs 2. La mesure du chômage à travers les flux B. Evolution du chômage 1. Le chômage des jeunes 2. Le chômage des seniors C. Les explications du chômage 1. Le chômage classique 2. Le chômage keynésien 3. Le chômage lié aux structures économiques et sociales a. Le chômage naturel b. Le chômage frictionnel c. Le chômage technologique d. Le chômage de segmentation e. Le

1960 due aux conflits dans la répartition de la valeur ajoutée laisse la place à une inflation par les coûts (choc pétrolier). La prospérité des années 1945-75 était bâtie sur un pétrole bon marché. Dans les années 1950 et 1960, l'inflation était plutôt le signe d'une "surchauffe" de l'économie, ce n'était pas un problème majeur. Si le pays passait en déficit commercial, on dévaluait la monnaie (boucle inflation -dévaluation). Mais avec l'ouverture croissante des économies, l'inflation devient un

pressions exercées par les coûts salariaux à proximité du pleinemploi, ont été tour à tour invoqués. Les uns ont donc accusé l'interventionnisme de l'Etat dans le domaine monétaire, les autres l'insuffisance de cette intervention dans le contrôle des salaires, ou plus généralement des revenus et des prix. La persistance, depuis plusieurs années, de la coexistence de taux de chômage et de taux d'inflation élevés a nécessité une révision de ces théories qui n'a pas apporté d'éléments décisifs de crédibilité

devenir cumulatifs B. - La préférence pour la liquidité C. - Le caractère moteur de la consommation II. - La question du chômage A. - Le chômage conjoncturel 1 - La théorie des contrats implicites 2 - La théorie du capital humain 3 - La théorie du salaire d'efficience B. - Le chômage structurel III. - L'inflation et la monnaie A. - Les causes de l'inflation B. - La non-neutralité de la monnaie IV. - Le commerce extérieur A. - Le comportement des agents nationaux B. - La rigidité du commerce extérieur