Rousseau Précurseur Du Totalitarisme

- Voltaire (1694 – 1778) - Diderot (1713 – 1784) - Rousseau (1712 – 1778)   Le texte : Essais de définir l’homme, une définition, tentative. Ensuite dévie sur comment les intellectuels réagissent à la définition de l’homme. « Nous »  les contemporains de l’époque et les philosophes. « On »  généralité

encore dominante mais surtout on y retrouve bien la plupart des caractéristiques de notre condition qui n'ont fait que s'amplifier, sauf la massification sans doute. Nos débats ne sont donc pas si nouveaux. Par sa clairvoyance, c'est un ouvrage précurseur et riche de nombreuses observations sur notre temps, apportant en outre une popularisation des enjeux philosophiques de la domination technique et de la réduction de l'homme au travail. Il faut bien dire que je crois pourtant ses thèses principales

gvt aux anciens régimes autocratique et aux démocraties libérales Principalement incarné par URSS et autre modèle:le communisme chinois avec Mao Dzetung • renouveau de l'autoritarisme→Etats totalitaires (changement échelle du totalitarisme)→ emprise totale sur les sociétés Le modèle démocratique qui semblait sortir vainqueur de la première guerre mondiale connaît pourtant de nombreuses remises en cause surtout dans les pays qui viennent d'adopter le modèle démocratique. 1)

mathématique que N critique (more geometrica) N dit qu'il faut laisser le lecteur penser un minimum pour ne pas l'emprisonner dans sa thèse. N dit que la vérité n'existe pas et idée de hiérarchisé les discours par leur valeur, il trouve des précurseurs de ses pensées. Détail de la critique nietzschéenne, des concepts qui n'ont pas de référence concrète mais qui est logique, plus vous vous éloignez du référent, plus vous êtes dans la logique. Nous ne connaissons le monde que par nos representations

être sanctionné par l’union que s’il porte atteinte aux droits acquis pas ces sujets autrement dit s’il viole l’ordonnancement ou l’Etat de droit. Ce projet à une certain diffusion en Europe mais ne sera connu que par la critique des lumières et de Rousseau. Dans les premier temps, le projet de l’Abbey de St Pierre est utopiste. Pour les intellectuelles des lumières, l’Europe s’exprime autrement, elle passe plutôt par une nouvelle conception de l’homme envisagé comme citoyen du monde. Section II :

législateur[10] de Jean-Jacques Rousseau n’est-il pas un "légis-facteur[11]" ? Pourquoi en est-il généralement de même dans la doctrine des philosophes des Lumières ? - Pourquoi la doctrine de Jean-Jacques Rousseau a-t-elle conduit à donner au mandat des représentants des assemblées révolutionnaires une nature radicalement différente de celui des députés aux Etats généraux ? - La minorité de l’assemblée du peuple peut-elle exprimer la volonté générale ? - Pourquoi la doctrine de Rousseau postule-t-elle l’identité

qui se déroule dans le lieu politique, c’est la caractérisation du politique. De plus, on peut se demander si tout est politique ou si la politique n’est qu’une sphère limitée de l’action humaine? 2 réponses : _ tout est politique Dans les totalitarismes (nazisme, communisme), il n’y a plus de frontières entre les sphères d’activités, d’interactions dans la société. Le pouvoir a le droit ou prend le droit de regarder tout ce que les gens font, pensent, disent, vivent… Le pouvoir a tout les droits

temps qu’un travail de recherches important, une préoccupation de régime de juste milieu mais dans une perspective libérale, c’est-à-dire largement individualiste, cf. L’esprit des lois (1748). 3/ On doit citer aussi, bien sûr, Jean Jacques Rousseau (1712 -1778 ) auteur d’un ouvrage qui a beaucoup influencé les révolutionnaires de 1789/1795, qui l’ont peut-être mal compris au demeurant, Le contrat social ( 1762), où il théorise la volonté générale, comme s’imposant à chacun, puis qu’elle est

Le critère du pouvoir légitime La tâche principale du souverain d’après Rousseau est de décider des règles sous lesquelles il veut vivre, c’est-à-dire de voter les lois14. Comment la mener à bien ? Tout citoyen qui fait partie du souverain doit se renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter

donner de la valeur ( les autres, soi même). Une comparaison a une rigueur propre. I) La comparaison en science sociale : historique et principes généraux A) Les précurseurs de la comparaison Aristote comparait les différents régimes politiques. Darwin, sa théorie est né grâce à la comparaison de plusieurs espèces. 3 précurseurs principales : JS. Mill, Durkheim, Weber. 1) JS. Mill et la méthodes des comparaisons 1806/1869. Il cherche a comprendre comment marche l'induction ( passé d'un