Royalisme

imposer le renouvellement complet (empêcher renouvellement normal) par un coup d’état Juin 1799. Apparaissent durant cette période des hommes fort avec Sieyès qui a fait partie de la conventions qui a voté l’éxecution du roi il ne veut plus de royalisme, ennemi des jacobins et il veut le pouvoir pour lui-même, il veut une constitution sur mesure, il lui faut donc un « épée » et se sera Bonaparte. Avec la complicité d’un directeur Sieyès et Bonaparte vont mener a bien le dernier coup d’état 9 novembre

parlementaires sont souvent fortement influencés par les forces politiques en présence dans l’enceinte de leur Parlement. En France, la Troisième République a longtemps été aux mains des opportunistes, frange modérée du républicanisme opposé au royalisme et au bonapartisme, avant qu’ils ne soient supplantés par les radicaux, qui ont dominé la vie politique française jusqu’à ce que les socialistes ne les devancent en 1936. Le même phénomène s’est reproduit de 1958 à 1973 lorsque les gaullistes ont

blâmé, chaque camp a ses héros et ses criminels et cela peut être mal interprété pour qui ne connait pas la pensée de Victor Hugo. Barbey d’Aurevilly identifie Lantenac comme le héros de l’histoire et pense que 93 est la preuve du retour d’Hugo au royalisme ! La Vendée représente les « ténèbres », mais à la fin, c’est Cimourdain qui représente « l’ombre » face à la lumière de Gauvain. Pourtant, le lecteur attentif verra derrière la hauteur d’âme de Lantenac, son esprit obscurantiste avec sa formule

: il s'agit de maintenir la république, comme le montre un décret du 25 janvier 1795 qui institue une « fête commémorative de la juste punition du dernier roi des français ». La Convention thermidorienne souhaite naviguer entre deux écueils : le royalisme et le jacobinisme. La dernière partie de la vie de la Convention est ainsi marquée par l'opposition à ces deux tendances et la répression dont elles font l'objet. Les insurrections de la population de Paris sont réprimées par l'armée. Quant aux royalistes

jamais combattu que pour la France ». Ce qu'on peut traduire ici, c'est que le duc d'Orléans avait acquis une grande popularité au moment des règnes de Louis XVIII et de Charles X . Il incarne une opposition mesurée à la politique des ultras du royalisme. C'est surement ce qui le poussa à se rallier au mouvement révolutionnaire sans vraiment y participer activement. Aux lignes 17 à 18, on peut lire: « Le duc d'Orléans est dévoué à la cause nationale et constitutionnelle ». La cause nationale, c'était

Anglais malgré le traité signé entre l'Angleterre et les Etats-Unis contre les corsaires français et recevait Saint-Domingue des mains des Espagnols le 22 juillet 1795. La constitution de l'an III L'anarchie étant écrasée dans les faubourgs et le royalisme à Quiberon, les Thermidoriens allaient s'en remettre à la Constitution de l'an III républicaine, certes, mais antidémocratique. La discussion Dés la fin des émeutes de germinal, le 3 avril 1795 (14 germinal an III), une commission de onze membres

on passe à une nouvelle vision avec une politique de relance avec une dynamisation de l'offre (dès 1932 au Japon) et aux USA avec le New Deal de ROOSEVELT avec l'idée de mettre un nouvel accord entre américain et il dit que les USA sont sous le royalisme des grandes entreprises donc il faut rompre celles ci, 2 grandes étapes : - dimension très économique (33à 35) : première action sauver les banques (avec le Emergency Banking) qui sépare banque de dépôt et banque d'investissement., la seconde étant

contre un ennemi commun. Charles Maurras, admirateur de Barrès, offrira un débouché intellectuel à l'antidreyfusisme : le nationalisme intégral. Cette doctrine sera celle de l'Action française, et entend réaliser l'hybridation du nationalisme et du royalisme. Les juifs en feront les frais jusqu'à la 2nde guerre mondiale. La France, déjà meurtrie par la Réforme, a été désintégrée par le Révolution. Maurras combat pour la restauration monarchique contre les protestants, les francs-maçons, les juifs et

résolus dans une forme juridique. Or la situation politique en a fait surgir constamment. Bousculés par le mécontentement populaire, les Thermidoriens pratiquent une politique de bascule, hantés à la fois par le terrorisme jacobin à gauche, et le royalisme à droite: le Directoire fait ainsi annuler les résultats des élections de 1797 favorables aux royalistes, puis celles de 1798 favorables aux Jacobins. En juin 1799, les assemblées imposent le renouvellement complet du Directoire, sauf celui de Barras

roman, de préférence d’un roman qu’il aurait pu écrire : l’ampleur de sa production, ses maîtresses, son ascension de roturier de province en écrivain reçu dans tous les salons, ses multiples intérêts et entreprises, ses échecs fracassants, son royalisme, son mariage tardif avec une comtesse qui lui avait écrit par admiration une dizaine d’années auparavant, sa mort six mois après, à cinquante ans. D’un point de vue physique, ses yeux lumineux et expressifs faisaient oublier petite taille et embonpoint