Ruban d'argent de la meilleure actrice

des Italiens de Camille Pissarro (1830-1903) Honfleur ou l’Embouchure 877), Seine (vers 1841), huile de la 43,5 x 65 sur toile, cm Arts, Lille). (palais des Beaux- ans l’encad rement des à droite et côtes vertes, à gauche s’abaissant d’un bleu d’argent sous , un grand triangle d’eau, loin, et une le voile, à peine soleil, apparaissait insecte là-bas. au visible, avait l’air d’un Guy de Maupas sant, Pierre et Jean (1888). D 94635_RB _CHAP2_4 2-47.indd 42 1. Identifiez les des deux

rêveuse Attention! Les adjectifs suivants terminés en eur suivent la règle générale et prennent simplement un e au féminin. Ex. : antérieur = antérieure extérieur = extérieure inférieur = inférieure intérieur = intérieure majeur = majeure meilleur = meilleure mineur = mineure postérieur = postérieure supérieur = supérieure Exceptions : Les adjectifs vengeur et pécheur font au féminin, vengeresse et pécheresse. Notion : Beaucoup d’adjectifs qualificatifs terminés en teur au masculin changent en trice

Histoire des Girondins (P.). Baudelaire a pu s'inspirer d'un dessin de Raffet (reproduit dans l'édition Pommier-Pichois, p. 472). Sur ce singulier personnage, voir E. Roudinesco, Théroigne de Méricourt, Le Seuil, 1989. 388. Allusion à Élisa Neri, actrice, et peut-être espionne, qui était une amie de Mme Sabatier (voir J. Ziegler, Gautier, Baudelaire, un carré de dames (Pomaré, Marix, Bébé, Sisina), Nizet, 1978). À l'origine du rapprochement avec Théroigne de Méricourt, il y a sans doute cette scène

dernière secousse avait été trop violente, et Louise mourut des suites de la fausse couche qu’elle avait faite. La mère vit encore : comment ? Dieu le sait. Cette histoire m’était revenue à l’esprit pendant que je contemplais les nécessaires d’argent, et un certain temps s’était écoulé, à ce qu’il paraît, dans ces réflexions, car il n’y avait plus dans l’appartement que moi et un gardien qui, de la porte, examinait avec attention si je ne dérobais rien. Je m’approchai de ce brave homme à qui

l’uniforme américain, et ce sont leurs rapports à Wilson qui inspiraient la politique du Conseil Suprême en Europe centrale. J’ai retenu les propos d’un de ces augures dont je fus le voisin de table à un de ces dîners internationaux qui sont la meilleure école et le plus dangereux écueil de la diplomatie. Il était devenu un des directeurs d’une grande banque de New York, une de celles qui finançaient la révolution bolchevique. Mais ce n’était pas un de ces banquiers scellés au sol comme un coffre-fort

comme la neige qui tombe. Ton parcours s’achève ici. À l’instar de tous les voyages de ce type, celui de l’initié avait commencé par le premier grade. Au cours d’un rituel semblable à celui-ci, le vénérable maître lui avait bandé les yeux avec un ruban de velours et, appuyant une dague de cérémonie contre son torse dénudé, lui avait demandé : ŕ Déclares-tu sur l’honneur ton désir sincère, dénué de toute motivation mercenaire ou autrement indigne, de proposer librement et volontairement ta candidature

première République à l’Empire (1792-1804) ........ 157 Étude Organiser la France (1789-1804) ......................................... 158 Étude L’Église dans la France révolutionnaire ............................... 159 Étude Les femmes, actrices de la Révolution ................................ 160 Étude La Révolution française et les Noirs : espoirs et désillusions ............................................................. 162 Leçon 4 Une France transformée par la Révolution

Dieu ; commencer à Foule et finir à Solitude, n’est-ce pas, les proportions individuelles réservées, l’histoire de tous ?   On ne s’étonnera donc pas de voir, nuance à nuance, ces deux volumes s’assombrir pour arriver, cependant, à l’azur d’une vie meilleure. La joie, cette fleur rapide de la jeunesse, s’effeuille page à page dans le tome premier, qui est l’espérance, et disparaît dans le tome second, qui est le deuil. Quel deuil ? Le vrai, l’unique : la mort ; la perte des être chers.   Nous venons

Dieu ; commencer à Foule et finir à Solitude, n’est-ce pas, les proportions individuelles réservées, l’histoire de tous ? On ne s’étonnera donc pas de voir, nuance à nuance, ces deux volumes s’assombrir pour arriver, cependant, à l’azur d’une vie meilleure. La joie, cette fleur rapide de la jeunesse, s’effeuille page à page dans le tome premier, qui est l’espérance, et disparaît dans le tome second, qui est le deuil. Quel deuil ? Le vrai, l’unique : la mort ; la perte des être chers. Nous venons de

DE TRAYPI. – Ah ! par exemple ! j’ai pris Madeleine, et puis Léon, qui avaient voulu aussi tourner autour d’un gros arbre. SOPHIE. – C’est précisément parce que je vous voyais de loin prendre Madeleine et Léon, que j’ai pensé à trouver une meilleure cachette. Les branches de l’arbre étaient très basses ; j’ai grimpé de branche en branche. MARGUERITE. – C’est-à-dire que tu as triché. SOPHIE. – Donc, de branche en branche j’étais arrivée à un endroit où le tronc de l’arbre se séparait en plusieurs