Récit De La Mort D Hippolyte

quotidien des ouvriers trouve également ses sources dans le roman et dans l’histoire. Ainsi, Germinal dresse un portrait éclairant de la vie d’un mineur, de ses conditions de subsistance et des caractéristiques socioéconomiques de sa classe sociale. Le récit met tout particulièrement en évidence la dépendance de l’ouvrier envers l’entreprise. Le logement et le chauffage sont fournis contre loyer par l’employeur qui est également le décideur unilatéral des conditions salariales. La nature du rapport social

maître de conférences à l’université de Paris III-Sorbonne Nouvelle Fiche 1 : La scène d’exposition d’une tragédie Fiche 2 : L’aveu de Phèdre à Oenone Fiche 3 : Autour de l’œuvre Fiche 4 : D’un texte à l’autre Fiche 5 : L’aveu de Phèdre à Hippolyte Fiche 6 : Du texte à l’image p.2 p.3 p.4 p.5 p.6 p.7 Introduction : parcours pédagogique La tragédie de Racine, Phèdre, s’intègre aux nouveaux programmes du lycée : • en seconde, le théâtre est l’un des objets d’étude qui doit permettre

vous le renvoie ; Et l'avare Achéron ne lâche point sa proie. {text:soft-page-break} Que dis-je ? Il n'est point mort, puisqu'il respire en vous. Toujours devant mes yeux je crois voir mon époux : Je le vois, je lui parle ; et mon cœur... je m'égare, Seigneur ; ma folle ardeur malgré moi se déclare. HIPPOLYTE Je vois de votre amour l'effet prodigieux : Tout mort qu'il est, Thésée est présent à vos yeux ; Toujours de son amour votre âme est embrasée. PHÈDRE Oui, prince

parabole ? 1. Un récit didactique a. Simplicité * Peu de personnages => 3 * Stéréotypés => aucuns indices de temps, pas de noms, pas de descriptions * Cadre spatio-temporel très vague : « pays éloigné » ; « là » b. Vivacité * Passé simple : enchaînement d’actions rapides * Bcp d’actions ne peut de temps dans le 1er paragraphe * Alternance du récit et du dialogue * Présent + impératif => lecteur impliqué c. Récit du quotidien * Référence

et maître de conférences à l’université de Paris III-Sorbonne Nouvelle Fiche 1 : La scène d’exposition d’une tragédie Fiche 2 : L’aveu de Phèdre à Oenone Fiche 3 : Autour de l’œuvre Fiche 4 : D’un texte à l’autre Fiche 5 : L’aveu de Phèdre à Hippolyte Fiche 6 : Du texte à l’image p.2 p.3 p.4 p.5 p.6 p.7 Introduction : parcours pédagogique La tragédie de Racine, Phèdre, s’intègre aux nouveaux programmes du lycée : • en seconde, le théâtre est l’un des objets d’étude qui doit permettre aux

déclara ons d’un homme déjà mort. L1-L7 2) Les dangers de prendre la parole. L8-L17 3) Le basculement dans la parole. L18-L28 4) Les mécanismes de l’illusion. L29-L36 EL 2 : Phèdre, IV,2 Racine (1677) Probléma que : En quoi l’aveuglement de Thésée est-il tragique ? Mouvements : 1)Réputa on d’un fils condamné par avance. L1-L9 2)Ordre d’exil pour son fils. L10-21 3)Demande à Neptune de sacrifier son fils. L22-L33 4)Incompréhension de la situa on pour Hippolyte. L34-37 EL 3 : Par e 1, Scène

viennent d’apprendre que Thésée est mort. C’est l’un des aveux les plus envoûtants et les plus tragiques de la pièce. C’est le moment où Phèdre tente de vivre son amour en confondant Hippolyte et Thésée. Par le mécanisme du fantasme, elle récrit l’aventure du minotaure et par une série de glissements successifs, elle remplace Thésée par Hippolyte et Ariane par elle-même. Problématique : cette tirade constitue l’aveu indirect de Phèdre de son amour pour Hippolyte. D’abord voilé, cet aveu devient de

ACTE PREMIER - SCÈNE I La scène représente un appartement du palais de Thésée, dans Athènes. THÉSÉE, HIPPOLYTE, PHILOSTRATE, suite. THÉSÉE.—Belle Hippolyte, l'heure de notre hymen s'avance à grands pas : quatre jours fortunés amèneront une lune nouvelle ; mais que l'ancienne me semble lente à décroître ! Elle retarde l'objet de mes désirs, comme une marâtre, ou une douairière, qui puise longtemps dans les revenus du jeune héritier. [Les personnages d'Oberon et de Titania étaient connus avant

livres et ont les mêmes passions) ; ce lieu se retrouve de manière paronymique dans le titre de l’opéra qu’Emma et Charles viennent voir à Rouen, Lucie de Lammermoor (et dans « Lammermoor », il y a un « emma » inversé, de même que « l’amer » et la « mort » ou « l’amour »). L’opéra de Donizetti est l’adaptation d’un roman de Walter Scott, La Fiancée de Lammermoor (The Bride of Lammermoor). Léon est donc bien, pour Emma, du moins au début de leurs deux épisodes, un être romanesque, à la beauté farouche

théâtre du dramaturge Euripide. L'extrait que nous étudierons est le dénouement ultime de l’œuvre, caractérisé par la mort de l'héroïne, Phèdre. En quoi cette scène (de dénoument) est elle spectaculaire ? Dans un premier temps, nous étudierons la présence d'un double-aveu effectué par Phèdre, puis nous nous pencherons sur le cadre tragique offert par la scène dans l'omniprésence de la mort qui enveloppe la scène. I. Une scène de double-aveu ⟡ A. Révélation des sentiments incestueux de Phèdre ①