Récit D Expérience

Valeurs du présent: Quand est-il utilisé ? Présent de narration: On l’utilise pour raconter un fait passé à la place du passé simple. Le récit est ainsi plus vivant car le lecteur a l’illusion d’assister en direct à une scène qui s’est déroulée dans le passé. Présent de vérité générale: On l’utilise dans les proverbes, les lois scientifiques ou pour exprimer un fait, une réflexion considérés comme vrais dans toutes les époques. Présent d’énonciation: L’auteur ou le narrateur

Le texte que nous allons étudier est un extrait de New York écrit par Paul Morand en 1930. Il s'agit d'un récit de voyage ou l'auteur décrit deux monuments New Yorkais : le port de Brooklyn et le W.B. Paul Morand est un écrivain diplomate de la 1 ère moitié du XXe siècle, romancier, journaliste, il a écrit de nombreux récits de voyages en fonction des lieux qu'il visitait. Dans le premier passage Paul Morand fait une description vivante et précise du pont de Brooklyn et dans le deuxième, il fait

René de chateaubriand Thèmes abordés: La solitude, le mal-être qu’elle engendre : Pendant tout son récit, René n’est pas bien dans sa peau. Il est peu ordinaire et rejette les autres. Au départ, il vit bien sa solitude, puis voyage pour combler un manque qu’il n’identifie pas totalement. L’amour fraternel : Amélie, la sœur de René, est la seule personne qui soit proche de lui. René se sent bien avec elle, et tout le livre tourne autour de leurs relations, qui, selon qu’elles s’améliorent où

(les thèses sont explicites, clairement exprimées) ou indirecte (les thèses sont soutenues indirectement, souvent par l’intermédiaire d’un récit). Il existe deux formes d’argumentation indirecte : la fable et le conte philosophe. Ces deux formes sont une manière indirecte de faire comprendre un message au lecteur. A) L’apologue L’apologue est un récit allégorique, une histoire en vers ou en prose qui met en scène des animaux, des végétaux, des humains ou même des notions (la mort) et dont

d’un bref récit imagé qui facilite la compréhension du lecteur et entraîne son adhésion. Au-delà du plaisir du récit, l’apologue offre ainsi au lecteur l’occasion de réfléchir et de mieux connaître les hommes. On peut donc se demander, comme Cazotte, si les apologues sont « des inventions qui permettent de voir le monde tel qu’il est ». Sont-ils le reflet de la société ? Quels sont leurs limites ? Les apologues sont-ils aptes à représenter le monde tel qu’il est ? L’apologue, petit récit à visée

personnage. En second lieu, nous pouvons observer que le narrateur a des qualités de conteur. Nous observons que le récit a un certain humour démontré par l’ironie du jugement des parisiens que être Persan est « une chose bien extraordinaire ! » même s’ils ne savent pas ce que cela dire et se demandent juste après « Comment peut-on être Persan ? ». Nous voyons aussi qu’il fait un récit en se moquant de lui-même, donc la célébrité ne le rend pas orgueilleux ce qui sert à exprimer le fait qu’il montre

Almaviva, qu’il trouve égoïste et arrogant. Je vais montrer comment le récit des mésaventures de Figaro lui permet de faire cette critique sociale et de dénoncer la domination d’une classe. Je préciserai la pertinence de ses arguments, quel est le message véhiculé et montrerai que Figaro est un personnage qui mène une réflexion philosophique. Figaro montre par le récit de ses aventures qu’il peut juger la société de par ses expériences. Percevons tout d’abord la profonde injustice ressentie par ce

Bardamu refuse et rentre en France, le coeur gonflé et meurtri par toutes ces expériences. Il étudie la médecine et ouvre un cabinet à Rancy. Les difficultés financières auxquelles il se heurte, le misérabilisme, la cupidité et la mesquinerie de ses patients font que Bardamu reste encore et toujours confronté au spectacle quotidien de la mort. Le décès du jeune Bébert, un patient de Bardamu, est vécu comme une expérience très douloureuse. La recherche médicale accentue encore cette injustice puisqu'elle

fiche Perec Fiche de lecture de W ou le Souvenir d’enfance de Georges Perec : W ou le souvenir d’enfance, est un récit autobiographique écrit par Georges Perec et publié en 1975 ( le «je» narrant correspond au «je» narré). Georges Perec, au sein de son incipit affirme in medias res «je n’ai pas de souvenir d’enfance». Ainsi l’auteur tentera de manière méthodique voire archiviste, de faire ressurgir ses souvenirs à travers des photos qu’il commentera. Le texte se caractérise par sa particularité

réussi à se faire à cette nouvelle vie. On pourrait presque penser qu’il ne voudrait retrouver sa vie passée pour rien au monde. Il est très actif sur l’île et participe à de nombreux projets (ex :élaboration d’un virus contre le JL3). A la fin du récit, Roland aux côté de Jeanne, son grand amour retrouvé, succombe à la suite de l’explosion de l’îlot 307. Pour une éternité qui n’est cependant pas la même qu’offrait je JL3, Roland et Jeanne seront, à partir de ce moment, toujours réunis. Shri Bahanda :