Royalisme

la république de s'installer durablement dans l'histoire politique de la France après les deux premiers échecs (1792 et 1848). Grâce à elle, le régime républicain s'est progressivement assuré une légitimité auprès de la droite conservatrice et le royalisme a considérablement reculé. Bismark → élection en mai 71, majorité royalistes. 647 sièges. Défaite de Napoléon. En attente la réhabilitation de la monarchiste Mise en place d'une république 3 textes: - Loi Rivet 31 aout 1871 prés responsable devant

modération hypocrite ou par des extravagances étudiées. Aussi l'aristocratie se constitue en sociétés populaires ; l'orgueil contre-révolutionnaire cache sous des haillons ses complots et ses poignards; le fanatisme brise ses pro pres autels; le royalisme chante lesvictoires de la Répu blique; la noblesse, accablée de souvenirs, embrasse tendrement l'égalitépour l'étouffer; la tyrannie,teinte du sang des défenseurs de la liberté, répand des fleurs sur - leur tombeau. Sitous les cœurs ne sontpas changés

que la troisième partie du cours, « LES NOUVELLES IDEOLOGIES », ne relèvent pas du programme de révision de l’épreuve finale. DEUXIEME PARTIE LES CRITIQUES DU LIBERALISME TITRE 1 L’ETAT AUTOCRATIQUE CHAPITRE 1 LE ROYALISME I-Le royalisme catholique A/L’ultra-royalisme 1 )le Providentialisme de Joseph de Maistre (1753-1821) 2)l’idéologisme réactionnaire de L de Bonald 1754-1840 B/Le monarcho-corporatisme de René de La Tour Du Pin (1834-1924) II-Charles Maurras (1868-1952) On

Victoria Delcros 2de La Diane Française, Aragon AnalyseL’auteur : Né à Paris en 1897, Louis Aragon manifeste très tôt un goût pour l'écriture. EÀ la fin des années 1920, il s'inscrit au parti communiste et rencontre Elsa Triolet, qui deviendra sa femme. Il s'éloigne alors du surréalisme et s'engage dans l'action politique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il entre dans la Résistance et publie clandestinement, aux côtés de Pierre Seghers, plusieurs recueils de poèmes

romantisme en Europe se traduit et s’exprime différemment dans les pays, mais avance cependant autour de même valeurs et désirs bien qu’ils les articulent autour de motivations parfois différentes. III) Un romantisme politique a. A l’origine : Royalisme ou libéralisme ? « Les royalistes sont romantiques, les libéraux sont classiques » disait Balzac dans Illusions perdues, sous la Restauration. Le romantisme politique se montre au début du XIXème siècle, en proie à la paix et à l’apaisement général

l’opposition royaliste, en particulier chez les catholiques, outrés par la politique religieuse de Napoléon. Tous les excès du despotisme impérial rassemblent autour des royalistes des soutiens de tous horizons, à commencer par les libéraux. Le royalisme s’organise comme un véritable parti ; Ferdinand de Berthier organise l’ordre des chevaliers de la foi, mélange de franc-maçonnerie et d’ordres chevaleresques. C’est une organisation pyramidale : associés de charité (qui ne connaissent pas l’existence

évidence, pour analyser d'autant plus facilement en quoi elles sont liées ou antagonistes. * la lutte des classes : marxisme, * l'individu : libertarianisme ou ultralibéralisme, anarchisme. * le collectif : socialisme, * l'État : royalisme, démocratisme * la façon de manifester ses idées: radicalisme * l'ethnicité ou la nationalité : nationalisme, fascisme, nazisme * la tradition : conservatisme * la religion : idéologie théocratique, hindouisme nationaliste [6]…

idéologiques définis par A. Smith en 1776. Aujourd’hui, on peut classer les philosophies politiques en trois grandes familles : le socialisme (le socialisme, le communisme, la sociale démocratie), le conservatisme (le nationalisme, le gaullisme, le royalisme) et le libéralisme (classique, contemporain). Le libéralisme classique ne reconnaît pas de droits particuliers aux majorités, même démocratiquement élues. De la même façon qu’il interdit à un plus fort d’imposer sa volonté à un plus faible, il interdit

inatteignable. Albert de Broglie est né à Paris le 13 juin 1821 et est mort dans la même ville le 19 janvier 1901. C’est un historien, diplomate et homme d’Etat française, monarchiste, sous la troisième république l'une des figures du royalisme  orléaniste  et du  catholicisme libéral . Il est d’ailleurs l’instigateur de la loi du 13 mars 1873 dites « Constitution de Broglie » ou encore la monarchie sans le roi. Elle est instituée contre les

n est pas anéanti, la République ne sera bientôt plus. « Je vote pour la mort, en suspendant son exécution jusqu'après la ratification de la constitution par le peuple. » Ce vote exaspéra la Montagne, et valut aux Girondins l'accusation de royalisme. En mars, la commune de Paris essaya de conspirer; le 10 avril, Robespierre dénonça les Girondins comme complices de Dumouriez ; le 19 mai, Brissot, qui appréciait exactement le danger, écrivait à un ami: « On a guillotiné assez de cuisiniers, assez