Rédaction Honte

de parole de plus en plus coupée, basée sur des sons toujours plus secs. Hippolyte est donc en proie à une évolution radicale de son statut d’origine. Le « prince » devient « déplorable », le « guerrier » est en proie au « désespoir » et à la honte, et son combat est perdu d’avance… Car il est désormais captif d’Aricie, qui a envahi l’ensemble de son existence : « Dans le fond des forêts votre image me suit ». Désormais donc, il peut l’avouer à Aricie : « Tout vous livre à l'envi le rebelle

qualités et de leur âge, la connaissance particulière qu'il avait de sa vertu et de l'inclination qu'elle avait eue pour le duc de Guise, et surtout ce qu'il devait à l'amitié et à la confiance du prince son mari. Le comte pensa mourir à ses pieds de honte et de douleur. Elle tâcha de le consoler en l'assurant qu'elle ne se souviendrait jamais de ce qu'il venait de lui dire, qu'elle ne se persuaderait jamais une chose qui lui était si désavantageuse et qu'elle ne le regarderait jamais que comme son meilleur

témoigner de l'extermination de Juifs durant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est différent dans Le liseur, c'est que l'auteur n'a pas peur de mettre en évidence les effets destructeurs de la Shoah sur la société allemande, tels le regret et la honte venant hanter le peuple. Dans plusieurs œuvres publiées en Allemagne, depuis 1945, la culpabilité est un thème souvent utilisé par les auteurs. Ce courant évoque souvent deux générations du peuple allemand : celle ayant participé à la Guerre de 1939-1945

Perdue dans l’ombre, ne se souciant de rien ni de personne, sa conscience se promenait dans les lieux les plus obscurs de sa pensée. Nue de tout mensonge ou de culpabilité, elle se promenait. Visitant ces secrets inavoués, ceux que l’on garde pour soit, ceux qui ne peuvent être répétés. A ce moment là, Kylie ne pensait plus à rien. Elle était peu fière de ce qu’elle faisait mais, elle y trouvait un réconfort que rien ni personne ne pourrait lui procurer. Ce n’était pas la première fois et surement

leurs génie (leurs grandes ailes blanches) les oppriment. « A peine… que » : horizontal = inadapté. Présent composé : csqces dans présent, immédiat. Assonance « eu » : lourd, longs mots. Chute vs aérien « honteux »/ « d’eux » : devraient avoir honte Strophe 3: L’albatros est renfermé sur lui-même, utilisé comme vulgaire passe temps afin que les marins (l’hupmanitée) puisse se distraire. Chp lex moquerie « miment, agacent, pour s’amuser ». sqces sur img oiseau : rabaissé, altérité img. Alitt

compliments allant jusqu’à l’égaliser à un Dieux ! « Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi, Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi. » (AII, S5, V638-9) C’est un choc pour Hippolyte qui croit d’abord avoir mal compris et a honte. Phèdre regrette tout de suite d’en avoir trop dit « Ah ! cruel, tu m’as trop entendue ! » (AII, S5, V671). Elle ne peut s’empêcher de continuer. Elle en est obsédé et se déteste pour cela. Elle lui explique que son amour est involontaire, qu’elle

s’exprime par un changement brutal de sentiments. En effet, elle passe de la gentillesse comme en témoigne l’adverbe « gentiment » à un état « saoule » auquel s’ajoute un sentiment honteux comme le démontre l’anaphore du nom « honte » dans la citation « c’est une honte, une honte ». Enfin, la suite de phrases interrogatives à la fin de l’extrait comme « Qu’avait donc fait Suzanne en lui montrant la bague » ou encore la répétition des outils interrogatifs comme « quel » montrent clairement une gradation

bruits du tonnerre des canons et le train diminue de plus en plus sa vitesse. Cette ambiance rend jean apeuré ; il se dit qu’il a fait ses études d’aviateur juste pour se vanter. Le lendemain matin, c’est l’ordonnance qui vient le réveiller. Jean a honte car il se réveille tard et peu de temps après c’est un jeune homme qui vient le retrouver dans sa chambre. Jean,croyant que ce n’est qu’un sous-officier , lui parle sans aucun respect mais c’est son capitaine. Heureusement, il ne le prend pas mal

a donc la honte d’être offensé et de ne pouvoir se venger, car il est vieux et impuissant. Alors, il faudra que son fils fasse cela à sa place. Toute la scène 4 décrit le désespoir de don Diègue, et Corneille offre un monologue très suggestif du vieillard qui regrette sa gloire d’autrefois et son impossibilité de lutter encore pour défendre son honneur. Par conséquent, il invite son fils Rodrigue à le venger s’il a « du cœur » (Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte /.../ Meurs

tristesse muette des choses (Zola, Germinal, 1885, p. 1326).Maisonnettes mal construites, baraques en planches, (...) domaine des pauvres hères que ballottent les remous d'une vie sans discipline, voilà la banlieue! Sa laideur et sa tristesse sont la honte de la ville qu'elle entoure (Le Corbusier, Charte Ath., 1957, p. 26). − Rare. [Corresp. à triste B 1] Une tristesse absurde pesait sur les choses (Bernanos, Joie, 1929, p. 635).