Ruy Blas Et Dom Juan

énormément influencé les générations futurs. En son temps Hugo était grandement apprécié par le peuple grâce à ses œuvres à succès, « Notre-Dame de Paris (1831), Les Misérables (1862) » ou bien encore, au théâtre « Cromwell en 1827, Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838 ». Hugo était un engagé politique notamment grâce à ses idées contre la peine de mort «Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890 ». Ses différentes prise de positions le forceront à l’exil pendant 20 ans. Néanmoins durant la

et Le Mariage de Figaro, Jacques le fataliste, Ruy Blas, Mademoiselle Julie, Maître Puntila et son valet Matti, Les Bonnes, En attendant Godot et Fin de partie. « Le rapport maître / valet dans la comédie ou le renversement des valeurs » (l’étude porte sur le rôle du maître et celui du valet, la mise en place de l’inversion, et ses conséquences) : Comédies du XVIIe et du XVIIIe siècles, où le rapport maître / valet est remis en question : Dom Juan (III, 1), Le Malade imaginaire (III, 10), L’Île

d’un personnage sur les autres est tout d’abord lisible dans l’énonciation : * Apostrophe / appellatifs : « Seigneur » > Andromaque appelant Pyrrhus OU Trivelin appelant Arlequin (« Seigneur Arlequin ») * Vouvoiement / tutoiement : Dom Juan et Sganarelle * Volume des répliques : le personnage qui domine la scène est généralement celui qui parle le plus > La Leçon. * Utilisation des registres polémique, épique et ironique : Dans Andromaque, utilisation du registre épique par

tragédies de Shakespeare par exemple) sont supplantés par l’opéra qui regroupe tous les arts en un tout unifié. Plusieurs auteurs écrivent des pièces de théâtre durant la période baroque tels que Corneille (Comédies, L'Illusion comique) et Molière (Dom Juan ou le Festin de pierre) en France ; Shakespeare (Roméo et Juliette) en Angleterre ; Tirso de Molina (Marthe la dévote, comédie ; le Trompeur de Séville, drame historique) et Lope de Vega (l’Etoile de Séville, Aimer sans savoir qui, comédies) ou Calderon

- comédie 5.2 Les différents types de comique et de comédie 6 Repères historiques 6.1 Le théâtre dans la littérature française 7 Bilan 8 Voir aussi La spécificité du théâtre[modifier] Sarah Bernhardt dans le rôle de Doña Maria dans Ruy Blas (1897).Au théâtre, il y a un intermédiaire entre le texte écrit par l’auteur et le spectateur : le comédien dit et joue le texte, il l’interprète au sens fort, guidé souvent par un metteur en scène, c’est-à-dire qu’il permet et oriente la compréhension

théâtral et ses représentations du XVII°S à nos jours. Séquence n°3 : œuvre complète : Dom Juan ou le Festin de Pierre, Molière, 1665 OBJET D’ETUDE, PERSPECTIVES ET ORIENTATIONS PRINCIPALES : =>contexte historique, religieux et culturel du XVII°S : la portée politique du théâtre de Molière. => les mises en scènes de Dom Juan : comment interprètent-elles le mythe ? Problématique : le personnage de Don Juan est-il un simple révolté contre la société ou un héros tragique en quête d’absolu 

toutes. En effet, on peut s’appuyer sur l’histoire de Dom Juan dans la pièce du même nom de Molière, où le personnage principal subit nombre de péripéties, puis meurt à la fin du livre. Ce sont des faits que le metteur en scène ne pourra pas modifier lors de la représentation, il s’agit en effet de la trame de l’histoire, de l’intrigue. Les événements globaux seront compris d’une manière unique, on peut ainsi s’appuyer sur la scène ou Dom Juan tente de « séduire » l’ermite : quelle que soit l’interprétation

selon le metteur en scène, présente une vision de l’histoire différente. Par exemple, pour Dom Juan de Molière, certain metteurs en scène insisteront sur l’aspect comique, d’autres sur le tragique. De plus, voir la pièce apporte des plus. La parole définit le personnage. Le monologue permet au personnage d’exprimer ses sentiments, pensées les plus intimes. Par exemple, à la scène 4 de l’acte III, dans Ruy Blas de Victor Hugo, le personnage éponyme dévoile son amour pour la reine. Aussi, nous pouvons

vient au théâtre pour « se regarder lui-même ». Victor Hugo, qui exprime sa pensée dans la préface de Ruy Blas, estime qu’il existe trois types de spectateurs qui se rendent dans ce lieu pour différentes raisons : « la foule demande des sensations ; la femme, des émotions; le penseur, des méditations ». Pour sa part, le critique Michel Cournot écrit à propos d’une récente mise en scène de Dom Juan : « Nous n’allons pas au théâtre en inspecteurs, en contrôleurs. Nous allons au théâtre pour penser,

l'atmosphère] Le comique permet notamment de détendre l'atmosphère, d'atténuer la portée de certaines audaces. Dans Dom Juan de Molière, Sganarelle, le valet de Dom Juan, par ses commentaires ridicules, ses maladresses, ses chutes bouffonnes, nuance le caractère choquant et provocateur des professions de foi libertines de son maître. C'est lui qui a le mot de la fin: alors que Dom Juan vient d'être englouti par l'Enfer en châtiment de ses crimes, Sganarelle réclame pitoyablement le salaire qui lui