Rousseau Pourquoi Le Droit Exclut La Force

communautarisme reproduit ici le texte de l'intervention du philosophe Henri Pena-Ruiz, avec son autorisation, lors de l'université d'été du Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) en septembre 2003. Il y expose la force des principes de la laïcité : liberté de conscience, égalité des droits sans discrimination liée à l'option spirituelle et universalité de la loi commune. La laïcité constitue le cadre qui rend possible la manifestation de la diversité sans morcellement communautariste de l'espace civique

---------------------------------- Droit constitutionnel Manuel à consulter : Philippe Ardant/Bertrand Mathieu => Institution politique et droit constitutionnel ( édition LGDJ ). Jean et Jean Eric Gicquel => Droit constitutionnel et institution politique ( édition mon chrétien ). Chapitre introductif I) Droit constitutionnel et pouvoir politique C' est le droit de la constitution. Pour Marcel Prélot, le droit constitutionnel est l' ensemble des règles juridique relative

Chambre, qui hésitait. Pour sauver la Patrie en danger, il a demandé la République. Il a mis ses représentants non au pouvoir, mais au péril. La République a vaincu l'invasion en 1792, la République est proclamée. La Révolution est faite au nom du droit, du salut public. » Discours de Gambetta Gouvernement de la défense nationale dominé par rép. modérés : Jules Favre, Jules Simon, Jules Ferry + Gambetta et Rochefort. Le général (orléaniste) Trochu nommé chef de gouvernement est la caution du ralliement

vote on délègue le pouvoir à des représentants. Ce principe est alors critiqué car il conduit à déposséder le pouvoir des citoyens (démocratie élue). Le peuple était considéré comme incompétent donc il fallait une élite éclairée et même au départ droit de vote censitaire. L’élection va même à l’encontre de la démocratie. PREMIERE PARTIE : L’OPINION PUBLIQUE Question du publique dans la démocratie, née au XVIIIe et en débat permanent. De multiples institutions existent pour porter la parole du

d’assujettissement. La liberté quant à elle vient du latin ‘’libertas’’ qui désigne l’état de celui qui ne dépend d’aucun maître et qui jouit des droits civiques. Etre libre ou liberté, c’est l’état de l’individu qui n’est ni esclave ni prisonnier. Au sens générale, la liberté est « Etat de l’être qui ne subit aucune contrainte et qui agit conformément à sa volonté et à sa nature.» Le travail est

11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé des idées essentielles 17 Illustrations

fonction occupés, la société venant ajuster ses comportements et éduquer l'individu pour qu'il se conforte à la catégorie à laquelle il participe. Cependant, la conception de PLATON ne s'arrête pas là, selon lui, chaque homme voulant prétendre au droit de trouver la juste place qui lui serait attribué dans la sphère sociale, doit pouvoir justifier de la justesse de son âme. Le monde de la pensé est, donc, considéré par le philosophe comme devant être conforme aux règles imposées par la justice sociale

politique. Cette démarche est spéculative et son ambition est prescriptive(= s’interroger sur ce qui devrait être ou ce qui doit être).La philosophie va créer des domaines, des catégories pour donner un sens. 3ème regard : droit public : tout ce qui est droit constit/politique, le droit s'intéresse sur ce que devrait être ce phénomène en principe, il ne prend pas en compte ce qui est pratique. Ex : activer une loi/ désactiver ; de Gaulle en 1962. 4ème regard sur les phénomènes po : les médias : informer

encore une paillette d'or ? Ceci est prétentieux ; mais pardonnez à l'auteur son orgueil : faites mieux, avouez qu'il est légitime. N'est−il pas réellement bien extraordinaire de voir que, depuis le temps où l'homme marche, personne ne se soit demandé pourquoi il marche, comment il marche, s'il marche, s'il peut mieux marcher, ce qu'il fait en marchant, s'il n'y aurait pas moyen d'imposer, de changer, d'analyser sa marche : questions qui tiennent à tous les systèmes philosophiques, psychologiques et politiques

de lier la science à une métaphysique. Dès 1640, il donne un Essai sur les coniques. La géométrie offre des figures intéressantes : hyperboles, ellipses, etc. Pascal se forme au paradoxe au contact de la géométrie projective : les droites parallèles dérivent des droites concourantes lorsque leur point de concours se trouve à l'infini. C'est une remise en question de la géométrie euclidienne… Pascal s'intéresse au calcul infinitésimal et aux suites de nombres entiers ; il énonce le principe du raisonnement