Réponse Organisée Sur Athène

systèmes qui reposent sur l’autorité d’un seul (monarchie, tyrannie) ou d’un groupe (oligarchie, aristocratie). Il faut tout de suite apporter ici un correctif à l’idée de démocratie telle qu’elle était pratiquée dans la Grèce antique, à Athènes notamment. Seuls les citoyens, nés eux-mêmes de citoyens, peuvent prétendre exercer un pouvoir politique, participer aux assemblées, recevoir une charge. Les étrangers en résidence, les métèques, aussi bien que les esclaves et les femmes sont totalement

lequel il se rend en Grèce, en Asie Mineure (Turquie), en Crète, ainsi qu’en Sicile. On pense que ce voyage est sa source d’inspiration pour Les Métamorphoses (exp : l’affrontement entre les Lapithes et les Centaures, sculpté sur le Parthénon, à Athènes). → De retour à Rome, il occupe d’abord un poste de magistrat. Il va cependant abandonner très vite cette carrière, et devenir écrivain, faire de la poésie, ce qu’il a toujours voulu faire. Il va côtoyer des célébrités de l’époque, comme Virgile

attendre la fin du régime nazi pour que ces libertés transpercent les frontières nationales. Thème n°1 – Les droits de l'Homme sous l'Antiquité Existait-il sous l'Antiquité la conception des droits de l'Homme que nous avons aujourd'hui ? La réponse est non. La culture grecque comme la culture romaine avaient néanmoins une conception forte de la liberté et de l'égalité. Il existait même une culture politique et juridique qui considère que dans une société bien réglée, l'Homme dans son intégrité

science alors que l’on sait que ce n’est pas une science exacte. Comme toute science, le droit constitue un ensemble de connaissances, le droit inclue l’art de « dire le droit », c’est-à-dire de l’adapter au problème posé. C’est donc dire que les réponses qui peuvent être données par les juristes en formation peuvent être variables, elles ne sont jamais certaines. Pour dire le droit, il faut avoir bénéficié d’une culture spécifique qui a été en général dégagée par les philosophes, qui a été enracinée

éloigné de la cité. Dans l'Agésilas il s'agit de l'éloge d'un individu et non plus d'une communauté dans son ensemble. C'est le signe de la faillite de la cité traditionnelle qui n'est plus le seul modèle attracteur. Ce regard sur la polis et sur Athènes, révèle des équilibres fragiles et une décadence – objective ou subjective ? – d'un type d'organisation politique. Platon, dont on ne considère 1. Voir Platon, République, V,473 a. 2. Platon, République, IX, 592 a b, trad. É. Chambry. 3. La justice

........................... 6 Chapitre 1 La place des Européens dans le peuplement de la Terre........................... 6 THÈME 2 L’invention de la citoyenneté dans le monde antique ..................10 Chapitre 2 Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècles av. J.-C.) ...............10 Chapitre 3 Citoyenneté et empire à Rome (Ier-IIIe siècle) ..................................................... 14 THÈME 3 Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du XIe au XIIIe siècle............

pas ceux de l'industrie culturelle ? A ce problème, devenu sociétal, Gustavo Giovannoni, une des figures majeures de l'urbanisme italien, apporte une réponse positive qui associe tradition urbaine et techniques de pointe. Réponse qui exige de repenser à la fois les rapports de l'urbanisme avec l'architecture et la formation des architectes. Réponse d'un grand anticipateur qui s'adresse aujourd'hui aux praticiens autant qu'à leurs partenaires dans l'aménagement du territoire, les élus et les citoyens

429 BC, Périclès mourut, annonçant ainsi une série de guerres dites Péloponnèse entre les cités grecques Athènes, Sparte et Corinthe. Les mœurs et les comportements changent radicalement. Platon va proposer une cité idéale orientée vers la vertu (science du bien et du mal ; ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire). Socrate dira dans la République « si notre cité a été bien organisée, on doit trouver en elle quatre vertus indispensables : sagesse, courage, discipline et justice » . Or ce

Dans la Grèce archaïque la loi n’était pas donne par les dieux mais inspiré à un grand législateur supérieur. Solon pour Athènes, et Lycurgue pour Spartes. Mais surtout les grecques la lois avait une importante supérieur car elle est l’œuvre des hommes et car elle se fonde sur leur consentement initial. La loi n’offre pas de garant divin. Dans la Grèce archaïque la loi à Athènes la loi n’est plus une loi révélée mais une loi née d’une convention humaine. Ce double héritage fut repris par le christianisme

eff et, d’après Cicéron dans ses Tusculanes, se référant à un disciple de Platon, Héraclide de Pont, que ce soit à Pythagore lui-même que l’on doive le nom de « philosophe ». Il utilisa ce terme, alors inconnu, pour défi nir sa profession, en réponse à la question du tyran Léon de Phlionte. À l’antique nom de « sage » (sophos), Pythagore ajoute l’idée d’amour : « Car tandis que les uns cherchent la gloire, et les autres les richesses, il y a une troisième espèce d’hommes, mais peu nombreuse