Royalisme

; - d’autres philosophes comme Montesquieu, ou encore Voltaire utilisent cette même ironie débordante, pour détruire cet obscurantisme omniprésent au siècle des Lumières ; - d’autres Hommes combattent l’obscurantisme, qui est de paire avec le royalisme, mais de façon différente, comme Robespierre.

des hongrois mais il ne faut pas en déduire que ces revendications sont convergentes.
Si on veut toutes les satisfaire on est face à une opposition entre les deux peuples, ce qui constitue une ressource du gouvernement de Vienne afin d'éprouver le royalisme à l'égard de l'empereur de ces peuples et de leurs leaders. En effet, le 19 avril 1848, le croate Josip Jelacic annonce l'union de provinces croates et leur séparation avec le royaume hongrois.
Le 15 mai se rassemble une assemblée des roumains au

théâtre mais publie néanmoins des recueils de poésies : Les Feuilles d'automne (1831), Les Chants du crépuscule (1835), Les Voix intérieures (1837), Les Rayons et les Ombres (1840). L'action politique Élevé par sa mère bretonne dans l'esprit du royalisme, il se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la démocratie . Il devient ainsi confident de Louis-Philippe en 1844, puis pair de France en 1845. Son premier discours en 1846 est pour défendre le sort de la Pologne écartelée entre plusieurs pays

parti de l’Ordre. Il trouve alors l’occasion de jouer son propre jeu par les divisions des deux camps : la gauche est agitée par le débat sur l’opportunité ou non d’une insurrection, et la droite est composée des deux branches irréconciliables du royalisme. Louis-Napoléon Bonaparte s'oppose à la Loi du 31 Mai 1850 et se tient en apparence tranquille. Mais il débute parallèlement et secrètement une campagne pour défendre son nom devant le peuple. Il fait notamment de nombreux voyages en province dans

en 1855 à Guernesey. Pendant plus de 15 ans, il écrira des satires contre celui qu'il appelle "Napoléon le petit". Hugo ne reviendra en France qu'après l'abolition du Second Empire en 1870. | L’exil Élevé par sa mère bretonne dans l'esprit du royalisme, il se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la démocratie (« J'ai grandi », écrit-il dans un poème [5] où il s'en justifie). Son idée est que « là où la connaissance n'est que chez un homme, la monarchie s'impose. Là où elle est dans un groupe

juifs, les francs-maçons, les protestants et les « métèques ». Enfin, il faut restaurer la puissance de l’Eglise catholique, indissociable de la nation, prise comme instrument d’unification des français. L’Action française a, de fait, rajeuni un royalisme déclinant et renouvelé sa doctrine : elle a doté d’un système de pensée la passion nationaliste. Forte d’un prestige littéraire et du soutien de plusieurs intellectuels, l’Action française gagna l’appui de quelques milliers d’adhérents dont une

libéraux en désaccord avec le régime. - « UNION LIBERAL » = union entre monarchiste libéraux ; orléaniste et républicains modéré cintre le régime en place. Mise en place à l’initiative du duc de Broglie (historien, diplomate, l’une des figures du royalisme orléaniste et du catholicisme) Mais cette union ne fonctionne pas, parti et les députés monarchistes et républicain font souvent candidature a part sans la même bannières.Ainsi, on voit une fracture au sein des républicains mais aussi une série

Léopoldine et l'échec desBurgraves une raison de sa désaffection pour la création littéraire31. D'autres y voient plutôt l'attrait pour la politique, qui lui offre une autre tribune32. Action politique Élevé par sa mère bretonne dans l'esprit du royalisme, il se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la démocratie (J'ai grandi, écrit-il dans le poème « Écrit en 1846 »33 en réponse à un reproche d'un ami de sa mère). Selon Pascal Melka34, Victor Hugo a la volonté de conquérir le régime pour

entre en politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, le Liban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués et joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848 mais il se retire de la politique après sa lourde défaite lors de l'élection présidentielle qui porte au pouvoir Louis Napoléon Bonaparte

de la République en 1870, ce sont affronté 2 clans : les républicains et les monarchistes. Les monarchistes sont souvent des catholiques militants affirmant haut et fort que l’Eglise catholique doit intervenir en politique. Progressivement, le royalisme perd du terrain au profit de la République et évolue sur le plan politique. Une partie de la droite devient républicaine. Cette droite reste proche de l’Eglise catholique c’est pourquoi la gauche l’accuse de cléricalisme. Au delà du respect de