Ruy Blas Et Dom Juan

Célimène. Aussi la répartition du texte et de l’action reste la même les actes et les scènes se succèdent toujours de la même façon et lorsqu’un acte se porte tout particulièrement sur un personnage comme l’acte 2, Célimène du Misanthrope ou l’acte 2 de Ruy Blas intitulé La reine où les mises en scènes savent mettre en avant les personnages éponymes. Vient alors la trame principale à laquelle quelques intrigues subsidiaires viennent se mêler, ici le metteur en scène se doit de suivre puisque les éléments

au décor fastueux. La « Toison d’or » signale et symbolise sa toute-puissance. Le noir de son costume est à l’image de son âme de traître, mais son « riche manteau » traduit sa dissimulation. Gudiel, son âme damnée, est à l’unisson (« en noir »). Ruy Blas, lui, se distingue d’eux par son habit de laquais, marque manifeste et sans équivoque de sa condition sociale, et par sa « tête nue ». Dans la scène de Beckett, la « chaussure » d’Estragon est un élément indispensable de la scène, autour duquel tournent

pour frapper l’imagination des spectateurs. Il faut étonner, surprendre et même terrifier non seulement Dom Juan, le pécheur endurci, mais aussi le spectateur qui a ri jusque là des provocations du héros éponyme contre le Ciel. Il faut absolument que la fin de la pièce soit morale, et Molière choisit les grands moyens. Il mobilise des figures venues d’un au-delà auquel ne croit guère Dom Juan («Spectre, fantôme, ou Diable, je veux voir ce que c'est. ») Nous avons un spectre, capable de se transformer

comédie-ballet plus précisément, représentée en 1673, et de Dom Juan ou le festin de pierre, (1665) ; ces trois pièces de théâtre offrent donc une synchronie, ayant été écrite au siècle dit « classique ». La troisième, quant à elle, se nomme drame romantique, dans la mesure où Victor Hugo en composant sa pièce en 1838, entend rompre avec les règles classiques édictées par Nicolas Boileau dans son Art poétique, mêlant ainsi dans son œuvre éponyme Ruy Blas la comédie, la tragédie, et le drame, y associant

auteurs ainsi que des extraits qui me plais particulièrement. Pour mon anthologie, je parle du baroque où je fais la présentation de Pierre Corneille où j’ai choisi de présenté comme extrait l’illusion comique et de Molière avec pour extrait, Don Juan. Ensuite, j’ai choisi Victor Hugo qui est quand même et qui restera l’homme qui incarna le mieux le romantisme du XIXème siècle. Puis, j’ai présenté un extrait du malentendu d’Albert Camus. Et enfin, il y aura en ce qui concerne les romanciers

représentation » Problématique : Comment porter sur scène la révolution romantique ? Lectures analytiques : L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition L.A. n°2 (Acte II, scène 2) : le monologue de la reine L.A. n°3 (Acte III, scène 2) : la tirade de Ruy Blas, de « Bon appétit, messieurs – ô ministres intègres ! » jusqu'à « Babel est dans Madrid. » L.A. n°4 (Acte IV, scène 2) : Don César ou l'intermède burlesque L.A. n°5 (Acte V, scène 4) : le dénouement. Documents complémentaires : Art poétique, Nicolas

par les didascalies. Parfois le ton de voix est également suggéré, ou l'état d'esprit du personnage, comme c'est le cas dans le texte de Ionesco. les drames romantiques du 19ème siècle multiplient les indications sur le décor, les costumes. Dans "Ruy Blas", on constate aussi une prolifération des didascalies, loin d'être gratuite puisque le spectateur doit être plongé dans l'Espagne du 17ème siècle. Quand on a un prologue, comme celui d'"Antigone", il peut nous décrire les personnages, leur

étudié sont tirés de l’œuvre Dom-Juan, qu’il a écrit en quinze jours après avoir subit la censure de Tartuffe sous le règne de Louis XIV, dans ces scènes ont assiste à la fin tragique de Dom-Juan un séducteur immoral et les efforts de Sganarelle son valet qui fait tout pour le raisonner. Comment l’auteur, dans ces scènes nous décrit-t-il une progression dramatique et un dénouement baroque ? Tout d’abord, l’étude porteras sur les avertissements multiples qu’a reçu Dom-juan et son obstination, puis la

s'exile à Hambourg où il vit dans la misère. Il décède à Paris en 1799. C'est en 1984 qu'a lieu la représentation de l'Epoux Suborneur. Le texte étudié est la première scène de la pièce qui met en scène Figaro et Suzanne (Prob + Annonce du plan) Ruy Blas Victor Hugo, auteur, poète et dramaturge français est le fils d'un général. Il a été donc éduquée par sa mère. Lorsqu'il est encore élève au lycée Louis Le Grand, il se fait connaitre pour sa première œuvre Odes et obtient une pension de Louis

visible. Le lieu n'est pas le lieu Au théâtre, le lieu est illusion : le spectateur admet que la scène présente comme réel un lieu en réalité factice et que les deux cents mètres carrés de la scène représentent une forêt dans le deuxième acte de Dom Juan, un champ de bataille dans Cyrano de Bergerac. Un décor de carton Victor Hugo, dramaturge lui-même, explique très concrètement : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des