Salaire Minimum Et Inflation

Chapitre 4 : Création monétaire et inflation Objectif : éclaircir l’impact que peut avoir la monnaie sur l’économie réelle, c’est à dire sur le niveau de la production, de chômage, le volume des échanges. La question qui se pose est de voir si l’utilisation de la monnaie, la gestion de la monnaie, la quantité de monnaie en circulation dans l’économie modifie ou non les phénomènes réels à travers l’inflation. Ou est ce que le monnaie n’agit que sur les phénomènes monétaires. Enjeu important, car

qui ne font que diminuer leur rentabilité tout en augmentant leurs coûts. Il faut donc laisser l’initiative privée libre. Prenons l’exemple du marché du travail. Il ne peut plus trouver d’équilibre sans chômage si l’État impose un salaire minimum qui est supérieur au salaire d’équilibre lui-même égal à la productivité marginale du travail. La courbe de Laffer schématise cette analyse. En effet, il est évident qu’avec un taux d’imposition nul, les recettes fiscales seraient également nulles. De plus

d’échange avec l’étranger Limites et effets de la création monétaire : * Besoin en monnaie centrale (réserve) : la BCE exige que les banques détiennent un minimum de monnaie centrale (pièces et billets), de réserve, destiné à couvrir les demandes des clients en billets et à régler les dettes entre banques (marché interbancaire). Ce minimum s’appelle la base monétaire. C’est en quelque sorte une contrainte de solvabilité. * Le multiplicateur de crédit : les dépôts des clients sont généralement

d'associés : 2 associés minimum. Capital minimum et/ou maximum : pas de capital minimum. Responsabilité des associés : Leur responsabilité est limitée au montant des apports. Ils sont également solidairement responsables des engagements de la société dans la limite du capital restant à libérer. La Sociedade anonima est une société anonyme. Nombre de partenaires et d'associés : 2 associés minimum. Capital minimum et/ou maximum : pas de capital minimum. NB: 10% minimum du prix d'émission

(produire plus avec autant de travail, le coût de X diminue) -> usage possible mais pas obligatoire. * Augmenter les profits (on dépense moins en travail pour produire, mais on garde les mêmes prix, voir augmentation). * Augmenter les salaires (puisque les travailleurs produisent plus dans le même temps, on peut décider d’augmenter leurs rémunérations sans que cela se traduise par une hausse du prix de vente des marchandises, à condition que le comportement de marge de l’entreprise reste

donc le niveau de vie sous la IV e république à doublé. Elle a su tirer profit de cet argent pour créer le SMIG ( salaire minimum interprofessionnel garantit ), création d'une semaine de congés payés en 56. Elle perfectionne la sécurité sociale et notamment les retraites par la création de la vignette automobile. Elle pousse pour une généralisation de la mensualisation des salaires. Permet aux salariés de contracter plus facilement des crédits. Donc permet de plus consommer, donc bénéfique à l'industrie

transports vers le front. -> Mobilisation du travail: Femmes appelées dans les usines d'armements + Augmentations des salaires. Effet cliquet immédiatemment après la guerre : Conservation des habitudes même si la paix est revenue. De plus, peur du communisme en France (Russie) Les Etats continuent à intervenir face à de nouveaux problèmes : -> Problèmes monétaires: Inflation, et devalorisation des monnaies traditionnellement stables + Dettes très lourdes aux USA -> Déficits budgétaires.

porteur de tensions. υ La part des gains de productivité revenant au salariat se matérialise par la baisse de la durée globale du travail, mais surtout, par la hausse des salaires réels. ? La « contrepartie » de l’intensification du travail. ? Durant les trente glorieuses, en France, le rythme moyen d’accroissement des salaires réels est supérieur à 4% par an (ce à quoi s’ajoutent, à l’échelle individuelle, l’avancement et l’ancienneté). υ C’est par les profits que se matérialise la part des

anticipations adaptatives application par Friedmann à la courbe de Philips Friedmann est l'un des premiers à avoir fait remarquer que les observations statistiques selon lesquelles il y aurait une relation inverse entre chômage et augmentation des salaires (courbe de Philips) peuvent s'expliquer par les phénomènes d'anticipations adaptatives : cette corrélation serait le résultat des délais d'ajustement dans la prise en compte de l'inflation passée sur les exigences salariales et non le reflet d'un

envolé ( près de 12% entre 1974 et 1982, au lieu de 5% entre 1967 et 1973 ). 
  L'inflation était liée à l'augmentation du prix de l'énergie importée ( facture pétrolière multipliée par 10 entre 1973 et 1982 ), et à l'indexation de l'évolution des salaires sur les prix. La hausse des prix est tombée en dessous de 5 % en moyenne annuelle dès 1983, date à laquelle elle 
était inférieure à celle de l'Allemagne.
  L'économie française a profité de la baisse des cours du pétrole liés au contre-choc pétrolier