Saint John Perse

l’architecte (1923), Monsieur Teste (1926), Discours en l’honneur de Goethe (1932), L’idée fixe ou Deux Hommes à la mer (1932), Sémiramis (1934), Notion générale de l’art (1935), Degas, danse, dessin (1938) Saint-John Perse (Pointe-à-Pitre 1887 – Giens 1975) Poète et diplomate français, Saint-John Perse réside régulièrement, entre 1957 et 1975, dans sa propriété des « Vigneaux », qui constitue un démembrement de « La Polynésie » d’avant-guerre. C’est là, qu’il recevra le Prix Nobel de Littérature, en

le monde qui l’entoure et ce qu’il ressent. Il est donc en marge ce qui participe à sa condition d’exilé. Les poèmes Les regrets de Joachim Du Bellay, Les quatre vents de l’esprit de Victor Hugo, Poésies de Stéphane Mallarmé ou encore Exil de Saint-John Perse font tous référence à l’exil. Nous nous demanderons comment la thématique de l’exil se marque-t-elle dans l’écriture de ces différents poèmes. Dans Les regrets, Joachim Du Bellay exprime les regrets qu’il éprouve de s’être exilé à Rome.

Aristide Briand, il est nommé à l'administration centrale du ministère en 1922 puis devient en 1925 directeur du cabinet du ministre. En 1933, il est secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, et ce jusqu'en 1940. Sous le pseudonyme de Saint-John Perse, il avait publié en 1925 son recueil Anabase mais s'astreindra à ne plus rien publier aussi longtemps qu'il sera diplomate. Le diplomate [modifier] Peu de temps après avoir été nommé chef de cabinet d'Aristide Briand, Alexis Leger, alors

U N P O E T E D E F I N I T S O N A R T SAINT-JOHN PERSE accepte son prix en hommage à la poésie. Le poète met l’accent sur l’écart qui semble se creuser entre l’œuvre poétique et la société soumise à des contingences matérielles. Cet écart serait le même pour le savant sans les applications pratiques de la science. Toutefois, le poète et le savant ont un point commun honorable qui est la pensée désintéressée. Leur interrogation est la même en dépit de modes d’investigation

syndical, il perd son emploi lors des grèves de 1936 et quitte Paris en 1940 pour entrer dans la Résistance. 'Le Parti pris des choses', paru en 1942, pose les éléments essentiels de sa ligne poétique, très différente de celles des surréalistes, de Saint-John Perse et René Char : Ponge dissèque les objets, en abolissant la frontière entre le mot et la chose qu'il désigne. Il se fait le poète du quotidien, matérialiste, sensualiste, sous la plume duquel 'L' Huître', 'Le Savon', 'La Pomme de terre' ou 'La

syndical, il perd son emploi lors des grèves de 1936 et quitte Paris en 1940 pour entrer dans la Résistance. 'Le Parti pris des choses', paru en 1942, pose les éléments essentiels de sa ligne poétique, très différente de celles des surréalistes, de Saint-John Perse et René Char : Ponge dissèque les objets, en abolissant la frontière entre le mot et la chose qu'il désigne. Il se fait le poète du quotidien, matérialiste, sensualiste, sous la plume duquel 'L' Huître', 'Le Savon', 'La Pomme de terre' ou 'La

« obscure » est souvent celle que l’on ne comprend pas. Mais comme l’explique Gérard de Nerval dans sa citation « Mes sonnets perdraient de leur charme à être expliqués », la charme de la poésie réside dans son incompréhension. Par ailleurs, Saint-John Perse n’attribue pas l’obscurité à la poésie, mais à l’être humain. Effectivement il déclare : "L'obscurité qu'on lui reproche ne tient pas à sa nature propre, qui est d'éclairer, mais à la nuit même qu'elle explore, et qu'elle se doit d'explorer :

le monde qui l’entoure et ce qu’il ressent. Il est donc en marge ce qui participe à sa condition d’exilé. Les poèmes Les regrets de Joachim Du Bellay, Les quatre vents de l’esprit de Victor Hugo, Poésies de Stéphane Mallarmé ou encore Exil de Saint-John Perse font tous référence à l’exil. Nous nous demanderons comment la thématique de l’exil se marque-t-elle dans l’écriture de ces différents poèmes. Dans Les regrets, Joachim Du Bellay exprime les regrets qu’il éprouve de s’être exilé à Rome. Il

Pourquoi le poète écrit-il ? Ou plutôt pour qui ? Le poète est avant tout un homme qui va exprimer ses sentiments, émotions personnels à travers ses écrits. Ecrire pour lui est un besoin, et non forcément une mission. Saint-John Perse disait « A la question toujours posée "Pourquoi écrivez-vous?", la réponse du Poète sera toujours la plus brève "Pour mieux vivre". »Si lon considère donc quun poète écrit pour lui, peut-on dire quil sadresse aux autres ? Mais indirectement, chacun ne peut-il pas

Tragiques grecs ou encore Homère. Le XVI est une mine d’or en ce qui concerne les poètes, on retiendra particulièrement deux poètes sourds : du Bellay et Ronsard. Ronsard est considéré comme le premier prince de notre poésie actuelle. D’ailleurs, Sainte-Beuve lui rend un bel hommage dans un sonnet dont le succès est passé. Ensuite, apparaît le deuxième âge d’or. Il s’agit en effet du XVIIème siècle avec le classicisme. On y retrouve une infinité de talents et de génies appuyés tels que Pascal,