Réalisme Symbolisme De Baudelaire

fin de la seconde Empire (1860-1890). C’est un renforcement du réalisme : le romancier vérifie expérimentalement dans ses romans le rôle des déterminismes sociaux, de l’hérédité sur l’individu et le groupe. Rôle du physiologique, des tares; monde de la misère qui est né de la révolution industrielle. On le reconnait grâce aux : description, la focalisation externe, le discours indirect libre. Ce mouvement littéraire est proches réalisme. Emile Zola : (1840-1902). On peut dire qu’il est le chef du

drapeau, montrer la violence des événements et la bravoure du peuple français. 2) Le radeau de la méduse : Géricault Il peint pour exprimer la condition humaine entre la vie et la mort, scène horrible, .... Victor Hugo : Claude Gueux et le Réalisme 19ième siècle à Clair vaux Thèmes réalistes : 1) La pauvreté => R.I. : - usines et pays riches et puissants - ouvriers pauvres et conditions mauvaises => nouvelle classe sociale (le prolétariat) 2) La prison

romantisme. Ses grandes tendances sont le lyrisme, l’amour de la nature, l’exaltation des passions et le goût de la couleur locale. Ce courant s’oppose au rationalisme et au classicisme. . Stendhal, Vigny, Balzac, Hugo, Nerval, Musset … - réalisme. Réaction contre le sentimentalisme romantique en s’inspirant des méthodes de la science pour s’en tenir rigoureusement à l’étude et à la description des faits. . Flaubert … - naturalisme. Théorie suivant laquelle l’art ne doit être

sont développés. On comptera ainsi du point de vue littéraire le romantisme, le réalisme ou le naturalisme. Ces deux derniers sont souvent mis en relation avec la peinture et l’impressionnisme à cause des liens entre peintres et auteurs de ces mouvements mais surtout à cause de l’effort descriptif associé à ses mouvements qui crée une image aussi précise que celle d’une peinture. On a pu observer que le réalisme et le naturalisme étaient basés sur une forte abondance lexicale et sur une focalisation

il n’y a donc plus besoin de mécènes, les écrivains peuvent donc vivre de leur plume. Ils ne sont plus contraints de confondre leur pensée et les aspirations de la classe dominante. -Le réalisme : l’école réaliste commence dans les années 1850, c’est à ce moment que Champfleury (il dira en parlant du réalisme : reproduction exacte, complète, sincère du milieu où l’on vit, parce qu’une telle direction d’étude est justifiée par la raison) en amorce la théorie et en 1857, on voit apparaître Mme Bovary

Nerval, Les Filles du feu (1854). Le réalisme Écrivains représentatifs Genre littéraire dominant (roman) il a pour objectif de décrire Stendhal (1783-1842) Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830) la société dans sa dimension Balzac

BAUDELAIRE (Charles) 1821-1867 Prise de vue Voyou, voyant ou voyeur : Baudelaire résiste aux attaques du substitut Pinard, à l’esprit prophétique dont le gonfle Rimbaud, nouvel évangéliste, au nœud de complexes où essaie de l’étrangler Jean-Paul Sartre, son « semblable », son « frère ». Mais il doit triompher d’autres pièges : la biographie, l’esthétisme, l’histoire, pour retrouver son visage. On ne tente pas d’expliquer Il Giorno par les multiples

amateurs du monde de l'art. », en tout douze personnages, les amis « élus » du peintre : Au premier plan, Charles Baudelaire, lisant assis sur une table ; il symbolise la poésie. À ses côtés un couple bourgeois visitant l’atelier, ce sont donc des amateurs mondains. . À leurs pieds, leur enfant qui lit, c’est l’enfance studieuse. Ce tableau est un manifeste du réalisme ... du symbolisme de Courbet ! |

Charles Baudelaire Biographie :  Jean-Pierre Richard, « Profondeur de Baudelaire », in Poésie et profondeur, Le Seuil, 1955.  Yves Bonnefoy, « Les Fleurs du mal », in L'Improbable et autres essais, Mercure de France, 1959.  Yves Bonnefoy, « Baudelaire contre Rubens », in Le Nuage rouge et autres essais, Mercure de France, 1977.  Yves Bonnefoy, « Baudelaire », in Lieux et destins de l'image, Seuil, La librairie du XXe siècle, 1999.  Hugo Friedrich, « Baudelaire, le poète de la

« L’Albatros » de Charles Baudelaire dans  Les Fleurs du Mal  Plusieurs anecdotes ou souvenirs ont pu contribués à la composition de « L’Albatros » : souvenir d’une scène de mer lors de son voyage à La Réunion en 1841, réminiscence littéraire de la vie de l’équipage décrite dans Les Aventures d’Arthur Gordon Pym d’Edgar Poe, influence de Honfleur où vivait Baudelaire lorsque le poème fut écrit. Cependant le poème trouve avant tout sa source dans le malaise de l’écrivain, dans les difficultés propres