Récits Fictifs

notre nation, de notre monde détienne aujourd'hui le vrai de ce qu’ils ont vécu. Certains d'entre eux ressentent aujourd'hui le poids des années retomber, leurs souvenirs s'éparpiller, et la vie qu'ils avaient vécue devenir incertitude, récit parfois même fictif. Discussion C'est Alzheimer dont je vous parle mes chers collègues. C'est cette maladie qui, en somme, n'est que la manifestation physique de l'effacement de la mémoire par le temps. Ne pensons pas non plus que ce qui ne sont pas atteints

“ roman ” désigne une langue, d'ailleurs non uniforme mais faite de plusieurs dialectes (normand, picard...) qu'on parlait dans le Nord de la France au c?ur du Moyen Âge, au XIIe siècle. Par extension, à la même époque, le nom est aussi donné aux récits composés dans cette langue populaire, pour mieux les opposer aux ouvrages en latin, qui est alors la langue savante, traditionnellement réservée à l'écriture. Ainsi le genre romanesque naît presque en même temps que la littérature en langue française

quotidienne d’individus en société ou le naturalisme qui lui se permet d’ajouter une forme de moral par rapport aux différents milieux sociaux et au monde du travail. Mais encore le surréalisme qui ouvre une vision différentes par des récits fantastiques et fictifs. Tout ceci amène à développer à travers diverses œuvres à répondre à la question suivante : les œuvres littéraires doivent-elles nous dépayser ? S’il est vrai que certaines œuvres nous dépaysent d’autres au contraire exposent uniquement

b) On sait que l’argumentation est un moyen de convaincre, de persuader. Lorsqu’elle est indirecte, elle a l’avantage d’attirer plus facilement l’attention du lecteur et de le divertir grâce à des récits distrayants. La compréhension est plus facile car les textes sont simples. De plus, les récits ont un caractère plaisant qui permet d’amuser le lecteur qui veut connaître la suite de l’histoire. Ils sont accessibles à un plus grand nombre. L’argumentation indirecte autorise l’auteur à faire passer

ou une communauté. Interroger les mythes, c’est s’intéresser aux héros et aux récits qui fondent une identité collective. Le caractère universel du mythe permet de mettre en évidence la façon particulière dont chaque aire culturelle interprète l’expérience humaine et construit des œuvres pour l’exprimer. Chaque époque emprunte et réactualise certains mythes ou en crée de nouveaux. Le héros peut être un personnage fictif ou réel qui a marqué la tradition, l’histoire, la vie quotidienne. La culture

L'argumentation indirecte vise comme l'argumentation directe mais elle ne prend pas la voie directe elle passe par des récits fictifs divertissent ,plaisent comme l'apologue. L'apologue est un discours narratif démonstratif a visée argumentatif indirecte,rédigé en vers ou en prose qui renferme des enseignements,dont on tire une morale pratique. Il existe plusieurs formes d'apologues comme la fable,le fabliau,la parabole,le conte philosophe,l'utopie... . L'analogue est une forme d'argumentation indirecte

la publication ou non de son ouvrage intitulé Democrates alter, ou des Justes Causes de la guerre dans lequel il justifie les massacres menés par les Espagnols en Amérique. b) Caractéristiques des récits historiques Le récit que Jean-Claude Carrière publia en 1992 appartient au genre du récit historique. Il en va de même pour la pièce parue 7 années plus tard. Pourtant les deux œuvres n’appartiennent pas au même genre et sont donc très différentes. Dans les deux cas on assiste à un évènement

non-fondés. Illusion romanesque = récit imaginaire donc divertissant. récit ayant pour but un simple divertissement pour le lecteur, qui sait que ce qu’il lit est purement imaginaire. L’analyse est laissée au lecteur qui devine, reconstruit le personnage (à partir de ses actes, de son langage, de ses dialogues…) romans où les personnages sont stéréotypés : aisément identifiables pour le lecteur  le lecteur sait que ce genre de récit est fictif. Personnages sans grande

Un apologue désigne, en grec ancien, un récit ; puis il prend le sens de récit à portée moralisatrice : il est en effet accompagné d’une moralité. Pour Théon, rhéteur du IIè siècle, l’apologue est « une histoire fictive donnant l’image d’une vérité ». Pour Aristote, l’ « exemple » est un moyen de persuader l’auditeur : « il y a deux espèces d’exemples : l’une consiste à citer des faits antérieurs, une autre à en inventer soi-même. Il faut distinguer d’une part la parabole, d’autre part, les fables

renvoie à des récits de vie ou de tranches de vie, donc à des passages narratifs ; cela peut donc faire référence à l’autobiographie (s’il s’agit de la vie vécue par l’auteur), mais aussi aux apologues (voir sujet 33, document A, la fable de La Fontaine) et à tout genre qui comporte une histoire (roman, voir sujet 33, document D, l’extrait de Germinal). Il peut donc s’agir de « l’expérience vécue » par l’auteur, par des personnes ayant réellement existé ou par des personnages fictifs ; « force d’une