Réanimation Tfe

UE 4.2 : Analyse d’une situation relationnelle J’effectue mon premier stage de 3ème année dans le service de réanimation médicale d’un hôpital de l’AP-HP (Saint Antoine, dans le 12ème arrondissement). Ce service a une capacité d’accueil de 18 patients, répartis en 3 secteurs, où chaque infirmier a 3 patients à charge. La scène que je m’apprête à décrire se déroule lors de ma 4ème semaine de stage, où je travaillais de jour avec mon infirmier tuteur. Je l’ai choisie car l’équipe et moi-même

Madame D, 65 ans est admise le matin très tôt dans le service de réanimation suite à un Accident Vasculaire Cérébral Hémorragique, son pronostic vital est engagé. A son arrivée Madame D est inconsciente, intubé et ventilé sous respirateur, ses pupilles sont aréactives et ne répond à aucun stimuli (Glascow à 3). Quelques heures après son arrivée dans le service un EEG est réalisé laissant présager un mauvais pronostic. Quelques heures après l’hospitalisation de Madame D, un des 3 enfants de la

Réanimation (2014) 23:37-47 DOI 10.1007/s13546-013-0829-x MISE AU POINT / UPDATE DOSSIER Approche diagnostique de l’échec de l’épreuve de ventilation spontanée au cours du processus de sevrage de la ventilation mécanique Diagnostic approach to the failure of spontaneous breathing trial during mechanical ventilation weaning process M. Dres · L. Guerin · C. Richard Reçu le 29 août 2013 ; accepté le 25 novembre 2013 © SRLF et Springer-Verlag France 2013 Résumé Au cours du processus

trop froid n'a aucun intérêt et créé des bouchons muqueux. De la même manière, des pressions trop fortes pourront faire éclater les alvéoles. -Encombrement bronchique. -Complications infectieuses : l'infection est la 1ère cause de décès en réanimation d'où la nécessité de respecter une hygiène et une asepsie rigoureuse. 3) Actions IDE : -Anticiper la préparation des médicaments d'urgence. -Aspirations trachéales rapides et atraumatiques car le patient se trouve en apnée pendant ce temps

cérébral : lentille biconvexe, hyperdense spontanément Prise en charge : urgence neurochirurgicale transfert rapide vers neurochirurgie craniotomie de décompression évacuation de l’hématome coagulation de la lésion vasculaire Hospitalisation en réanimation neurochirurgicale pour surveillance de l’évolution L’hématome sous dural . Accumulation ce sang entre la dure mère et l’arachnoide . Intervalle libre plus court voire inexistant . Mortalité plus élevé que l’HED . Scanner cérébral : hyperdensité

12 à 14 cm H2O, le patient est extubable +/- PEP Modes spécifiques : BiPAP : mode ventilatoire spécifique aux respirateurs Dräeger de réanimation Bi car 2 pressions sont réglées, la pression maximale et la PEP. C’est une PAC, où le patient peut être aidé d’une AI sur ses cycles spontanés. VCRP : mode ventilatoire spécifique aux respirateurs Siemens de réanimation C’est une VC où le respirateur va adapter sa façon de délivrer les volumes afin que ceux-ci engendrent le moins de pression possible au

Avant le commencement de l’intervention chirurgicale : « infirmiers du bloc opératoire » b- Pendant l’opération : « infirmiers du bloc opératoire » c- Après l’opération : Le patient est généralement transporté en salle de réveil, ou en salle de réanimation ; Le patient est généralement placé en position Décubitus Latéral Sans oreiller (dite aussi Position latérale de sécurité), cette position évite l’obstruction des voies aériennes et facilitent l’écoulement du mucus ou de la vomissure. Les patients

tumeur et l annonce par les médecins de son opération et la convalescence de son mari. Ce qui m’a interpellée dans son récit c’est comment il vivait , plongé dans le coma , les actes médicaux , les ponctions , les toilettes, tous le quotidien de réanimation et surtout comment finalement il interprétait les actes . Une autre partie de son récit est consacré a sa « rééducation », les personnes qu ‘il a rencontrer ,les psychologue, et surtout un psychanalyste et un amérindien et la rencontre avec le chirurgien

l’élaboration de protocoles couvrants ces situations. Il rédige un compte rendu de son  intervention destiné au cadre d’anesthésie et au chef de service et tient informé les médecins  de l’unité.      ● L'infirmier anesthésiste et service d’urgence (Service mobile d’urgence et de  réanimation SMUR)    De par sa formation théorique et pratique, l’infirmier anesthésiste acquiert les connaissances et  la maîtrise des gestes d’urgence et survie.  Il participe à l’accueil hospitalier des urgences en assurant des permanences sur place ou par 

pulmonaire), médecine 2 polyvalente (orientation gastro-entérologie et endocrinologie), unité de soins intensifs, chirurgie polyvalente. - les services d’accueil des urgences : service des urgences, le SMUR (service mobile d’urgence et de réanimation). Les éléments de sécurité dans la structure sont : - des boutons d’alarmes incendie - des déclencheurs manuels de désenfumage - des extincteurs portatifs - des ouvertures de sortie de secours